Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

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Tag - europe écologie

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mardi 12 mars 2013

Session du 12 mars - Discours de Pierre Pommarel

« La fiscalité sur l’énergie se caractérise par de nombreuses dépenses fiscales qui répondent davantage au souci de préserver certains secteurs d’activités qu’à des objectifs environnementaux. Afin de favoriser la transition énergétique, la réorientation des dépenses fiscales relatives à l’énergie paraît donc nécessaire ».

Voici donc le constat amer et la conclusion sans détour dressés par la Cour des Comptes qui fustige à son tour l’incohérence de la fiscalité écologique française dans un référé rendu public adressé aux Ministères de l’Ecologie et de l’Economie.

A l’instar des écologistes qui dénoncent depuis de nombreuses années le maintien de privilèges anachroniques à des secteurs d’activités appelés nécessairement à évoluer, la Cour des Comptes pointe elle aussi du doigt plusieurs aberrations qui vont à l’encontre de la transformation écologique de notre économie :

- En 1er lieu, la détaxation du kérosène qui profite au mode de transport le plus polluant, et qui grève les finances publiques de 3,5 milliards d’euros chaque année, dont 3 à 400 millions d’euros pour les vols intérieurs de métropole. En plus d’être anti-environnementale, cette niche est tout à fait inéquitable d’un point de vue de justice sociale, puisque ce sont bien les milieux aisés qui profitent majoritairement de la diminution artificielle du prix des billets d’avion.

- Deuxième niche décriée par la Cour des Comptes, le différentiel de taux de TIPP en faveur du gazole qui ampute chaque année les recettes fiscales de l’Etat à hauteur de 7 milliards d’euros auxquels il convient d’ajouter les coûts sanitaires (42000 décès prématurés) et même les coûts socio-économiques pour la France. En effet, l’inadaptation structurelle de l’outil de raffinage français qu’alimente l’accroissement de la consommation du gazole en France contribue grosso modo pour 1 milliard d’euros au déficit de la balance commerciale de notre pays. Alors que les exportations de voitures diesel françaises ne cessent de diminuer, continuer d’encourager le diesel en France est donc un véritable pied de nez aux ouvriers et aux salariés de l’industrie automobile pour qui la reconversion industrielle est la seule garante de leur emploi. Le gouvernement ne peut pas, ne doit pas entretenir la fiction du redémarrage ou de la continuation sous perfusion d’activités caduques.

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samedi 2 mars 2013

Pétition pour le droit de vote des étrangers aux élections locales dès 2014 !

droit_de_vote_etranger.png Poursuivons la mobilisation ! Signez et faites signer la pétition sur www.droitdevote2014.org

Cet appel « Pour une République fraternelle et solidaire » initié par la LDH réunit aujourd’hui une petite centaine d’associations, une vingtaine de syndicats, une vingtaine de partis politiques et des milliers de citoyens.

L'appel :

Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République.

Si, en 1793, lors de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en oeuvre par la IIe République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.

En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.

En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une proposition de loi accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même proposition. Il reste à mettre en oeuvre la révision constitutionnelle nécessaire.

De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.

En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.

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vendredi 1 mars 2013

L’écologie est l’avenir de la classe ouvrière - Jacques Archimbaud

Petroplus, Arcelor Mital, PSA... ? D’autres avenirs ouvriers sont possibles

Automobiles, pétrole, pneus, acier, il va falloir dire la vérité ! Sidérurgie, Psa, Renault, Goodyear, Faurecia. Les plans de licenciements se multiplient.

Des milliers d’ouvriers qui ont sué sang et eau pendant 150 ans pour la jouissance de quelques grandes familles de profiteurs et des générations lamentables de petits boursicoteurs, vont être jetés comme des malpropres par des tôliers qui les auront pressés jusqu’à la dernière minute.

Des ministres s’agitent, des avocats syndicaux tentent par de pathétiques plaidoiries de retarder en droit la fatale échéance... On se raccroche à la fable des licenciements boursiers comme cause majeure du massacre social qui se déroule sous nos yeux. Tout le monde entretient la croyance selon laquelle, comme aux Usa, après une purge sévère, tout finira par repartir comme en quatorze...

