Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

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Tag - Droits Citoyenneté

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mercredi 26 juin 2013

Voeu en hommage à Clément Meric (militant antifasciste)

Voeu adopté par EELV, le FdG, et le PS. L'UPA n'a pas pris part au vote.

Le 5 juin, des militants d’extrême-droite ont tué Clément Méric, syndicaliste étudiant et militant antifasciste. Ce meurtre est indigne et révoltant. Il s’inscrit dans la suite de très nombreuses agressions commises par des groupes d’extrême-droite ces derniers mois.

Confortés par des partis reprenant à leur compte des propos et des pratiques de l’extrême-droite, les groupes fascistes refont surface. Les dernières actions contre le mariage pour tous ont été l’occasion pour eux d’être mis sur le devant de la scène. Les conseillers régionaux d’Auvergne dénoncent la banalisation insupportable du FN et de ses idées xénophobes et racistes. L’exclusion, le rejet de l’autre, la fermeture des frontières, la désignation de boucs émissaires, la dénonciation de l’immigration comme responsable de tous les maux sont des attitudes qui, l’histoire en témoigne, conduisent au pire.

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mercredi 12 juin 2013

Les infos culturelles de Nicole Rouaire

2 millions d’euros de retombées économiques pour le festival d’Aurillac

D’après l’étude menée par le CRDTA, en attirant plus de 28 000 festivaliers, dont les 2/3 extérieurs à l’Auvergne, l’impact économique direct du festival du théâtre de rue s’élève à 2 millions d’euros. Deux sources d’impact économique ont été prises en compte pour réaliser cette étude : les dépenses locales des organisateurs du festival et les achats et consommations des festivaliers pendant leur séjour. La dépense quotidienne est estimée à 84€ par visiteur grand public, 154€ par membre de compagnies, et 184€ par personne accréditée. La restauration profite le plus de cette consommation (0, 64M€). Viennent ensuite les commerces (0,6M€), l’hébergement (0,45M€) et les bars (0,31M€). A l’heure où certains voudraient sacrifier la culture pour faire des économies, il y a des chiffres qui ne trompent pas…

Etude sur les retombées socio-économique du patrimoine auvergnat et bilan sur l’état sanitaire du patrimoine protégé

… C’est d’ailleurs notamment dans cette optique, qu’une étude vient d’être commandée sous l’impulsion de N. Rouaire, pour déterminer précisément et avec fiabilité les retombées socio-économiques et les retombées en termes d’emplois du patrimoine en Auvergne. Cette étude (qui permettra également de comprendre ce que représente un euro investi et les conséquences en Auvergne si l’investissement public s’arrêtait) est financée à parité par le Conseil régional et la DRAC. Grâce à cette étude, notre collectivité connaitra plus précisément les types de métiers du patrimoine, et dès lors, les besoins en formation pourront être anticipés afin que les savoir-faire soient transmis. Les conclusions de cette étude situeront les enjeux par territoires et typologies patrimoniales et permettront d’avoir une vision tout à fait objective des enjeux de la restauration et de la valorisation du patrimoine auvergnat, au-delà de l’aspect purement culturel et historique. Elles viendront s’ajouter aux éléments d’analyse du bilan dressé récemment par la DRAC dans une étude portant sur l’état sanitaire du patrimoine protégé. Cette dernière montre que l’état sanitaire d‘une partie du patrimoine classé et inscrit (2155 édifices) est en mauvais, voire très mauvais état.

Mises bout à bout, toutes ces analyses permettront à l’Etat et aux collectivités d’effectuer en toute connaissance de cause des choix techniques, financiers, mais aussi politiques pour la sauvegarde du patrimoine bâti de l’Auvergne.

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mardi 4 juin 2013

Clermont-Ferrand : une demi-journée consacrée aux langues régionales et aux politiques territoriales


Sur invitation de Gustave Alirol, conseiller régional d’Auvergne, en charge de l’évaluation de la politique linguistique et culturelle en faveur de l’Occitan, le député Paul Molac et l’eurodéputé François Alfonsi étaient présents lundi 27 mai à Clermont-Ferrand pour une demi-journée de rencontre consacrée aux langues régionales et aux politiques des territoires.

Etat des lieux des politiques du Conseil Régional d’Auvergne en faveur des langues régionales et de l’Occitan, actions législatives en manque d’ambition, dont l’acte III de la décentralisation est l’exemple le plus éloquent, renoncement de François Hollande à faire ratifier la Charte Européenne des langues régionales et minoritaires (engagement n°56 du programme présidentiel), politiques structurelles européennes, etc. sont autant de thèmes qui furent abordés au cours de cette journée, au terme de laquelle les élus ont donné une conférence de presse, en présence de Christian Bouchardy et Pierre Pommarel.

