Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

jeudi 16 mai 2013

Communiqué de presse : Le diesel et la France, un amour désuet, un pied de nez pour l’emploi et la transition énergétique

Communiqué de presse des élus EELV du Conseil Régional d'Auvergne - 15 mai 2013

Interrogé à l’Assemblée nationale, M. Cazeneuve a annoncé que le gouvernement ne relèverait pas la fiscalité sur le diesel en 2014, tout en soulignant que la question restait « ouverte pour la suite ».

Ainsi, en plein débat sur la transition énergétique, le ministre du Budget a annoncé en substance, que le verdissement de la fiscalité française n’était pas pour demain, mais sait-on jamais, peut-être pour après-demain ! Alors que le diesel est un problème de santé publique majeur, comparable à celui de l’amiante, c’est malheureusement une fois encore les intérêts économiques de court terme, de l’industrie automobile notamment, qui ont prévalu, à l’instar du report de l’écotaxe poids lourd.

Cette histoire d’amour désuète entre la France et le diesel perdure depuis 30 ans et se traduit par des avantages fiscaux qui font perdre à l’Etat, sans-le-sou nous dit-on pourtant constamment, près de 8 milliards d’euros chaque année d’après la Cour des Comptes, auxquels il convient d’ajouter les coûts sanitaires et même les coûts socio-économiques pour la France. En effet, l’inadaptation structurelle de l’outil de raffinage français, qu’alimente l’accroissement de la consommation du gazole en France, contribue grosso modo pour 1 milliard d’euros au déficit de la balance commerciale de notre pays. De plus, alors que les exportations de voitures diesel françaises ne cessent de diminuer, continuer d’encourager le diesel en France est donc un véritable pied de nez aux ouvriers et aux salariés de l’industrie automobile pour qui la reconversion industrielle est la seule garante de leur emploi.

Le gouvernement ne peut pas, ne doit pas entretenir la fiction du redémarrage ou de la poursuite sous perfusion d’activités caduques qui ne préparent ni le fameux « redressement productif » de l’économie française, ni l’avenir de notre pays.

Avant dernière en Europe en matière de fiscalité environnementale, la France a l’occasion de profiter dès maintenant du débat national sur la transition énergétique pour s’orienter enfin vers une fiscalité juste, équitable et écologique. Néanmoins, ce débat national restera une opération de communication et un simulacre de démocratie, aussi longtemps que le statut quo sera proposé en matière de fiscalité et que l’Etat continuera de céder aux pressions des lobbys.

Lire la suite...

mercredi 15 mai 2013

Tribune politique - Avril 2013 (Lionel Roucan)

Dans cette tribune, Lionel Roucan revient sur les enjeux du débat national sur la transition énergétique. Ce débat peut constituer une véritable opportunité pour sortir de la crise et offrir enfin à la France des lendemains plus chantants. A condition de s'en donner les moyens, de mettre le paquet sur les économies d’énergie et les énergies renouvelables, et de faire jouer des mécanismes de solidarité et d’équité pour mettre fin à la précarité énergétique.

ScreenShot.jpg
******************* Pour voir la vidéo, cliquer ici ******************

Une étude du CNRS il y a quelques semaines a d’ailleurs bien fourni la preuve qu’un scénario ambitieux de maîtrise de l’énergie et de développement des EnR serait parfaitement utile pour l’emploi et la vitalité économique de la France : sa conclusion est sans appel.

Le scénario Négawatt, qu’EELV relaie fréquemment, qui repose sur une forte réduction de la consommation d’énergie, le développement massif des ENR, et une sortie du nucléaire d’ici 2033, générerait 632 000 emplois de plus d’ici 2030 que le scénario tendanciel, entendu comme une poursuite du modèle économique actuel.

Lire la suite...

mardi 14 mai 2013

La voix est libre : transition énergétique, un avenir sans énergie (revoir l'émission de Fr3 en présence de Lionel Roucan)

Les réserves de pétrole ne sont pas inépuisables et le nucléaire est une énergie particulièrement contestée. Comment pourront-nous nous en passer dans une cinquantaine d’années ?