Il n’en est rien : aucune des activités carbonées à la base des deux révolutions industrielles et de la seconde accumulation du capital n’a d’avenir sur le long terme.

On peut tenter de retarder l’échéance. On peut mentir aux ouvriers qui d’ailleurs n’en croient rien. C’est une autre direction qu’il faut prendre, on a déjà vingt ans de retard, il faut décider maintenant.

Moins d’automobiles de grosses cylindrées, davantage de trains, d’autobus et de tramways... Moins d’avions et davantage de bateaux, moins de pétrole et plus d’énergies renouvelables et d’écomateriaux, moins de surconsommation individuelle standardisée et plus de services partagés à haute valeur ajoutée. Moins d’ hypermarchés et plus de commerces de proximité. Moins de camions et d’autoroutes et plus de circuits courts. La reconversion est urgente, incontournable, juste et positive.

Il y aurait cependant un scandale à ce que les ouvriers qui ont tout le temps donné, payent une fois encore pour la navrante cécité historique des classes dirigeantes.

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jeudi 28 février 2013

Tribune politique - Janvier 2013 (Pierre Pommarel)

Dans sa tribune politique du mois de janvier, Pierre déplore la réalisation de l'autoroute A89 entre Balbigny et la Tour de Salvagny, une nouvelle voie autoroutière complètement contraire à l'ère du temps et aux engagements de la France visant à répondre aux défis énergétiques et climatiques.

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mercredi 27 février 2013

Projection du film Gazland à Gerzat le vendredi 1er mars

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mardi 26 février 2013

Chaîne humaine pour l'arrêt du nucléaire

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Alors que l'accident de Fukushima entrera dans sa troisième année, la grande chaîne humaine organisée à Paris le 9 mars est le grand évènement antinucléaire de l'année. C'est le moment de se mobiliser.

Cette manifestation nationale se doit d'être une réussite si nous voulons peser sur le gouvernement et le Parlement. Vous n'êtes pas sans savoir qu'un débat national doit se tenir sur la question énergétique mais comme d'habitude les décisions sont d'ores et déjà prises et il n'est pas prévu de remettre en question le dogme nucléaire. Pouvons-nous nous contenter de la seule probable fermeture de la centrale de Fessenheim ? De l'hypothétique abandon du projet d'un second EPR à Penly ? Alors que les habitants de Fukushima souffrent dans leur chair, il est temps que la France suive la dynamique de la plupart de ses voisins européens : sortir du nucléaire.

Pour pallier les manquements de nos gouvernements successifs et lancer un message fort à la classe dirigeante, nous devons nous retrouver plusieurs dizaines de milliers à Paris pour encercler les lieux de pouvoir politique et économique. D'EDF à Areva en passant par les ministères et les banques d'investissement, dénonçons au monde entier les responsables d'un futur Fukushima français.

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L'année dernière nous étions 60 000 à former une chaîne humaine de Lyon à Avignon. Le 9 mars à Paris, frappons à nouveau un grand coup !

Lieux de départ des cars en Auvergne :

En Haute-Loire : départ à 5h00 du Puy-en-Velay, arrêt à Saint-Georges d'Aurac, Brioude, Arvant et Issoire
Contacts : Brigitte et Pierre Pommarel, 9 Grand Rue 43100 Paulhac

Dans le Puy-de-Dôme, départ à 6h00 de Clermont-Ferrand, place du 1er mai.
Contact : Nicolas Bonnet au 04 73 90 41 78 ou chainehumaine.9mars.63@ouvaton.org

Dans l'Allier, départ à 5h00 de Montluçon, arrêt à Vallon-en-Sully
Contact : Jean-Philippe Blivet au 04 70 28 50 55 ou sdn03montlucon@orange.fr

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lundi 11 février 2013

Aterres2050 à Vichy le 13 février : Comment, demain, satisfaire nos besoins alimentaires et énergétiques ?

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A l'horizon 2050, de quelles surfaces disposerons-nous pour l'agriculture et la forêt ?

De quelle façon satisferons-nous nos besoins alimentaires et énergétiques ?

L'équipe d'ingénieurs agronomes de Solagro a conçu un modèle de prospectives, "le scénario Afterres 2050" pour faire des propositions d'évolution de nos modes de consommations alimentaires et de notre agriculture. C'est sur cette réflexion que la partie biomasse du scénario négaWatt a été conçue.

