Europe Ecologie - Les Verts Conseil Régional Auvergne

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Tag - europe écologie

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mercredi 18 mars 2015

Une nouvelle réserve naturelle en Auvergne : les cheires et grottes de Volvic

Le site des Cheires et des Grottes de Volvic vient d'être classé "réserve naturelle régionale", la deuxième d'Auvergne après le lac du Malaguet en Haute-Loire. La protection de cette zone de 61 ha est financée par le Conseil Régional. Elle sera gérée par la Ligue de Protection des Oiseaux.

Pour voir le reportage de France 3 du 13 mars 2015, cliquer ici

Reportage : Brigitte Cante, René Thévenot, Gilles Malfray. Intervenants : Jean-Jacques Lallemant (Ligue de Protection des Oiseaux - Gestionnaire du site), Christian Bouchardy (Vice-président du Conseil Régional d'Auvergne - EELV)

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mardi 17 mars 2015

Le barrage de la honte - Reportage France 3

Reportage du 14 mars : cliquer ici pour voir le reportage

Reportage : Christian Lamorelle, Maurice Tiouka et Patricia Raclet. Intervenants : Guy Godet, président de la Fédération de Pêche 63; Christian Bouchardy, vice-président du Conseil Régional; Jean-Claude Priolet, président de l'Union Régionale de Pêche.

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Les pêcheurs se sont rassemblés au barrage de la Bourboule (63). Le 13 février dernier, pour une raison encore indéterminée, plusieurs dizaines de milliers de tonnes de boue, étaient lâchées dans la Dordogne. Des milliers de poissons, des truites notamment, n'ont pas survécu à l'écoulement.

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vendredi 13 mars 2015

La Voix Est Libre : Spéciale élections départementales en Haute-Loire

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En Haute-Loire, 38 conseillers à élire dans 19 cantons : L’assemblée départementale sera profondément renouvelée. En votant dans chaque canton pour des binômes, le nombre de femmes élues en Haute-Loire sera multiplié par…3 !

Pour comprendre les enjeux de l’élection dans ce département ancré au centre-droit, quatre invités vont débattre sur France 3 Auvergne :

- Nicole Chassin, PS
- Marie-Agnès Petit, UMP
- Jean-Pierre Marcon, UDI
- Pierre Pommarel, EELV

Pour revoir l'émission du 14 février cliquer ici

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mercredi 11 mars 2015

Les associations de pêcheurs demandent la fermeture de ce barrage depuis dix ans

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Madame Danielle AUROI, Députée de la 3ème circonscription du Puy-de-Dôme et Présidente de la Commission des Affaires européennes à l’Assemblée nationale accompagnée de Monsieur Christian BOUCHARDY, Vice-Président Europe Ecologie Les Verts du Conseil Régional d’Auvergne, en charge de l’environnement, seront présents ce samedi 14 mars à 10h00 à la manifestation organisée par les AAPPMA (Associations Agrées de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique) locales au pied du barrage de La Bourboule.

Suite à l’ouverture brusque et inexpliquée de la retenue du barrage, celui-ci s’est vidé, répandant des tonnes de boues le vendredi 13 février 2015. Cet accident a causé d’importants dégâts et une pollution des eaux de la Dordogne, de La Bourboule à Bort-les-Orgues.

Les conséquences environnementales sont désastreuses et une catastrophe humaine aurait pu se produire.

Madame AUROI et Monsieur BOUCHARDY, soutiennent la demande des associations de pêche favorables au démantèlement de ce barrage.

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mardi 3 mars 2015

Bientôt un patrimoine de sept réserves régionales

Article de la Montagne du 1er mars 2015

Autorisée par les textes à créer ses propres réserves naturelles, l’Auvergne a sélectionné sept espaces naturels à mieux protéger.

Pour leur patrimoine exceptionnel, parce qu’elles sont parfois encore peu protégées et pour le consensus qu’elles dégagent, sept nouvelles réserves naturelles pourraient être créées sous deux ans en Auvergne.

Deux le sont déjà depuis septembre 2014 : celles de Malaguet et de Volvic. Le classement de deux autres est imminent pour protéger : le puy de Marmant et le val de Loire en zone de marge.