Le premier gisement ce sont les économies disent certains ou alors il faudra trouver autre chose. Oui mais quoi ? C’est le thème du débat sur la transition énergétique organisé en ce moment en France. Solaire, éolien, énergies renouvelables comme le bois ou le gaz de méthanisation, chacun avance sa solution.

Et si la vérité c’était un peu de tout ?

La_voix_est_libre_DNTE.jpg

Retrouver l'émission à laquelle participaient Lionel Roucan, Mireille Schurch, Daniel Vigier (FRANE), et Nathalie Frelier (Directrice Régionale de l'ADEME) en cliquant ici

Lire la suite...

vendredi 26 avril 2013

Des défenseurs des langues régionales dénoncent le "mépris" du pouvoir

Le pou­voir poli­tique actuel cultive le "mépris" à l’égard des langues régio­nales, ont estimé mer­credi plu­sieurs défen­seurs de ces langues, qui déplorent que la France n’ait pas rati­fié la Charte euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires. "On peut par­ler d’un mépris" sur cette ques­tion des langues régio­nales "de la part du pou­voir poli­tique", a déclaré Gustave Alirol, Conseiller régio­nal d’Auvergne et pré­sident de "Régions et peuples soli­daires", qui se pré­sente comme une "fédé­ra­tion de par­tis poli­tiques régio­na­listes et auto­no­mistes progressistes". Le texte sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décen­tra­li­sa­tion, qui sera sou­mis pro­chai­ne­ment à l’examen des par­le­men­taires, sont par exemple deux textes "qui traitent par des­sus la jambe la ques­tion des langues régio­nales", a-t-il sou­li­gné lors d’une confé­rence de presse.

conf_presse_rps.jpg

Gustave Alirol a énuméré trois "exi­gences" pour défendre les langues régio­nales françaises.

"Nous conti­nuons à récla­mer, a-t-il dit, une révi­sion de la Constitution (...) indis­pen­sable si on veut don­ner un véri­table sta­tut à nos langues régio­nales, indé­pen­dam­ment de la rati­ti­ca­tion de la Charte" euro­péenne des langues régio­nales et minoritaires.

La "deuxième exi­gence" porte sur "la prise en compte sérieuse des langues régio­nales" dans les textes sur la refon­da­tion de l’école et l’acte III de la décentralisation.

Gustave Alirol a enfin réclamé la "mise sur pied (légis­la­tive) d’un cadre sta­tu­taire pour les langues régionales".

Le député euro­péen écolo­giste François Alfonsi a estimé pour sa part que le gou­ver­ne­ment devait "impé­ra­ti­ve­ment, quand il fera une révi­sion consti­tu­tion­nelle (...), inclure (...) des dis­po­si­tions qui relancent la ques­tion des langues régio­nales en France".

Lire la suite...

jeudi 25 avril 2013

Festival du film engagé du 26 au 28 avril

Du 26 au 28 avril, à Romagnat, l'UPC63 (Université Populaire et Citoyenne) organise le VIIème Festival du Film Engagé. De vendredi soir à dimanche, retrouvez des projections d’une grande variété de documentaires, suivies d’un débat.

FFE_2013-Affiche-724x1024.jpg

Lire la suite...

vendredi 19 avril 2013

Avec la transition énergétique, l’emploi serait gagnant

Les « conséquences économiques et sociales qu’aurait la mise en œuvre d'un “virage énergétique à la française” » sont positives, expliquent les ONG qui participent au débat sur la transition énergétique. Selon l'étude d'impact d'un économiste, le scénario de transition énergétique de l’Association d’experts indépendants négaWatt engendrerait une création nette de 235 000 emplois d'ici à 2020, notamment dans le bâtiment et les énergies renouvelables.

Menaces sur les raffineries, crise dans le bâtiment et l’automobile, fermeture de centrales nucléaires, problèmes dans les transports en commun, dépôts de bilans dans le photovoltaïque : l’actualité des dernières semaines impose de mettre l'emploi au cœur du débat en cours sur la transition énergétique voulu par le président de la République.