"Afterres2050" et "négaWatt 2011" : les convergences :

Le scénario négaWatt et Afterres de Solagro reposent sur des fondamentaux similaires, partir des besoins, appliquer la sobriété, l'efficacité, le recyclage ou la valorisation des ressources renouvelables.

- Afterres fournit à négaWatt la quantité de biomasse mobilisée pour l'énergie. Bois, biogaz... représenteront 40 % de l'énergie finale en 2050.

- Afterres complète négaWatt en matière d'agriculture et de forêt : il traite la majorité des gaz à effet de serre hors énergie, (qui sont très importants dans notre région d'élevage), et des puits de carbone (forêts et sols agricoles)

- Les besoins en matériaux (bois de constuction, isolation naturelle...) sont définis à partir du programme RENOV de negaWatt...

Vous pouvez télécharger le scénario "Afterres2050" sur le site www.solagro.org pour préparer les questions qui ne manqueront pas !

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jeudi 31 janvier 2013

La Région donne un avis défavorable sur le projet de classement des cours d’eau dans le bassin Adour-Garonne

L’adoption du SRCAE de la Région Auvergne il y a quelques mois témoignait d’une volonté forte de notre collectivité, largement impulsée par les élus écologistes, de ne pas sacrifier notre patrimoine naturel et nos paysages sur l’hôtel de la petite hydroélectricité.

Autre dossier, mais même philosophie lors de la décision du Conseil régional d’Auvergne de donner fin janvier, sur proposition de C. Bouchardy, un avis défavorable au projet de classement des cours d’eau du bassin Adour-Garonne, sauf à ce que soient ajoutés au classement en liste 1 les 4 tronçons et/ou rivière ci-après **:

- Le bassin de la Clidane à l’amont du pont de la D987 (moulin de la Clidane) car déjà classé en réservoir biologique

- le ruisseau de l’Eau du bourg car déjà classé en réservoir biologique

- Le Chavanon sur l’ensemble de son cours et en particulier sur le tronçon du Moulin de la Lignère au Moulin de Raby (Merlines) qui est déjà classé en réservoir biologique

- L’ensemble du bassin versant intégrant les ruisseaux de Lemmet, Pradiers et Bastides ainsi que l’axe de la Santoire car déjà classés en réservoir biologique

D’autre part, la commission permanente a également décidé d’attirer l’attention du Préfet coordonnateur de bassin sur l’importance dans ce futur classement d’une cohérence amont aval afin d’atteindre les objectifs de préservation ou de restauration de la continuité écologique des cours d’eau, étant entendu que toute rupture de classement sur le linéaire d’un cours d’eau entraînerait un risque de non atteinte de ces objectifs et serait contraire à la Directive Cadre sur l’Eau.

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mardi 29 janvier 2013

Famine au sud, Malbouffe au nord : conférence de Marc Dufumier le 1er février à Aubière

Vendredi 1er février 2013 à 20h30, Marc Dufumier, Agronome et expert auprès de la FAO, donnera une conférence autour de son livre, Famine au sud, Malbouffe au nord.

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Entrée gratuite

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jeudi 24 janvier 2013

Aéroport de Clermont : Le point sur sa gestion et son financement en 2013

Dans le cadre de la loi de décentralisation du 13 août 2004, l'Etat a transféré aux collectivités territoriales la propriété, l'aménagement, l'entretien et la gestion de 150 aérodromes. Seuls les aéroports de Lyon, Marseille, Nice, Bordeaux, Toulouse, Strasbourg et Montpellier sont encore la propriété de l'Etat, tandis que les aéroports d’Orly et de Charles-de-Gaulle à Paris appartiennent à la société anonyme Aéroports de Paris, détenue majoritairement par l’Etat.

En Auvergne, ce transfert de propriété s'est effectué le 1er janvier 2007 au profit d'un syndicat mixte créé à l'initiative du Conseil régional d’Auvergne, en partenariat avec le Département du Puy de Dôme et la Communauté d'Agglomération de Clermont Ferrand. Ce syndicat mixte, le SMACFA (syndicat mixte de l'aéroport de Clermont Ferrand Auvergne) est financé selon la clé de répartition suivante : le Conseil régional y contribue à hauteur de 40%, le Conseil général du Puy-de-Dôme à 32%, et Clermont Communauté à 28%.