Le dossier des trois dernières est encore en cours mais Christian Bouchardy, vice-président du Conseil régional chargé de l’Environnement, espère le voir aboutir d’ici 2016… Si les scrutins et rapprochements interrégionaux permettent de donner suite à ce travail que l’Auvergne est l’une des dernières régions à mettre en place.

Ne pas confondre

Depuis 2002 (décret d’application de 2005), l’État autorise les régions à créer leurs propres réserves naturelles. À ne pas confondre avec les réserves nationales qui relèvent de la compétence de l’État (voir encadré).

Beaucoup se sont emparées de cette compétence puisque 138 réserves naturelles régionales ont déjà été créées. En Auvergne, on s’y est mis assez récemment. Concrètement : il y a trois ans, mais en réunissant les partenaires possibles, sur le principe de concertation. « Nous avons demandé à ce que l’on nous fasse remonter les idées », rappelle Christian Bourchardy. La Région ne voulait surtout pas que ses réserves soient perçues comme des zones de contraintes supplémentaires, mais avant tout comme des espaces partagés dans une logique de gestion durable. « Il y a deux manières de créer une réserve : soit la manière forte en fixant un périmètre d’autorité ; et l’on a vu ce que ça a donné, notamment sur la Sioule… Soit en partant d’une demande locale, avec des propriétaires qui sont d’accord. »

Quelque 150 projets sont remontés. Au final, sept ont été retenus, avec trois critères de sélection : la valeur patrimoniale des sites, leur vulnérabilité et leur faisabilité au regard de la maîtrise foncière.

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samedi 28 février 2015

Pétition pour la réouverture de la ligne de train transversale Bordeaux-Limoges-Lyon

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Nous sommes des utilisateurs réguliers de la ligne directe Limoges-Lyon, bien pratique pour voyager entre les régions Aquitaine, Limousin, Auvergne, Rhône-Alpes et même PACA avec la correspondance TGV à Lyon Part-Dieu. Mais depuis sa fermeture en décembre 2012, c'est devenu cher et compliqué de traverser la France.

Le direct mettait 4h50 entre Limoges et Lyon pour 50 Euros maximum. Maintenant il faut compter près de 6h et un changement de gare à Paris pour 130 Euros, le changement à Vierzon n'étant même pas proposé.

Les familles avec enfants, les jeunes, les étudiants, les personnes âgées doivent-ils tous devenir des adeptes du covoiturage?

Cette ligne transversale est-ouest est vitale pour desservir par le train un grand nombre de territoires français mal reliés par ailleurs.

Elle a été fermée en décembre 2012 pour cause de travaux d'amélioration sur la ligne. Une fois ces travaux terminés nous exigeons la remise en service de cet axe structurant - qui n'est hélas plus d'actualité d'après le président de la SNCF Guillaume Pépy (voir Radio SNCF).

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jeudi 26 février 2015

Non à la fermeture de la ligne Clermont – Neussargues – Béziers ! Soutien à la manifestation du samedi 28 février 2015

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Photo : François Célié

Communiqué du 26 février 2015 des élus EELV du Conseil régional d'Auvergne

Après la fermeture ces dernières années des sections ferroviaires entre Lapeyrouse et Volvic, entre Montluçon et Eygurande, après la suppression en juillet 2014, faute de volonté politique, de la liaison ferroviaire la plus directe entre Clermont-Fd, Ussel, Limoges, Brive et Bordeaux, auxquelles s’ajoutent de nombreuses détériorations de l’offre et de la qualité du service TER en Auvergne, l’élagage du réseau ferroviaire Auvergnat et du Massif Central se poursuit inlassablement.

Après avoir réduit l’offre de transport à la portion congrue sur la ligne Clermont-Neussargues-Béziers, l’Etat et la SNCF seraient prêts ces prochains mois - à l’été 2015 ou fin 2015 - à fermer carrément la ligne.

A contre-sens de l’aménagement durable et équilibré du territoire, aux antipodes des besoins des citoyens, cette fermeture est insupportable à plus d’un titre :

- Elle est le résultat du choix du tout routier et autoroutier par les décideurs avec la construction et la gratuité de l’A75 qui ont condamné cette ligne ferroviaire et la desserte fine d’un territoire isolé.