La question est centrale : quel pourrait être l’impact dans ce domaine de la mise en œuvre d’une politique ambitieuse en matière de réduction des consommations d'énergies par la sobriété et l’efficacité et de développement à grande échelle des énergies renouvelables, que les ONG et les associations du secteur de l’environnement appellent de leurs vœux ?

Aller au-delà des postures et des surenchères auxquelles peut conduire la crainte légitime de la destruction d’emplois existants, sans avoir de visibilité sur ceux qui seront créés, nécessite de disposer d’une analyse rigoureuse des conséquences économiques et sociales qu’aurait la mise en œuvre d'un « virage énergétique à la française » : c’est précisément à cette exigence que répond l’étude menée par Philippe Quirion, économiste, chargé de recherches au CNRS, publiée récemment.

Cette étude compare les impacts en 2020 et 2030 de deux scénarios contrastés : d'un côté le « tendanciel » qui prolonge les évolutions récentes et prend en compte les politiques déjà décidées, de l’autre le scénario de transition énergétique construit et rendu public en 2011 par l’Association d’experts indépendants négaWatt. Rappelons que ce dernier conduit à une division par deux dès 2030 des émissions de CO2 d’origine énergétique de la France et à une division par 16 en 2050, sans recours aux technologies incertaines telles que la capture-stockage du CO2, sans mise en service de nouvelles centrales nucléaires hors de prix et en fermant les centrales existantes après quarante ans d’exploitation au maximum.

Les résultats sont sans appel : la mise en œuvre du scénario négaWatt se solde par la création nette de 235 000 emplois en 2020 et de 632 000 en 2030, déduction faite des emplois détruits dans certains secteurs. Les créations d'emplois non délocalisables les plus nombreuses se situent dans le bâtiment grâce notamment à un programme massif de rénovation énergétique, et elles font bien plus que compenser le ralentissement de l’activité dans la construction neuve que l’on connaît actuellement. De même, les emplois créés dans les énergies renouvelables sont bien plus nombreux que ceux qui sont perdus dans les énergies fossiles et le nucléaire. En revanche, le solde s’avère négatif dans les transports, où le développement des transports en commun et du fret ferroviaire et fluvial ne compense pas complètement la baisse d’activité du fret routier, de l’aérien, des infrastructures routières et de l’automobile.

Lire la suite...

mercredi 17 avril 2013

La transition énergétique, une question sociale avant tout

A qui va profiter la transition énergétique ? Quels seront les leviers du changement ? A l'heure où le gaspillage énergétique est une valeur dans la société de consommation, il s'agit de rendre désirable une autre voie, celle de la sobriété.

"La transition énergétique est une problématique où tout ou presque relève du social : la gouvernance, la maîtrise de l'énergie, la justice sociale, la précarité énergétique, la sûreté, les impacts environnementaux et sociétaux : les choix techniques engagent la société sur le long terme. Les prix et les coûts relèvent du social", exposait Marie-Christine Zelem, Professeur de sociologie à l'université de Toulouse II, lors d'une audition du Conseil national de la transition énergétique, à Paris, le 11 avril. Ainsi l'autonomie et l'indépendance énergétique, la décentralisation, les acteurs des territoires, la gouvernance locale, l'acceptabilité sociale de technologies telles que le nucléaire, sont autant de questions sociales. L'efficacité énergétique renvoie à d'autres sujets que techniques : à qui sont destinés les équipements, pourquoi faire ?

