Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

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Tag - europe écologie

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jeudi 5 novembre 2015

Pièces à conviction Lyon Turin autopsie d'un scandale annoncé

Diffusé sur France 3 le mercredi 4 novembre 2015 à 23:25 - Durée : 1 h 10

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Voir le reportage : cliquer ici

Présentation du reportage par FR3 : Le projet du Lyon-Turin, un tunnel de 57 kilomètres creusé sous la montagne pour traverser les Alpes en TGV, devrait être le plus grand chantier d’Europe, avec un coût total entre 26 et 30 milliards d’euros. Si ses promoteurs vantent un gain de temps de trois heures sur la ligne de train reliant Paris à Milan, la construction de ce tunnel est controversée et déchaîne les passions en Italie. L’intérêt public d’un tel ouvrage est-il vraiment incontestable ? Une autre question de taille se pose quant au financement de ce projet gigantesque. L’enquête met en lumière le lobbying des géants du BTP et de certains élus locaux, parfois au mépris des règles et de la loi.

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mercredi 28 octobre 2015

Le gros chéquier était de sortie : dossiers phares et votes étranges lors de la dernière Session

Pour cette dernière Session et cette avant dernière Commission Permanente, et à quelques semaines de la fusion et des élections régionales, le gros chéquier était de sortie au Conseil régional d'Auvergne. Retour sur quelques dossiers phares et sur quelques votes des différents groupes politiques.

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  • Projet Arts et Rugby de l’ASM : Vote contre des élus EELV, abstention du FdG dans son ensemble, vote favorable de la droite et des élus PS

Retenu dans Contrat de Plan Etat Région 2015-2020 sur lequel nous nous étions abstenus, ce projet, porté par la société anonyme de sport professionnel ASM Clermont Auvergne « ambitionne de traduire la rencontre entre un sport, le rugby, et les arts, dans un milieu emblématique au centre de Clermont-Fd : le stade Michelin ». L’Etat contribue à hauteur de 250 000€ également dans le cadre du CPER.

  • 200 000€ pour l'entreprise Auriplast à Aurillac : vote contre des élus FdG, votes favorables des élus EELV, PS et de la droite

Sur le projet, voir l'article de la Montagne : cliquer ici

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Pour cette aide exceptionnelle de 200 000€, sous forme de subvention, il s'agissait d'aider les investissements permettant notamment à l'entreprise de faire face à la concurrence low cost, de maintenir les emplois et d’améliorer ses performances environnementales en allant au-delà de certaines normes européennes.

D'ailleurs, l’intervention régionale porte sur les acquisitions suivantes :
- Une unité d’abattement du cuivre et du nickel présents dans les eaux de rejets de l’usine
- Un système de séparation de la filière chrome
- Un système de récupération du cuivre en amont sur les chaines afin de réduire le volume de cuivre dans les boues
- Des laveurs de gaz pour solubiliser les polluants de l’air par pulvérisation d’un mélange d’eau et de soude. Il s’agit d’installer trois laveurs afin d’améliorer les résultats des mesures

Le projet d’investissement de l’entreprise est de 10M€ quasiment. Un emprunt à hauteur de 1M€ est prévu par l'entreprise. Le Conseil départemental du Cantal et l’Agence de l’eau ont été sollicités. Pour le reste, c'est l'entreprise et ses principaux actionnaires qui prennent en charge les frais.

L’entreprise Auriplast effectue des bénéfices annuels compris entre 3,5 et 4,5M€ ces trois dernières années. Elle est détenue par la société Qualipac (706K€ de bénéfice en 2014, -700k€ en 2013) et appartient à la branche plastique du groupe Pochet (-5M€ en 2014 et 3,8M€ de bénéfice en 2013), un groupe qui investit beaucoup ces dernières années et réinjecte une part importante de ces bénéfices dans ses filiales, à l'instar de la SAS Auriplast. On est bien loin d'une grande entreprise ou d'une grande multinationale qui effectue du chantage auprès des collectivités ou qui engrange des bénéfices et de l'argent public pour le seul bénéfice de ses actionnaires... Qu'est-ce qui a pu motiver le vote contre des élus FdG ?