- Elle rendra les habitants d’Auvergne et du Languedoc Roussillon encore plus dépendants de la route et de l’énergie pétrolière. Le Comité pluraliste de défense de la ligne a évoqué 70 camions supplémentaires sur les routes chaque jour et 70 cars en plus chaque semaine.

- Elle est synonyme de gaspillage d’argent public puisqu’elle fait perdre une partie du bénéfice des efforts entrepris depuis 2007, notamment par le Conseil régional d’Auvergne, pour maintenir et rénover cette ligne : plus de 68 M€ ont été injectés sur Clermont-Aurillac, Arvant-Aurillac et pour le programme de maintien du fret sur cette ligne.

- Elle est le résultat d’orientations nationales exaspérantes en matière de transport et d’un aveuglement persistant de nombreux élus, locaux notamment, obnubilés par le TGV, alors que le réseau classique est négligé depuis 30 ans.

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mercredi 25 février 2015

Barrage de la Bourboule : un désastre écologique pour quelques kwh d’électricité

photo_Bourboule.jpg Photo : Gobages.com

Communiqué du 24 février 2015

Il faudra certainement des années et des années pour reconstruire le cheptel piscicole et l’attrait touristique du parcours qui charmait de nombreux pêcheurs, amoureux de la nature, promeneurs, vacanciers, passionnés de sports de nature, etc. En effet, après l’ouverture brutale de la vanne de fond du barrage de la Bourboule, qui a libéré en quelques heures plusieurs dizaines de milliers de mètres cubes de sédiments stockés depuis plus de 20 ans dans la retenue, c’est une boue épaisse, de plusieurs dizaines de centimètres parfois, qui a recouvert l’ensemble du lit de la Dordogne, provoquant une importante mortalité piscicole et probablement de l’ensemble des écosystèmes subaquatiques.

C’est un véritable désastre écologique qui vient de toucher la Haute Dordogne et notamment les emblématiques Gorges d’Avèze, dont la qualité du patrimoine naturel est indéniablement reconnue (Zone naturelle d’intérêt écologique faunistique et floristique, Natura 2000, etc.).

Cet événement est d’autant plus révoltant, que dès 2004, suite à plusieurs dysfonctionnements du barrage, le Comité de Rivière Haute Dordogne, composé d’élus locaux et d’acteurs de l’eau, avait alerté les pouvoirs publics sur les risques qu’il présentait à l’encontre de la population et des milieux naturels. Un comité de suivi du barrage de la Bourboule n’a pu au fil des dernières années que constater l’absence de gestion sédimentaire depuis 1994, année de la dernière vidange de la retenue.

photo_bourboule_2.jpg Photo : Gobages.com

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mardi 3 février 2015

Desservir à grande vitesse un cul-de-sac ferroviaire ?

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Session du Conseil régional du 2 février 2015- Intervention de Pierre Pommarel

Lors de la Session, il nous était demandé de nous prononcer pour le choix du tracé Ouest ou Médian du projet de LGV POCL. Le PS et le FdG se sont prononcés en faveur du tracé Médian, la droite en faveur du tracé Ouest. Les élus EELV ont voté contre les deux scénarios.

Il s’agit certainement de la dernière fois dans cette assemblée où nous aurons l’occasion de débattre aussi longuement sur le sujet du POCL, alors permettez-moi d’intervenir, au nom du Groupe EELV, avec tout le temps et toute la précision nécessaire.

Le constat suivant de la Cour des Comptes est sans appel : « Le bilan du TGV s’est fortement dégradé depuis quelques années : trafic et recettes en baisse, coûts de construction comme d’exploitation en hausse, recul important de la marge opérationnelle qui contribue de moins en moins au financement des autres activités, toutes déficitaires, de la SNCF. »

Le chiffre d’affaires du TGV a reculé de 4% pour la première fois en 2013.

Les coûts de construction des TGV sont en forte hausse, fois 4 environ, pour s’établir à 20M€ du kilomètre, tandis que les coûts d’exploitation ont été multiplié entre 2 et 6.