Depuis le 1er janvier 2008, le SMACFA délègue la gestion de l'exploitation de l'aéroport à la SEACFA (société d’exploitation de l’aéroport de Clermont-Fd Auvergne), une société détenue à 99% par le groupe Vinci et à 1% par le groupe Keolis. Ce contrat de délégation de service public, courant jusqu'au 31 décembre 2014 (auparavant la chambre de commerce était l'exploitant de la plateforme), est de type affermage, le Syndicat ayant à sa charge les opérations d’investissement utiles au développement des activités de l’aéroport et au gros entretien.

Le budget 2013 du SMACFA s’élève à 6,5 M€ répartis grosso modo en 2,5 M€ de dépenses de fonctionnement et en 4 M€ de dépenses d’investissement.

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vendredi 18 janvier 2013

Autoroute A89: anachronisme et inconséquence

COMMUNIQUE DE PRESSE DES ELUS REGIONAUX EELV D'AUVERGNE ET DE RHONE-ALPES

La nouvelle autoroute Clermont-Lyon va aggraver la congestion du trafic au nord de Lyon. Mais surtout, elle représente le contraire de ce que devrait être un investissement d’avenir.

Les élus écologistes des régions Rhône-Alpes et Auvergne ne peuvent décidément pas se réjouir de l’inauguration des 50 km de l’autouroute A89 entre Balbigny et La Tour de Salvagny.

Compte tenu des engagements de la France pour répondre aux défis énergétique et climatique, et face au renchérissement continu et durable du prix des carburants, cette nouvelle stimulation de la mobilité routière relève du déni de réalité et de la fuite en avant.

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Inadapté

Censé réduire de 30 minutes le parcours entre Clermont-Ferrand et Lyon (1h45), en évitant le détour par Saint-Etienne, le raccourci de Balbigny n’est rien d’autre qu’un nouvel aspirateur à véhicules, de surcroît inefficace pour gagner du temps ! « Les flux de véhicules de ce tuyau à gros gabarit vont déboucher directement dans le tissu périurbain de l’Ouest Lyonnais, sur un réseau tout à fait inadapté qu’ils contribueront à saturer encore davantage, en particulier lors des heures de pointe, souligne Jean-Charles Kohlhaas, président de la commission Transports du Conseil régional Rhône-Alpes. Non content d’accroître les pollutions et les nuisances, ce trafic supplémentaire ira de pair avec encore davantage d’étalement périurbain et d’artificialisation du territoire. »

Agnès Mollon, Présidente du groupe des élus écologistes à la Région Auvergne déclare de son côté « Quant au train, dont les temps de parcours entre Clermont-Ferrand et Lyon avaient enfin pu être réduits et rendus compétitifs par rapport à la route (2h15), il sera à nouveau disqualifié et pour longtemps. C’est donc bien un transfert modal à l’envers de l’Histoire qui est prévu. Et tout cela pour un coût pharaonique : un milliard et demi d’euros…soit 30 millions d’euros le kilomètre ! »

Développement durable

En période de crise économique, sociale et environnementale, nul doute que d’autres investissements auraient été plus judicieux. Pour la même somme, on aurait pu doter la région de Lyon d’un véritable RER, moderniser radicalement la ligne ferroviaire Clermont – Saint Etienne via Montbrison et Thiers, ou encore rénover la ligne Lyon-Roanne en créant une section de ligne nouvelle entre Lozanne et Roanne, avec un potentiel de vitesse entre 220 et 250 km/h.

« Nous déplorons que le développement durable et l’écologie soient plus souvent invités dans les discours que dans les choix d’aménagement du territoire et des grands équipements qui conditionnent notre avenir », conclut Jean-Charles Kohlhaas.

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La Région Auvergne réaffirme son soutien aux librairies indépendantes

Nicole ROUAIRE et Florence VIDAL, présidente de l’association des Libraires Indépendants en Région Auvergne (LIRA) ont signé la nouvelle convention triennale 2012-2013-2014 entre la Région et LIRA, samedi 8 décembre 2012 à la librairie « Esprit B.D. » à Clermont-Ferrand.