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mercredi 21 octobre 2015

Motion pour la liberté d’expression et la liberté d’Erri De Luca

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Déposé par le groupe EELV, cette motion n'a pas fait l'objet de vote en plénière le 20 octobre dans la mesure où le groupe EELV a décidé de retirer le texte compte tenu de l'acquittement la veille d'Erri De Luca. Notons malgré tout qu'avant cette décision, et qu'en dépit de nos précautions de langage vis à vis du projet de LGV Lyon Turin, le PS avait décidé de voter contre ce texte (il ne faut pas s'immiscer dans des affaires de justice nous avait-t-on répondu, à l'instar de la réponse qui avait été faite par Ségolène Royal à Noël Mamère quelques jours plus tôt à l'Assemblée nationale) et que le PCF, qui ne savait pas encore ce qu'il allait voter, trouvait ce texte "tendancieux" et avec un argumentaire "disproportionné".

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Près de 90 personnalités de la culture se sont jointes à la pétition européenne réclamant la liberté pour l'écrivain Erri De Luca, menacé de prison pour "incitation au sabotage" après avoir exprimé son opposition au projet de ligne à grande vitesse Lyon-Turin. Au total, plus de 500 personnalités issues de 20 pays, défendent aujourd'hui le droit à la liberté d'expression et demandent la levée des sanctions encourues par l’écrivain Erri De Luca, prix Fémina étranger en 2002 et prix européen de littérature en 2013.

En effet, le parquet de Turin a requis le mois dernier huit mois de prison ferme contre l'écrivain de 65 ans, en raison de la "force persuasive" des paroles d'un écrivain à "la notoriété internationale". La décision a été mise en délibéré au 19 octobre.

Pourtant, l’écrivain a toujours soutenu qu’il parlait au figuré lorsqu’il déclara, au téléphone à un journaliste du Huffington Post italien, « la ligne à grande vitesse doit être sabotée ». Effectivement, pour l’auteur, « c’est un mot qui n’est pas forcément synonyme de dégradation matérielle: saboter, ce peut être faire grève, faire obstruction, mal appliquer un ordre. C’est une formule de résistance civile, qui en appelle à la fraternité. »

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mardi 20 octobre 2015

Des aides régionales à coups de millions d'euros pour la dernière Session...

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A suivre : le détail des votes de chaque groupe politique dans un prochain article

Intervention liminaire de Pierre Pommarel - Président du groupe EELV

Cette Session est un véritable pincement au cœur. Tout d’abord parce qu’il s’agit de la dernière de notre collectivité avant la création d’un mastodonte dans lequel l’Auvergne devra trouver sa place et surtout ne pas être oubliée, négligée, voire dépossédée, et nous avons déjà une nouvelle alerte avec la proposition de délocaliser vers Lyon une partie des activités de maintenance TER prévues initialement à Clermont-Fd.

L'AUVERGNE DÉPOSSÉDÉE PAR LA FUSION ? NOUVELLE ALERTE AVEC LA DÉLOCALISATION DE L'ATELIER DE MAINTENANCE TER

C’est avec un sentiment mêlant l’incompréhension et une pointe d’amertume que nous appréhendons cette nouvelle organisation territoriale dont la justification est démentie chaque jour, y compris cette fois-ci M. Le Président, par une Agence de notation à laquelle vous aimez faire référence. Les conclusions de Standard and Poors sont claires et corroborent les nôtres : « le processus de fusion des régions françaises ne devrait pas générer d’économies d’échelle ou autre optimisation des dépenses de nature à modifier significativement leur trajectoire budgétaire ».

Cette réforme a été faite à l’envers, elle ne solutionnera rien et, comme les citoyens, nous ne la comprenons pas car elle est vide de sens : seulement ¼ des français adhèrent à cette réforme d’après le dernier sondage TNS Sofres, ils sont 56% à considérer qu’elle entraînera une moins bonne prise en compte de leurs besoins et 54% à penser qu’elle aura des impacts négatifs sur les dépenses publiques, c’est une triste réalité.

UN SENTIMENT D'INACHEVÉ : MENTION ASSEZ BIEN POUR LA RÉGION

Chers collègues, cette dernière Session est aussi un véritable pincement au cœur car, en tant qu’écologistes, en tant qu’hommes et femmes de gauche, nous avons un sentiment d’inachevé.

Notre majorité a accompli de belles choses, c’est indéniable, malgré des restrictions budgétaires de l’Etat sans précédent, malgré le poids considérable de la dette laissée par Giscard à l’Auvergne. Comme l’a constaté la chambre régionale des comptes, et même si ça ne plait pas à la droite, notre majorité a réduit l’endettement de notre Région et a beaucoup œuvré pour le développement économique ; elle est d’ailleurs l’une des Régions qui consacre le plus d’argent par habitant aux entrepreneurs.

