Energie(s) - AGIR
Programmes d'économie et d'efficacité énergétique et développement des énergies renouvelables
En 2010, la Région Provence-Alpes-Côte-d’Azur est devenue la 1ère région métropolitaine productrice d’énergie photovoltaïque. Alors qu'en 2004, elle était à la 11e place (pourtant première région de France en ensoleillement : 300 jours /an)
PROGRAMMES AGIR et AGIR+
A.G.I.R (Action Globale Innovante pour la Région) et A.G.I.R +
Voir plus bas les explications !
AUTRES SUJETS ENERGIE :
EOLIENNES FLOTTANTES à FOS
Les écologistes ont poussé le conseil régional à concourir pour accueillir des éoliennes flottantes au large de Fos (suite ici)
Position par rapport aux projets de centrales EON à Gardanne et INOVA dans le Var
SOUTIEN aux nouvelles FORMATIONS pour la transition énergétique et soutien à la RECHERCHE et INNOVATION
Voir par exemple compte-rendu visites projet de CFA à Ste Tulle et cité des énergies à Cadarache
PROGRAMMES AGIR et AGIR+
Nouveau cadre d’intervention régional pour la période 2011-2014 en matière de lutte contre le changement climatique et de politique volontariste en matière énergétique (économie énergie et d’eau et développement des énergies renouvelables).
Trois des fondements d’AGIR sont réaffirmés
- effet démultiplicateur afin d’aller au-delà des initiatives individuelles d’acteurs.
- travail sur les blocages et freins au développement des économies d’énergie et d’eau et développement des énergies renouvelables.
- positionnement de la Région comme catalyseur ou coordinateur des expérimentations et d’actions structurantes.
A.G.I.R. + veut prolonger la dynamique en continuant dans la même veine, c’est-à-dire l’expérimentation !
Cette délibération est une délibération-cadre, elle présente des principes. Les dispositifs mis en œuvre seront présentés progressivement en fonction de leur maturité ; nous avons procédé de la même façon pour A.G.I.R.
Tout d’abord, il est indiqué que nous allons suivre les résultats des 600 dossiers aidés dans le cadre d’A.G.I.R. Cela nous permettra d’avoir des éléments chiffrés. Nous allons également essayer de mettre en valeur les meilleures réalisations, en collaboration avec les territoires, par l’organisation de visites, par exemple.
Ensuite, A.G.I.R. PLUS qui veut permettre la dissémination, l’association large des populations reste structuré en fonction des formes de solidarités possibles.
La solidarité territoriale avec « AGIR + avec les territoires »
Cet axe prévoit :
- de continuer à créer des postes d’économes de flux ou des conseils en économie partagée
- d’introduire certaines thématiques autour de la lutte contre le changement climatique dans les contrats ou conventions avec les territoires
- d’analyser finement l’action « collectivités territoriales Agir pour l’énergie » pour relancer un appel à projets en 2011
La solidarité par les filières avec « AGIR avec les filières »
A.G.I.R. a eu un fort impact sur la structuration d’une filière bâtiment durable méditerranéen.
Il faut continuer dans ce domaine. Nous devons aller plus loin en travaillant sur l’éco-conditionnalité. Dans le bâtiment, c’est relativement facile puisque les structures existent et la réglementation évolue.
Mais, nous devons maintenant nous préoccuper des autres filières et développer l’éco-conception. En plus, A.G.I.R. PLUS ouvre la possibilité d’actions expérimentales dans le domaine de l’écologie industrielle (économie circulaire) et de l’économie de fonctionnalité. Dans les deux cas, il s’agit de limiter l’utilisation des ressources naturelles. Nous pouvons également lancer des actions pour la création d’emplois dits « verts ».
La solidarité par l’exemple
A.G.I.R. a lancé des appels à projets qui ont concerné les lieux culturels, l’agriculture, la formation, etc. Nous continuerons à mobiliser et affichons déjà une action dans le cadre du service public de la restauration lycéenne.
Enfin, deux axes sont cités, l’un concerne « le futur » et l’autre la relation avec le grand public.
Les dispositifs seront construits progressivement avec les vice-présidents concernés.
Notamment des actions pour la réhabilitation qui est un des domaines les plus importants pour lutter contre le changement climatique.