Changer de culture plutôt que de technologie

Quant à la sobriété, elle implique la maîtrise de la demande, la sensibilisation, mais aussi la formation. Il s'agit rien moins que de changer de culture. Or la transition énergétique tend à occulter cette dimension dans la mesure où elle est "secondarisée" par rapport à une approche techno-centrée, top-down, reposant sur la croyance dans la technique, sur des scénarios, sur la technicisation des choix de société, sur la logique du lock-in technique qui s'accompagne d'irréversibilités. "Certains disent que la transition énergétique n'est pas sociale, mais elle invite les usagers à la responsabilisation. Or on a tendance à déléguer à la technique. Mais la transition énergétique est l'occasion de repenser les déplacements et les logiques". La responsabilité des choix techniques n'est-elle pas généralement renvoyée aux usagers, à travers la notion controversée d'acceptabilité sociale et des bonnes pratiques ? Les sociologues ne peuvent qu'intervenir en amont afin de repenser la problématique. "Demandons à toutes les catégories ce qu'elles veulent et ce qu'elles peuvent. Cessons de penser à la place de. Le dire n'est pas le faire. Trop d'info tue l'info. Savoir ne suffit pas à changer ses habitudes. Chassez le naturel, il revient au galop" : voilà de quoi revisiter nos cadres de pensée.

Lire la suite...

jeudi 11 avril 2013

Quelques idées de sorties


** Jeudi 11 Avril à 20h à Beaumont : Peut-on cultiver son champ ou son jardin sans pesticides ?

Jeudi 11 avril, salle Anna Marly à la Maison des Beaumontois, la municipalité de Beaumont organise dans le cadre de la semaine du développement durable une soirée-débat intitulée “Peut-on cultiver son champ ou son jardin sans pesticides ?”

La soirée se déroulera de la manière suivante :

Introduction de Marc Saumureau, adjoint au maire de Beaumont chargé de l’environnement et du développement durable

Présentation par Hervé Mantelet, conseiller municipal de Beaumont, conseiller communautaire, de la charte d’entretien des espaces publics de Clermont Communauté

Projection du film : La magie des haies

Table-ronde débat avec le témoignage de Patrice Diaz (Jardiniers de France et Croqueurs de Pommes du Puy-de-Dôme), Jean-Sébastien Gascuel (Agriculteur biologique) Jean-Marie Sirvins (Président du Syndicat des Apiculteurs)

Diaporama : Comment jardiner autrement (Patrice Diaz)

Entrée libre

Lire la suite...

mercredi 10 avril 2013

Alternative aux LGV POCL et Poitiers-Limoges : reportage de France 3

fr3_-_conf_presse_commune.jpg

Pour voir la vidéo, cliquer ici

Reportage : Jean Paul Vincent, Eric Taxil. Intervenants : Pierre POMMAREL (EELV), Conseil Régional d'Auvergne, Pierre MERIAUX (EELV), Conseil Régional Rhône-Alpes, Marc HORVAT (EELV), Conseil Régional du Limousin.

Lire la suite...

mercredi 3 avril 2013

7 avril : l’Alsace, un espoir pour tous les territoires ?

A l’heure où « l’acte III de la décentralisation » semble très mal parti pour tenir ses promesses, en tout cas pour répondre aux espérances des territoires en apportant une des clefs de sortie de la crise économique et politique, le référendum prévu en Alsace le 7 avril prochain ouvre, lui, un espoir véritable pour les Alsaciens en même temps qu’il représente pour les autres Régions une approche dont elles feraient bien de s’inspirer.

Initiée en commun par les trois collectivités alsaciennes (la région Alsace et les deux départements du Bas Rhin et du Haut Rhin), une innovation fondamentale va être soumise à la consultation des électeurs (sur la base de l’article L 4124-1 du code général des collectivités territoriales) : la fusion des trois collectivités en une collectivité territoriale unique, la Collectivité Territoriale d’Alsace, exerçant les compétences respectives des entités fusionnées. L’innovation est de taille sur le territoire métropolitain : même en Corse, le statut spécial de la Collectivité territoriale a dû se combiner avec le maintien des départements.

L’objectif est clair : mutualiser les moyens, réduire la complexité et les risques de chevauchement des compétences et de la sorte donner plus de poids et d’efficacité à l’action de l’ensemble des élus alsaciens.

Avec une diminution prévue de 10 à 20 % du nombre total d’élus, il y fallait d’abord du courage politique. Il fallait aussi et surtout une claire vision politique des besoins du territoire et de la manière d’y répondre institutionnellement.