Notre majorité a singulièrement fait avancer des chantiers délaissés par la droite, si bien qu’aujourd’hui, Laurent Wauquiez tente de tromper les électeurs en piochant dans ce qui existe déjà et dans nos réussites pour établir une partie de son programme de campagne.

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vendredi 16 octobre 2015

Chantage de la SNCF sur fond de fusion des Régions : c’est l’Auvergne qui trinque et le ferroviaire encore une fois !

Communiqué du 16 octobre 2015 du groupe EELV du Conseil régional d'Auvergne

Malgré des moyens limités, et une compétence qui n’est pas la sienne, le Conseil régional d’Auvergne s’est fortement mobilisé ces dernières années pour sauver le Rail en Auvergne, en dépit de l’incurie et du sous-investissement de l’Etat et d’une SNCF qui abandonne de plus en plus son cœur de métier. Preuve de sa détermination, notre collectivité avait d’ailleurs budgété la construction d’un nouvel atelier de maintenance des rames TER dans le quartier du Brézet à Clermont-Fd.

Pourtant, la Région pourrait finalement rétropédaler sur ce dossier et céder peut-être au chantage de la SNCF dès mardi prochain, jour de la dernière Session du Conseil régional d’Auvergne. C’est en tout cas ce que préfigure une délibération qui prévoit de délocaliser vers Lyon et Nevers une partie des activités de maintenance prévues initialement sur Clermont.

Dans ce dossier la SNCF joue la montre et profite de la fusion des Régions pour s’asseoir une fois de plus sur un projet qui devait permettre non seulement de créer 10 postes de cheminots sur Clermont-Fd, mais aussi d’entretenir localement les rames utilisées sur le réseau ferroviaire auvergnat plutôt que de les envoyer ailleurs et de perdre du temps et de l’argent. Ce projet aurait représenté un vrai plus pour la disponibilité du matériel roulant et donc au bout du compte pour la qualité du service offert aux usagers.

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mercredi 30 septembre 2015

Changements Climatiques en Massif Central

8 oct. 2015 - Clermont-Ferrand

Co-organisé par RAEE

Séminaire de restitution des ateliers et pistes pour agir au sein du projet de Réseau d’Information Changement Climatique Massif Central (RICCMAC)

Rhônalpénergie-Environnement et l’ARPE Midi-Pyrénées, avec l’appui du Conseil Régional Auvergne, organisent ce séminaire dans le cadre du projet RICCMAC (Réseau d’information sur le changement climatique dans le Massif Central).

Cette journée de travail est destinée aux acteurs institutionnels, économiques, scientifiques et associatifs du Massif Central.

Elle donnera l'occasion de présenter l’état des lieux de la connaissance des changements climatiques et d'échanger autour des attentes exprimées par les acteurs locaux lors des huit journées de travail sur le massif.

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mardi 29 septembre 2015

Sauver l’Aubrac : la mobilisation doit s’intensifier !

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Communiqué du 29 septembre 2015

La ligne Clermont-Ferrand - St Flour- Millau- Béziers est menacée de fermeture depuis la mise en service de l'autoroute A75. Négligé par la SNCF puis par Réseau ferré de France, son entretien est réduit au minimum et les projets de rénovation de l'infrastructure pour en faire un axe alternatif pour le fret sont passés aux oubliettes.

Résultat : de nombreuses sections non rénovées (dont Neussargues-St Flour en Auvergne) font l'objet de ralentissements à 40 km/h (au lieu des 75/80 précédemment pratiqués sur la partie montagneuse). Les temps de parcours sont donc devenus excessifs pour les voyageurs et les liaisons sont devenues très rares (seul le train Intercités, l'Aubrac, assure la liaison de bout en bout et plus aucun TER ne circule sur la partie auvergnate). Même la desserte fret de l'aciérie ARCELOR MITTAL de St Chély d'Apcher est menacée alors qu'il s'agit d'un trafic lourd (chaque train d'acier quotidien est l'équivalent de 60 poids lourds !).

En dépit des demandes répétées des élus écologistes, ni l'Etat, ni la région Auvergne n'ont voulu inscrire des travaux sur cette ligne au titre du Contrat de Plan 2015/2020 pour rénover la partie auvergnate alors que la ligne est remise à neuf de Loubaresse (limite de région) à St Chély.