La Région Auvergne et LIRA signent une convention destinée à servir les objectifs communs de maintien du tissu des librairies indépendantes.

En tant que fédérateur des professionnels de la librairie indépendante, LIRA agit comme un outil « d’orchestration » et d’animation par la mise en commun de moyens.

Le soutien de 32 000€ de la Région Auvergne vise notamment à :

- consolider le travail en réseau des librairies indépendantes,

- perfectionner les compétences des libraires indépendants par des actions d’information et de formation,

- améliorer la qualité de l’animation phare de l’association « Auteurs Nomades » tant dans la programmation que dans l’organisation de l’accueil des auteurs sur l’ensemble du territoire.

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jeudi 17 janvier 2013

Invitation des élus EELV à l'inauguration de l'A89 : Vinci ne manque pas d'humour !

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jeudi 10 janvier 2013

Tribune politique - Décembre 2012 (Agnès Mollon)

Dans sa tribune politique du mois de décembre, Agnès s'élève contre l'entêtement de la France sur l'EPR.

En pleine disette budgétaire, on nous explique que l’Etat doit trouver plus de 2 milliards d’euros pour payer la note à rallonge de l’EPR de Flamanville alors que le débat national sur l’énergie n’est qu’à ses premiers balbutiements. Pendant combien de temps encore, l’Etat devra-t-il éponger les dettes d’EDF ?

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- Alors que près de 4 millions de ménages sont en situation de précarité énergétique aujourd’hui d’après le dernier rapport du Médiateur de l’énergie,

- Alors que la filière photovoltaïque a licencié en France plus de 15 000 personnes depuis 18 mois, majoritairement dans des TPE et des PME comme - Auversun en Auvergne, qui a déposé le bilan le mois dernier alors que c'était une entreprise innovante et performante

- Alors que D. Batho s’apprête une nouvelle fois à enterrer un peu plus cette filière en annonçant une politique de « stop and go » sur les différents tarifs de rachat,

- Alors que l’Etat français persiste à vouloir centraliser la politique de l’énergie entre les mains des trusts de l’énergie dont il est l’actionnaire,

Ces milliards d’euros auraient pu, auraient dû servir à la transition énergétique dont le débat national est par la force des choses déjà galvaudé avant même d’avoir commencé. Quant à l’EPR de Flamanville, J.V Placé l’a très bien dit, « Ce sont les futurs Hauts fourneaux de Florange ».

Il est grand temps de passer d’une économie de la dette, celle qui plombe notre balance commerciale, à une économie de la rente, de la résilience, et de la véritable indépendance énergétique !

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mercredi 9 janvier 2013

Amendement en faveur d'une rémunération supérieure au minimum légal des stagiaires

Lors de la Session budgétaire des 17, 18 et 19 décembre, le Conseil Régional d'Auvergne a adopté à l'unanimité un amendement déposé par notre groupe, visant à favoriser l'accueil de stagiaire rémunéré au-delà du minimum légal par les entreprises sollicitant une aide financière de la Région dans le cadre de leur projet de développement à l'international. Cette aide de la Région sera recentrée sur les TPE et les PME en 2013.

L'objectif de cet amendement ? Favoriser la sécurisation sociale et professionnelle des stagiaires, car avec 1/3 de SMIC perçu généralement par les stagiaires en fin de mois, il est bien difficile de vivre et de s'insérer sereinement dans le monde du travail...

Exposé des motifs :
L’aide au développement à l’international prévue dans le FIAD a pour ambition de soutenir la construction de la stratégie à l’international et la structuration de la démarche amont de la prospection des entreprises.

Pour ce faire, notre dispositif régional prévoit de subventionner les conseils spécialisés sur cette thématique et l’accueil d’un stagiaire rémunéré ayant une formation adaptée et dédiée à l’élaboration de cette stratégie.

Compte tenu des contraintes budgétaires qui pèsent sur le budget du Conseil Régional, et avec pour objectif d’inciter à l’amélioration de la sécurisation sociale et professionnelle des stagiaires, il serait judicieux de faire évoluer l’aide au développement à l’international prévue par le FIAD afin de subventionner uniquement l’accueil d’un stagiaire rémunéré au-delà du minimum légal au sein des TPE-PME.

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