Les élus d’Alsace en ont fait preuve pour imaginer le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux avec un couplage équilibré du scrutin majoritaire garantissant la représentation des territoires sur une base cantonale et du scrutin proportionnel assurant au plan régional la représentation des courants politiques et la parité.

La nouvelle architecture institutionnelle traduit elle aussi la préoccupation d’équilibre territorial avec la distinction entre le pouvoir délibératif conféré à l’Assemblée d’Alsace siégeant à Strasbourg et le pouvoir exécutif confié au Conseil exécutif d’Alsace établi à Colmar.

Manifestement, il s’agit là d’un projet qui, s’il est accepté par la population alsacienne, paraît en mesure de répondre, autrement que sur le mode politicien, à la lancinante question du « millefeuilles » territorial et de la suppression d’un échelon d’administration, ici le département, tout en permettant une représentation équilibrée des territoires (en laissant de côté la mise en place d’une « métropole » strasbourgeoise).

La vision politique n’a pas manqué aux concepteurs du projet : ils prévoient pour la nouvelle collectivité des moyens et des compétences élargis, y compris une « capacité règlementaire » afin d’adapter l’action publique, au sein de la République, aux spécificités alsaciennes, avec, en prime, le recours possible à « l’expérimentation ». Vision et clarté encore, afin de « créer des dynamiques renforcées », du point de vue des compétences envisagées, parmi lesquelles on peut noter, outre la coopération transfrontalière, l’économie et l’innovation, le logement et l’habitat ...la langue et la culture régionales !

Lire la suite...

37e congrès de France Nature Environnement - Mobilités de demain : « Se déplacer et transporter moins, mieux, autrement »

logo_frane.gif

Le 37ème Congrès National de France Nature Environnement (F.N.E.) aura lieu pour la première fois à Clermont-Ferrand les 4 et 5 avril 2013.

Ce congrès, organisé conjointement avec la F.R.A.N.E, est axé sur les mobilités et ses enjeux environnementaux (se déplacer et transporter moins, mieux, autrement).

Entre pollutions, territoires grignotés et importations massives de carburant, les transports pèsent lourd sur notre environnement, notre santé, notre économie et notre bilan énergétique. La crise actuelle exacerbe ces pressions mais elle constitue aussi une opportunité de réexaminer nos façons de nous déplacer. Des mobilités bien pensées concourent à la vitalité économique, au respect de la nature et au bien-être des individus.

Les 4 et 5 avril 2013, acteurs institutionnels, associatifs, syndicaux, économiques se retrouveront à l'initiative de France Nature Environnement pour débattre des mobilités de demain et élaborer des propositions concrètes. Quatre grandes questions guideront nos réflexions : quelles énergies pour quelles mobilités ? Quelle gouvernance pour un service d'intérêt général ? Quelle marge de manœuvre pour agir sur la demande en mobilités ? Les mobilités à quels coûts ?

Ouvert à tous, un Village des mobilités réunira associations, collectivités locales et entreprises travaillant sur cette thématique, ancrée dans notre quotidien. Des ateliers et démonstrations nous inviteront à changer nos habitudes de piéton, de cycliste ou d'automobiliste.

congres_FNE_-_FRANE.jpg


************** Cliquer ici pour consulter le programme **************

En partenariat avec :
L'Ademe - la Ville de Clermont-Ferrand - Le Conseil Général Puy-de-Dôme - le Conseil Régional Auvergne - le Crédit Coopératif - la Fondation PSA Peugeot Citroën - la SNCF

Partenariat Médias :
France bleu - la Gazette des communes - Terraeco

En collaboration avec :
CCI FRANCE - CEREMH - Certu - CFDT- CNES - FUB - IFSTTAR - PREDIT - UTP

Lire la suite...

samedi 30 mars 2013

Tribune politique - Mars 2013 (Pierre Pommarel)

Dans sa tribune politique du mois de mars, Pierre dénonce l'aberration économique, sanitaire et écologique du diesel.