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jeudi 30 mai 2013

31 mai – Conférence «Energies / énergies fossiles et autres ressources de notre petite planète»

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A l’occasion du débat national sur la transition énergétique, Cheires AMAP et les Paniers Champanellois, s’approprient le sujet et vous convient à une conférence débat sur la thème :

Energies / énergies fossiles et autres ressources de notre petite planète : point de vue d’un géologue et écologiste, par Christophe LANSIGU,(président de Cheires-AMAP) le Vendredi 31 mai 2013, 20 h 30, dans les locaux du CPIE Clermont-Dômes (Theix – St Genès Champanelle)

Un état des lieux, quelques preuves de la nécessité de la transition énergétique et… de l’inéluctable changement de modèle de société qui l’accompagne. A partir de faits simples et d’un petit tour du monde de la consommation de ressources naturelles, nous essaierons d’en savoir un peu plus sur la marche du monde et les inévitables changements à venir dans nos habitudes de consom’acteurs. Les gaz de schistes et l’uranium nous sauveront-ils du renchérissement du prix de l’énergie, ou sont-ils une fausse solution qui pourrait, au final, nous faire perdre un temps précieux et nous coûter très cher…

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jeudi 16 mai 2013

Communiqué de presse : Le diesel et la France, un amour désuet, un pied de nez pour l’emploi et la transition énergétique

Communiqué de presse des élus EELV du Conseil Régional d'Auvergne - 15 mai 2013

Interrogé à l’Assemblée nationale, M. Cazeneuve a annoncé que le gouvernement ne relèverait pas la fiscalité sur le diesel en 2014, tout en soulignant que la question restait « ouverte pour la suite ».

Ainsi, en plein débat sur la transition énergétique, le ministre du Budget a annoncé en substance, que le verdissement de la fiscalité française n’était pas pour demain, mais sait-on jamais, peut-être pour après-demain ! Alors que le diesel est un problème de santé publique majeur, comparable à celui de l’amiante, c’est malheureusement une fois encore les intérêts économiques de court terme, de l’industrie automobile notamment, qui ont prévalu, à l’instar du report de l’écotaxe poids lourd.

Cette histoire d’amour désuète entre la France et le diesel perdure depuis 30 ans et se traduit par des avantages fiscaux qui font perdre à l’Etat, sans-le-sou nous dit-on pourtant constamment, près de 8 milliards d’euros chaque année d’après la Cour des Comptes, auxquels il convient d’ajouter les coûts sanitaires et même les coûts socio-économiques pour la France. En effet, l’inadaptation structurelle de l’outil de raffinage français, qu’alimente l’accroissement de la consommation du gazole en France, contribue grosso modo pour 1 milliard d’euros au déficit de la balance commerciale de notre pays. De plus, alors que les exportations de voitures diesel françaises ne cessent de diminuer, continuer d’encourager le diesel en France est donc un véritable pied de nez aux ouvriers et aux salariés de l’industrie automobile pour qui la reconversion industrielle est la seule garante de leur emploi.

Le gouvernement ne peut pas, ne doit pas entretenir la fiction du redémarrage ou de la poursuite sous perfusion d’activités caduques qui ne préparent ni le fameux « redressement productif » de l’économie française, ni l’avenir de notre pays.

Avant dernière en Europe en matière de fiscalité environnementale, la France a l’occasion de profiter dès maintenant du débat national sur la transition énergétique pour s’orienter enfin vers une fiscalité juste, équitable et écologique. Néanmoins, ce débat national restera une opération de communication et un simulacre de démocratie, aussi longtemps que le statut quo sera proposé en matière de fiscalité et que l’Etat continuera de céder aux pressions des lobbys.

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mercredi 15 mai 2013

Tribune politique - Avril 2013 (Lionel Roucan)

Dans cette tribune, Lionel Roucan revient sur les enjeux du débat national sur la transition énergétique. Ce débat peut constituer une véritable opportunité pour sortir de la crise et offrir enfin à la France des lendemains plus chantants. A condition de s'en donner les moyens, de mettre le paquet sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables, et de faire jouer des mécanismes de solidarité et d’équité pour mettre fin à la précarité énergétique.