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lundi 28 septembre 2015

Projet éolien de la Chomette : soutien de Pierre Pommarel, conseiller régional

Je suis consterné de constater les oppositions systématiques à tous les projets éoliens en Auvergne. C'est bien évidemment le cas pour celui de la Chomette.

Je pense qu'il y a mieux à faire pour l'écologie que d'entraver l'indispensable développement de l'éolien, déjà très en retard en France.

Aujourd'hui encore, seulement un peu plus de 2 %de notre électricité est d'origine éolienne, alors qu'on atteint 10 % en Allemagne, 23 % en Espagne, 33 % au Danemark ...)

Il y a vraiment le feu à la planète,mais en avons nous pleinement conscience ? Cela a pourtant crevé les yeux avec cet été caniculaire !

On a déjà mis tant de contraintes au développement de l'éolien (schéma régional éolien, éloignement de + en + loin des habitations, diverse contraintes de zonages écologiques, etc...), qu'on se demande bien comment on va pouvoir atteindre les objectifs ,pourtant pas bien ambitieux, du schéma régional climat air énergie : 30 % d'énergies renouvelables dans la consommation d'énergie finale en Auvergne en 2020.

Alors ne parlons même pas de la stabilisation des émissions des gaz à effet de serre (à quelques semaine de la COP 21) et encore moins d'une sortie du nucléaire, lui franchement dangereux pour la santé, voire pour la survie de l'humanité...

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mercredi 23 septembre 2015

Intervention liminaire de Fatima Bezli - Session du Conseil régional d'Auvergne du 22 septembre

Monsieur le Président, mes chers collègues,

CRISE AGRICOLE : LE DOUBLE DISCOURS DE LA DROITE

Populiste, incohérente et schizophrène ; la droite a encore mis la barre très haut ces dernières semaines. A l’instar de la FNSEA et de ses satellites, elle a continué de mener son double discours historique à l’égard du monde agricole, feignant de défendre une agriculture de proximité et le revenu des producteurs.

Cette plaisanterie à répétition se heurte pourtant à l’épreuve des faits dans la mesure où les mots d’ordre de la droite se rejoignent dans une trinité infernale :

  • Plus de compétitivité, c’est-à-dire plus de capacité de vendre moins cher que les concurrents, ce qui suppose des prix inférieurs aux coûts de production, des charges transférées, l’injection permanente de nouvelles aides dans la chaîne de production.
  • Plus d’exportation, autrement dit une part croissante de la production vendue sur des marchés mondiaux qui, sauf exception, sont constitués par des prix de braderie.
  • Plus de modernisation et d’innovation qui, sous l’apparence d’une sonorité positive, représentent toujours plus d’investissements insupportables pour les producteurs, plus d’industrialisation de l’agriculture, plus de déshumanisation et de perte d’emplois, plus d’élimination des petites fermes, qui pourtant, sont les plus généreuses pour l’emploi, pour le revenu des paysans, la biodiversité, la qualité de l’eau et les paysages.

L’ex-président de la chambre d’agriculture alternative du Pays Basque qui dresse ce constat ne s’y trompe pas lorsqu’il déclare : " il n’est pas possible de revendiquer du matin au soir et tous les jours, davantage de libéralisme et de compétitivité, puis, avec le même aplomb, d’exiger des soutiens publics, des aides pour faire face aux conséquences entraînées par ce qui a été revendiqué et obtenu ".

La droite s’émeut aujourd’hui de la baisse du prix du lait suite à la suppression des quotas qui régulaient la production. Pourtant, elle déplorait hier que les quotas aient entravé les exportations françaises et la compétitivité de la filière laitière.

La droite se veut le 1er défenseur des éleveurs. Hier pourtant, elle n’a jamais eu un mot sur une répartition plus équitable des aides et des productions, sur la taille des fermes usines, jamais un mot non plus à l’égard de la grande distribution.

Les boucs émissaires sont toujours les mêmes pour la droite et ses futurs candidats, un jour le loup ou le campagnol terrestre, un autre les contraintes administratives et environnementales, de la Région, de la France ou de l’Europe.

La droite demande tout et son contraire et surtout le contraire de ce qu’il faut faire.