Il rappelle que les transports routiers diesel comptent parmi les principaux émetteurs de particules fines, responsables d’environ 42000 décès prématurés en France. Les filtres à particules étant obligatoires sur les véhicules diesel neufs depuis 2011 seulement, la part des véhicules équipés reste très minoritaire dans le parc automobile actuel. De plus, ces filtres ne retiennent pas les particules les plus fines, les nanoparticules, ni les émissions d’oxyde d’azote, elles aussi très nocives pour la santé. N’en déplaise à A. Montebourg, les véhicules diesel neufs ou récents sont donc loin d’être propres.


****************** Pour voir la vidéo cliquer ici ******************

tribune_mars_2013_PP.jpg

Lire la suite...

vendredi 29 mars 2013

PNR Sources et Gorges du Haut-Allier : publication de la 2ème newsletter

logo_PNR.pngLe mot du Président :

Nous voici donc engagé dans l’écriture du projet de charte !

Après une année 2011 consacrée à l’écriture du diagnostic de territoire, une année 2012 consacrée au débat d’idées, 2013 portera sur l’écriture de la charte à partir de la maquette issue du forum de Saugues. Nous restons fidèles à la logique qui est depuis le début portée par l’association : celle d’une écriture collective, impliquant les acteurs de terrain. L’association organise des rencontres avec les Communes, les Départements, les Régions, et les organismes partenaires.

Nous savons tous combien le contexte économique et social est difficile. Lors de nos rencontres certains nous questionnent : un Parc dans ces conditions n’est-il pas un luxe ? Pourrons-nous en assumer le coût ? Va-t-il nous aider ou nous freiner ? L’exemple des PNR existants nous montre qu’un Parc naturel régional est un outil de dynamisme économique et de solidarité entre les Régions, Départements, Communes et Communautés de Communes. Construire ensemble un projet pour les années à venir, qui s’affranchit des frontières administratives, qui nous rassemble pour réaliser et financer des actions concrètes, qui nous fasse connaitre à l’extérieur, voilà le pari! Oui, plus que jamais nous avons besoin d’une ambition commune.

Lionel ROUCAN

Dernières actualités :

La maquette de la charte est sortie ! Issue du travail des ateliers, des débats du forum territorial de décembre dernier (Langogne - Chilhac et Saugues), voici la maquette de la charte proposée par le comité de rédaction et validée par l’association…. Pour consulter la maquette de la charte cliquez ici

Lire la suite...

jeudi 28 mars 2013

Journées de l'Energie du 29 au 31 mars

Dans le cadre du débat national sur la transition énergétique, le Gouvernement initie les Journées de l’Energie, qui auront lieu du 29 au 31 mars 2013.

journees_energie_2013.jpg

Consulter le programme des évènements organisés par les Espaces INFO→ENERGIE d’Auvergne en cliquant ici

Lire la suite...

mercredi 27 mars 2013

Quelle alternative aux projets de LGV POCL et Poitiers Limoges ? Les écologistes proposent un scénario alternatif trois fois moins coûteux !

Les projets de LGV inscrits dans le Schéma national des infrastructures de transport s’élèvent à 245 milliards d’euros, une somme hors de portée aujourd’hui et dans les 25 ans qui viennent. Dans la période de crise que nous traversons, où un euro d’argent public dépensé doit plus que jamais être un euro utile, les écologistes de 6 régions réunies ont tenu à apporter leurs réflexions à la Commission dite « Mobilité 21 », en charge de hiérarchiser avant juin les projets du SNIT.

Face aux projets de LGV Paris-Orléans-Clermont-Lyon et Poitiers-Limoges, les écologistes proposent une alternative permettant de désaturer les LGV existantes (Paris-Lyon et Atlantique) et de désenclaver le Massif Central sans attendre les calendes grecques : un réseau « Cœur de France » combinant l’optimisation des lignes existantes et la construction de lignes nouvelles seulement là où elles sont nécessaires et utiles. Pour un coût trois fois moindre !

scenario_alternatif_coeur_de_france.png

Lire la suite...

- page 21 de 60 -