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******************* Pour voir la vidéo, cliquer ici ******************

Une étude du CNRS il y a quelques semaines a d’ailleurs bien fourni la preuve qu’un scénario ambitieux de maîtrise de l’énergie et de développement des EnR serait parfaitement utile pour l’emploi et la vitalité économique de la France : sa conclusion est sans appel.

Le scénario Négawatt, qu’EELV relaie fréquemment, qui repose sur une forte réduction de la consommation d’énergie, le développement massif des ENR, et une sortie du nucléaire d’ici 2033, générerait 632 000 emplois de plus d’ici 2030 que le scénario tendanciel, entendu comme une poursuite du modèle économique actuel.

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mardi 14 mai 2013

La voix est libre : transition énergétique, un avenir sans énergie (revoir l'émission de Fr3 en présence de Lionel Roucan)

Les réserves de pétrole ne sont pas inépuisables et le nucléaire est une énergie particulièrement contestée. Comment pourront-nous nous en passer dans une cinquantaine d’années ?

Le premier gisement ce sont les économies disent certains ou alors il faudra trouver autre chose. Oui mais quoi ? C’est le thème du débat sur la transition énergétique organisé en ce moment en France. Solaire, éolien, énergies renouvelables comme le bois ou le gaz de méthanisation, chacun avance sa solution.

Et si la vérité c’était un peu de tout ?

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Retrouver l'émission à laquelle participaient Lionel Roucan, Mireille Schurch, Daniel Vigier (FRANE), et Nathalie Frelier (Directrice Régionale de l'ADEME) en cliquant ici

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vendredi 26 avril 2013

Des défenseurs des langues régionales dénoncent le "mépris" du pouvoir

Le pou­voir poli­tique actuel cultive le "mépris" à l’égard des langues régio­nales, ont estimé mer­credi plu­sieurs défen­seurs de ces langues, qui déplorent que la France n’ait pas rati­fié la Charte euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires. "On peut par­ler d’un mépris" sur cette ques­tion des langues régio­nales "de la part du pou­voir poli­tique", a déclaré Gustave Alirol, Conseiller régio­nal d’Auvergne et pré­sident de "Régions et peuples soli­daires", qui se pré­sente comme une "fédé­ra­tion de par­tis poli­tiques régio­na­listes et auto­no­mistes progressistes". Le texte sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décen­tra­li­sa­tion, qui sera sou­mis pro­chai­ne­ment à l’examen des par­le­men­taires, sont par exemple deux textes "qui traitent par des­sus la jambe la ques­tion des langues régio­nales", a-t-il sou­li­gné lors d’une confé­rence de presse.

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Gustave Alirol a énuméré trois "exi­gences" pour défendre les langues régio­nales françaises.

"Nous conti­nuons à récla­mer, a-t-il dit, une révi­sion de la Constitution (...) indis­pen­sable si on veut don­ner un véri­table sta­tut à nos langues régio­nales, indé­pen­dam­ment de la rati­ti­ca­tion de la Charte" euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires.

La "deuxième exi­gence" porte sur "la prise en compte sérieuse des langues régio­nales" dans les textes sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décentralisation.

Gustave Alirol a enfin réclamé la "mise sur pied (légis­la­tive) d’un cadre sta­tu­taire pour les langues régionales".

Le député euro­péen écolo­giste François Alfonsi a estimé pour sa part que le gou­ver­ne­ment devait "impé­ra­ti­ve­ment, quand il fera une révi­sion consti­tu­tion­nelle (...), inclure (...) des dis­po­si­tions qui relancent la ques­tion des langues régio­nales en France".

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mercredi 17 avril 2013

La transition énergétique, une question sociale avant tout

A qui va profiter la transition énergétique ? Quels seront les leviers du changement ? A l'heure où le gaspillage énergétique est une valeur dans la société de consommation, il s'agit de rendre désirable une autre voie, celle de la sobriété.

"La transition énergétique est une problématique où tout ou presque relève du social : la gouvernance, la maîtrise de l'énergie, la justice sociale, la précarité énergétique, la sûreté, les impacts environnementaux et sociétaux : les choix techniques engagent la société sur le long terme. Les prix et les coûts relèvent du social", exposait Marie-Christine Zelem, Professeur de sociologie à l'université de Toulouse II, lors d'une audition du Conseil national de la transition énergétique, à Paris, le 11 avril. Ainsi l'autonomie et l'indépendance énergétique, la décentralisation, les acteurs des territoires, la gouvernance locale, l'acceptabilité sociale de technologies telles que le nucléaire, sont autant de questions sociales. L'efficacité énergétique renvoie à d'autres sujets que techniques : à qui sont destinés les équipements, pourquoi faire ?