La rentabilité, et surtout la pertinence de nouveaux projets LGV sont aujourd’hui difficiles à justifier, quand bien même Réseau Ferré de France, avec l’aval et le lobbying des élus locaux réclamant chacun leur joujou TGV, s’appuie systématiquement sur des processus de décision sujets à caution et des estimations de coût et de trafic optimistes. Des estimations optimistes effectivement, puisque le trafic TGV est en moyenne 24% inférieur et le coût jusqu’à 17% supérieur aux prévisions.

Ceci étant dit, malgré ce constat, il y a fort à parier que plus d’un élu, y compris dans cette assemblée, plus d’une chambre consulaire, plus d’une association, TGV Grand Centre ou autre, continueront de vivre dans l’illusion, quitte à tenir des propos enflammés sur les bienfaits de la fée TGV et à engager des campagnes de communication à grand frais frisant l’obsession.

Et pourtant, là aussi la Cour des Comptes tord le cou à un certain nombre d’idées reçues en rappelant que « Les arguments les plus couramment utilisés pour la promotion de la grande vitesse ferroviaire se réfèrent à une mobilité accrue, un avantage environnemental par rapport aux autres modes de transport, une incidence positive sur l’activité économique et le développement régional. La portée et la pertinence de ces motivations se révèlent souvent contestables, sinon inexactes. »

Elle rejoint ainsi la Commission Mobilité 21, qui je vous le rappelle, rassemblait toutes les sensibilités politiques, et qui avait conclu que « les projets de LGV sont extrêmement coûteux et d’une efficacité économique controversée ».

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lundi 2 février 2015

Contrat de plan Etat-Région : l'Etat doit revoir sa copie !

Le PS et le FdG ont voté pour le projet de CPER tandis que les élus EELV et la droite se sont abstenus. hypocrisie_12.jpg

Session du Conseil régional du 2 février 2015 - Discours de Pierre Pommarel

Monsieur le Président, mes chers collègues,

Lors de notre Session du mois d’octobre 2013, Alain Bussière ne tarissait pas d’éloges à propos du Contrat de Plan Etat Région, celui qui devait voir le jour en 2014, mais qui aura donc pris plus d’un an de retard.

M. Bussière nous avait promis que nous allions « pouvoir compter sur une véritable puissance de frappe en couplant les dispositifs régionaux, les fonds européens et les CPER ».

Plus d’un an après, en dépit de ces solennités, le projet de protocole d’accord que vous nous soumettez aujourd’hui prévoit un engagement de l’Etat dans notre Région de 351M€ au niveau des crédits contractualisés, un montant auquel il faut retirer 202M€ de crédits routiers, lesquels n’apparaissaient pas dans le CPER précédent.

Ce projet prévoit ainsi un engagement à 50/50 grosso modo, entre l’Etat et la Région, pour les 5 prochaines années, avec un peu moins de 150M€ de chaque côté.

Hors volet routier, les crédits de l’Etat auront donc baissé de 68% entre les 2 CPER. En réalité c’est encore une baisse plus importante car c’est sans compter les dizaines de M€ de crédits que l’Etat recycle et valorise, dans une maquette financière assez malhonnête. Un constat qui nous interpelle car, en définitive, cette contractualisation entre l’Etat et la Région n’est ni paritaire, ni juste.

Non seulement l’Etat réduit drastiquement nos dotations, non seulement il nous transfère de nouvelles compétences sans les moyens qui vont avec, en matière de formation professionnelle notamment, mais en plus, dans le même temps, il nous demande, hors volet routier, de mettre plus la main à la poche que lui, qui plus est sur des prérogatives dont il ne sait toujours pas, après plusieurs années de réflexion, s’il veut nous les confier complètement, partiellement, partiellement de partiellement.

L’Etat se désengage partout ou presque par rapport au CPER précédent : - 80% de crédits sur l’enseignement supérieur, - 65% sur la recherche, moins 73% sur l’innovation, moins 31% sur le rail en Auvergne, en étant extrêmement gentil, car c’est sans compter les crédits de RFF et sans prendre en compte le Plan Rail 1 qui n’aura malheureusement pas de petit frère.