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lundi 7 septembre 2015

Réunions publiques à venir

Ça sert à quoi des élus régionaux écologistes ? Prochaines réunions publiques de présentation du bilan de mandat des élus régionaux écologistes :

- Le Jeudi 10 septembre à Riom (63) : 19h, café le Glacier, entre le Rexy et la Cour d’Appel

- Le Vendredi 11 septembre à Brioude (43) : 20h, Salle de l’Instruction, Place du Postel

- Le Samedi 12 septembre à Aurillac (15) : 14h-16h, Centre social du Cap Blanc 10 rue du Dr Chibret

- Le Mardi 15 septembre à Moulins (03) : 19h, Café librairie « Le goût des autres », 10 Place Marx Dormoy

- Le Mardi 29 septembre à Thiers (63) : 20h, Espace – Salle Copernic, Place Saint-Exupéry

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lundi 31 août 2015

Une politique des transports catastrophique

Article de la Montagne du 11 juillet 2015 suite à notre conférence de presse en présence de Danielle Auroi et Nicolas Bonnet

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vendredi 10 juillet 2015

Voeu relatif à l’imagerie médicale dans notre région

Session du Conseil régional d'Auvergne du 30 juin 2015 - Voeu déposé par les groupes EELV, FdG et PS

Aujourd’hui, la France dispose d’un taux d’équipement insuffisant en scanner avec 17 scanners par million d’habitants. À titre de comparaison la moyenne dans les pays de l’OCDE est de 23.6.

L’Auvergne est encore plus mal lotie avec un taux d’équipement de 15.4 scanners par million d’habitants. La Haute-Loire est manifestement le département le moins équipé avec un seul scanner pour 225 686 habitants malgré un besoin avéré sur le bassin de Brioude, un bassin de santé qui possède d’ailleurs l’un des plus fort taux de personnes âgées de la Région. D’autres départements de l’Auvergne sont impactés par ce manque de moyens comme en témoigne la situation rencontrée par le centre hospitalier d’Ambert confronté à des réalités démographiques et économiques identiques à celles du centre hospitalier de Brioude.

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jeudi 9 juillet 2015

Appel de parlementaires français pour le maintien de la Grèce dans la zone Euro et la restructuration de sa dette

Voici l’appel des parlementaires, dont Danielle AUROI, Présidente de la Commission des Affaires européennes à l’Assemblée nationale, est une des initiatrices.

Paris, le 7 juillet 2015

Appel de parlementaires français pour le maintien de la Grèce dans la zone Euro et la restructuration de sa dette

Au lendemain du référendum qui a exprimé la volonté du peuple grec de refuser de nouvelles mesures d’austérité, la France, avec l’ensemble de ses partenaires européens, est amenée une nouvelle fois à la table des négociations.

L’enjeu est immense, pour l’avenir de la Grèce comme pour l’avenir de l’Union toute entière. Tous les peuples européens sont très attentifs au sort qui sera fait au peuple grec.

Plutôt que prendre le risque d’un éclatement de la zone euro, saisissons l'opportunité de sortir de la crise européenne : l'Europe « en panne », « loin des citoyens », peut enfin retrouver du sens et des perspectives. Mais pour cela il nous faut faire des choix hardis, comme nos prédécesseurs ont pu le faire au moment de la renégociation de la dette allemande et au moment des grandes étapes de la construction européenne.

La crise majeure que nous traversons rappelle aussi l’urgente nécessité de donner une véritable conduite démocratique de la zone euro pour que les peuples européens aient toute leur place dans les choix économiques, sociaux et environnementaux.

Alors que nos institutions nationales restent en deçà des possibilités ouvertes à nos collègues allemands, nous devons sans attendre approfondir l’ancrage démocratique des questions européennes au sein de notre Parlement et donner un mandat clair au chef de l’Etat et au Gouvernement.

Nous saluons à ce titre l’organisation d’un débat à l’Assemblée nationale demain 8 juillet portant sur ce sujet. Mais demain il sera peut-être trop tard.