Changer de culture plutôt que de technologie

Quant à la sobriété, elle implique la maîtrise de la demande, la sensibilisation, mais aussi la formation. Il s'agit rien moins que de changer de culture. Or la transition énergétique tend à occulter cette dimension dans la mesure où elle est "secondarisée" par rapport à une approche techno-centrée, top-down, reposant sur la croyance dans la technique, sur des scénarios, sur la technicisation des choix de société, sur la logique du lock-in technique qui s'accompagne d'irréversibilités. "Certains disent que la transition énergétique n'est pas sociale, mais elle invite les usagers à la responsabilisation. Or on a tendance à déléguer à la technique. Mais la transition énergétique est l'occasion de repenser les déplacements et les logiques". La responsabilité des choix techniques n'est-elle pas généralement renvoyée aux usagers, à travers la notion controversée d'acceptabilité sociale et des bonnes pratiques ? Les sociologues ne peuvent qu'intervenir en amont afin de repenser la problématique. "Demandons à toutes les catégories ce qu'elles veulent et ce qu'elles peuvent. Cessons de penser à la place de. Le dire n'est pas le faire. Trop d'info tue l'info. Savoir ne suffit pas à changer ses habitudes. Chassez le naturel, il revient au galop" : voilà de quoi revisiter nos cadres de pensée.

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jeudi 11 avril 2013

Quelques idées de sorties


** Jeudi 11 Avril à 20h à Beaumont : Peut-on cultiver son champ ou son jardin sans pesticides ?

Jeudi 11 avril, salle Anna Marly à la Maison des Beaumontois, la municipalité de Beaumont organise dans le cadre de la semaine du développement durable une soirée-débat intitulée “Peut-on cultiver son champ ou son jardin sans pesticides ?”

La soirée se déroulera de la manière suivante :

Introduction de Marc Saumureau, adjoint au maire de Beaumont chargé de l’environnement et du développement durable

Présentation par Hervé Mantelet, conseiller municipal de Beaumont, conseiller communautaire, de la charte d’entretien des espaces publics de Clermont Communauté

Projection du film : La magie des haies

Table-ronde débat avec le témoignage de Patrice Diaz (Jardiniers de France et Croqueurs de Pommes du Puy-de-Dôme), Jean-Sébastien Gascuel (Agriculteur biologique) Jean-Marie Sirvins (Président du Syndicat des Apiculteurs)

Diaporama : Comment jardiner autrement (Patrice Diaz)

Entrée libre

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vendredi 29 mars 2013

PNR Sources et Gorges du Haut-Allier : publication de la 2ème newsletter

logo_PNR.pngLe mot du Président :

Nous voici donc engagé dans l’écriture du projet de charte !

Après une année 2011 consacrée à l’écriture du diagnostic de territoire, une année 2012 consacrée au débat d’idées, 2013 portera sur l’écriture de la charte à partir de la maquette issue du forum de Saugues. Nous restons fidèles à la logique qui est depuis le début portée par l’association : celle d’une écriture collective, impliquant les acteurs de terrain. L’association organise des rencontres avec les Communes, les Départements, les Régions, et les organismes partenaires.

Nous savons tous combien le contexte économique et social est difficile. Lors de nos rencontres certains nous questionnent : un Parc dans ces conditions n’est-il pas un luxe ? Pourrons-nous en assumer le coût ? Va-t-il nous aider ou nous freiner ? L’exemple des PNR existants nous montre qu’un Parc naturel régional est un outil de dynamisme économique et de solidarité entre les Régions, Départements, Communes et Communautés de Communes. Construire ensemble un projet pour les années à venir, qui s’affranchit des frontières administratives, qui nous rassemble pour réaliser et financer des actions concrètes, qui nous fasse connaitre à l’extérieur, voilà le pari! Oui, plus que jamais nous avons besoin d’une ambition commune.

Lionel ROUCAN

Dernières actualités :

La maquette de la charte est sortie ! Issue du travail des ateliers, des débats du forum territorial de décembre dernier (Langogne - Chilhac et Saugues), voici la maquette de la charte proposée par le comité de rédaction et validée par l’association…. Pour consulter la maquette de la charte cliquez ici

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mardi 26 mars 2013

Charte des langues régionales : Bretons et occitans se mobilisent

La décision de François Hollande de ne pas ratifier la Charte des langues régionales ou minoritaires (mesure n°56 de son programme présidentiel) a provoqué une onde de choc chez les militants culturels et linguistiques bretons, basques et occitans.

Gustave Alirol déplore ce recul politique sur Corse Net Infos :

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Cliquer ici pour voir la vidéo :

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jeudi 21 mars 2013

Pour la transition énergétique : conférence – débat le jeudi 28 mars avec Yves COCHET et l’association NEGAWATT

Réduire les factures d’énergie, Anticiper la fin du pétrole, Réduire l’effet de serre, Sortir du nucléaire

Se chauffer, s'éclairer, se déplacer : l'énergie est au coeur de nos vies à tel point que nous n'en percevons les limites et que nous vivons dans l'illusion d'un monde aux ressources infinies.

Pourtant, la fin prévisible des réserves disponibles de pétrole, de gaz, de charbon, et même d'uranium, les bouleversements climatiques, les catastrophes écologiques, sont des signaux d'alerte qui ne laissent plus la place au doute : il est nécessaire et urgent de changer notre manière de consommer et de produire l'énergie.

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mercredi 13 mars 2013

Débat sur l'énergie à Clermont-Ferrand le 9 avril - Inscription jusqu'au 18 mars

logo_DNTE.png Dans le cadre du débat national sur la transition énergétique (DNTE), la Région Auvergne, en collaboration avec l’Etat, la DREAL, l’ADEME, vous invite à une journée régionale ouverte à tous, pour relayer au plus près des Auvergnats les 4 questions majeures soulevées dans ce débat :

1) Comment aller vers la sobriété et l’efficacité énergétiques ?

2) Quelle trajectoire pour atteindre le mix énergétique en 2025 ?

3) Quels choix en matière d’énergies renouvelables et de nouvelles technologies de l’énergie et quelle stratégie de développement industriel et territorial ?

4) Quel coût et quel financement pour la transition énergétique ?

Cette journée régionale se déroulera le 9 avril 2013 à la Grande halle d’Auvergne de 9h à 16h45.

Elle sera présidée par le Préfet de région et le Président de la Région et se déroulera sous l’égide d’un expert national sur les questions énergétiques : Pierre RADANNE.

Différents acteurs régionaux sont invités à exposer leur point de vue autour de 4 tables rondes successives animées par un journaliste professionnel. Chaque table ronde traite d’une des 4 questions majeures soulevées par le DNTE (voir le programme prévisionnel ci-dessous et en PJ).

Un temps d’échanges avec le public sera aménagé après chaque table ronde.

Pour vous inscrire : renvoyer le coupon réponse ci-joint avant le 18 mars (1 par personne) à l’adresse électronique suivante : DNTE@cr-auvergne.fr

Merci de bien vouloir diffuser ce message à vos réseaux …

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samedi 2 mars 2013

Pétition pour le droit de vote des étrangers aux élections locales dès 2014 !

droit_de_vote_etranger.png Poursuivons la mobilisation ! Signez et faites signer la pétition sur www.droitdevote2014.org

Cet appel « Pour une République fraternelle et solidaire » initié par la LDH réunit aujourd’hui une petite centaine d’associations, une vingtaine de syndicats, une vingtaine de partis politiques et des milliers de citoyens.

L'appel :

Le suffrage universel a été une longue conquête dans l’histoire de la République.

Si, en 1793, lors de la Révolution, la première République en adopta le principe, il fut réellement mis en oeuvre par la IIe République, après la Révolution de 1848. Mais le suffrage resta limité aux hommes jusqu’en 1944, lorsque fut enfin instauré, à la Libération, le droit de vote pour les femmes. Trente ans plus tard, en 1974, l’âge du droit de vote fut abaissé de 21 à 18 ans.

En 1998, les étranger(e)s citoyen(ne)s des pays de l’Union européenne résidant en France ont été admis(es) au vote et à l’éligibilité pour les élections municipales et au Parlement européen.

En mai 2000, l’Assemblée nationale vote une proposition de loi accordant le droit de vote et d’éligibilité aux élections municipales pour les étranger(e)s extracommunautaires, qui résident légalement sur le territoire depuis cinq ans au moins. Le Sénat, à son tour, le 8 décembre 2011, adopte cette même proposition. Il reste à mettre en oeuvre la révision constitutionnelle nécessaire.

De nombreux(ses) responsables politiques de gauche, et aussi du centre et de droite, se sont exprimé(e)s en faveur de ce droit.

En 2012, lors des élections présidentielles et législatives, la nouvelle majorité a inscrit cette réforme dans son programme. Conformément à ses engagements dans sa déclaration de politique générale, le Premier ministre, en juillet puis en septembre, a promis qu’il y aurait un projet de loi en 2013.

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