Alors que des réunions cruciales se tiennent à Bruxelles, nous, représentant-e-s du peuple français, appelons donc dès aujourd’hui le Gouvernement à user de tout son poids pour faire entendre la voix de la solidarité et de la démocratie dans l’Union, seules garantes de notre avenir commun, et ainsi

• à s’engager pleinement pour le maintien de la Grèce dans la zone Euro et de s’opposer avec vigueur à toute stratégie visant à sa sortie ;

• à ouvrir dès à présent les discussions pour la restructuration de la dette grecque, et plus généralement de la dette des États européens, afin de la rendre soutenable , y compris avec la tenue, à terme, d’une Conférence européenne de la dette,

• à accompagner le Gouvernement grec dans les nécessaires réformes pour une fiscalité plus juste et une lutte renforcée contre la corruption tout en mettant un veto à de nouvelles mesures d’austérité visant de manière indiscriminée la population grecque déjà exsangue ;

• à appuyer la mise en œuvre d’un grand plan d’investissements européens destiné à financer l’économie réelle dont la transition écologique, dont la Grèce serait l’un des premiers bénéficiaires.

Pour toutes ces raisons, nous demandons que le débat sur la Grèce qui aura lieu demain soit suivi d'un vote, comme la Constitution le permet au titre de son article 50.1.

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mercredi 8 juillet 2015

Priorité aux Trains d'équilibre du Territoire et aux transports du quotidien

Session du Conseil régional d'Auvergne du 30 juin 2015 - Voeu déposé par EELV et le FdG

La commission parlementaire présidée par Philippe Duron, député du Calvados, a rendu le 26 mai dernier son rapport « Trains d’Equilibre du Territoire : agir pour l’avenir ».

Si le diagnostic du rapport ne fait guère débat – dégradation de la qualité et de l’offre de service pour des liaisons délaissées, répartition confuse des responsabilités entre l’Etat et SNCF Mobilités, vieillissement du matériel roulant, etc. – certaines de ses préconisations ne sont pas acceptables au moment où la France s’apprête à accueillir un sommet mondial sur le climat.

Pour l’Auvergne, ses recommandations sont aux antipodes de l’aménagement durable et solidaire du territoire, et ajoutées au maigre engagement de l’Etat sur le volet ferroviaire du Contrat de Plan Etat Région 2015-2020 et à la libéralisation des transports par autocars qui viendra concurrencer certaines liaisons ferroviaires, ce rapport, s’il était suivi à la lettre par le gouvernement, ferait de l’Auvergne un futur cul-de-sac ferroviaire.

Il s’agirait d’un gâchis financier venant remettre en question l’utilité des financements publics apportés ces dernières années, par notre collectivité notamment, pour la modernisation des infrastructures.

De plus, le retrait de l’Etat sur certaines liaisons TET est susceptible également de fragiliser le trafic de fret. C’est par exemple le cas sur Clermont-Béziers et pour l’activité industrielle d’Arcelor Mittal à St Chely d’Apcher.

Ainsi, le Conseil régional d’Auvergne :

- affirme le rôle primordial du rail pour l’aménagement du territoire national et la desserte des villes moyennes et des axes transversaux.

- s’oppose aux préconisations du rapport Duron consistant à supprimer les liaisons TET Montluçon-Bourges et Lyon-Montluçon-Bordeaux et appelle le gouvernement à ne pas suivre cette recommandation

- s’oppose aux préconisations du rapport Duron consistant à reporter sur la route les dessertes TET de l’Aubrac et de l’axe Bordeaux-Clermont-Lyon et appelle le gouvernement à ne pas suivre ces recommandations qui auront pour effet de détourner encore plus d’usagers des transports collectifs

- est très inquiet sur les modalités des compensations financières envisagées par l’Etat pour les Régions sur le transfert des liaisons TET vers les régions, à l’exemple du Cévenol

- approuve les préconisations du rapport Duron consistant à renouveler le matériel roulant et à augmenter les fréquences de circulations des TET sur les axes Clermont-Paris et Nantes-Tours-Moulins-Lyon et appelle le gouvernement à suivre ces recommandations

- propose une convention tripartite entre la Région Languedoc Roussilon, l’Auvergne et l’Etat pour le financement de la liaison du Cévenol

- attend du gouvernement des mesures ambitieuses et cohérentes en faveur du développement des transports collectifs, en particulier sur le transport ferroviaire dont le modèle de financement est à bout de souffle

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mardi 7 juillet 2015

Pour une démocratie renouvelée en Auvergne-Rhône-Alpes

La session conjointe entre Auvergne et Rhône-Alpes a été l’occasion pour les écologistes de présenter dans une intervention à trois voix leur vision d’une nouvelle Région écologique, citoyenne et solidaire.

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Visionner les discours de Fatima Bezli, Philippe Meirieu et Jean-Charles Kohlhaas : cliquer ici

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