L’Etat devient même, bien souvent, l’actionnaire minoritaire. Son engagement financier ne représentera que 45% de l’enveloppe dédiée à l’enseignement supérieur, 27% dans la recherche, 22% dans l’innovation.

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mardi 20 janvier 2015

Les mirages économiques du prolongement de l'A71 : explications vaseuses des promoteurs

Reportage de France 3 du 13 janvier 2015

Le prolongement de la bretelle de l'autoroute A71 vers Vichy va-t-il avoir des retombées économiques sur le territoire? 14 kilomètres qui, du même coup rapprochent un peu plus deux des principales agglomérations d'Auvergne.

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Pour voir le reportage, cliquer ici

Un Reportage de Christian Darneuville et Eric Taxil - Intervenants: Jean Encinas Directeur d'une agence de transports, Claude Malhuret, Maire de Vichy et Président de la communauté d'agglomération Vichy-Val d'Allier et Jean-Michel Chavarochette, Président de la chambre de commerce et d'industrie Moulins-Vichy.

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dimanche 18 janvier 2015

Stop TAFTA : outils militants

* Un film d’animation de 2 minutes : cliquer ici pour le voir

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* Les mensonges en direct et en vidéo de la commission européenne sur les bénéfices supposés du traité : cliquer ici pour voir la vidéo

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* Un tract de 4 pages proposé par EELV en lien avec l’équipe de Yannick Jadot : cliquer ici pour le télécharger

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* Un document plus complet de 8 pages : cliquer ici pour le télécharger

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* Deux panneaux d’information grand format : cliquer ici pour les télécharger

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vendredi 16 janvier 2015

Paroles libres - A la rencontre d'Europe Ecologie les Verts

A quoi sert, à quoi pourrait servir Europe Ecologie-Les Verts ? Nous vous invitons à venir en discuter librement avec nous au cours d’une des trois réunions qui se tiendront fin janvier à Clermont-Ferrand.

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Vous êtes de ceux et celles qui se posent la question : comment avancer vers une société écologique ? Comment construire un mouvement politique qui fédère les initiatives ? Comment rassembler une majorité démocratique pour que ça change vraiment ?

Au jour le jour, avec ses militants sur le terrain comme avec ses élu(e)s, EELV s’efforce patiemment d’impulser ce changement. A l’évidence cela ne suffit pas. Les crises s’aggravent et l’écologie politique stagne en influence. Comment inverser la tendance ? Pourquoi l’écologie politique reste-t-elle relativement marginale alors que son besoin et sa nécessité se font sentir partout ? Où sont les freins ? Que faudrait-il changer ?

Europe Ecologie-Les Verts se met à votre écoute. Comment évoluer ? Prenez la parole ! Venez dire comment vous voyez les choses, venez nous dire ce que vous avez sur le cœur.

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jeudi 15 janvier 2015

Autoroute Clermont - Vichy : l'enquête instructive de la Montagne

Extraits de l'article du 13 janvier 2015

Jusqu’à hier, la majorité des habitués du trajet entre Vichy et Clermont préféraient la route à l’autoroute.

Et vous, quelle est votre préférence ? Pour aller de Clermont-Ferrand à Vichy ou de Vichy à Clermont-Ferrand, l’automobiliste a l’embarras du choix. La « route de Randan », la « route d’Aigueperse », l’autoroute, on peut même passer un peu plus au sud-est, pour rejoindre le secteur de Cournon. L’ouverture du second et ultime tronçon de l’A719, lundi 12 janvier, entre Gannat et Vichy, va-t-il modifier les habitudes ?

Nous avons lancé un questionnaire sur Internet, avec une question simple : Vichy-Clermont, par quelle route ? (*)

44 % des 427 personnes qui ont répondu à la question préfèrent passer par Randan, 37 % par Effiat, 12 % par l’autoroute et 7 % passent ailleurs

Les caractéristiques des différents trajets de la place de Jaude à Clermont à la rue du Président-Wilson à Vichy :

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Par l'autoroute : Temps moyen : 50'. Péage : 4,90 euros. Carburant : 8 à 9 euros.

Par la route D2009 via Riom, Aigueperse et Effiat : Temps moyen : 55'. Carburant : 7 à 8 euros.

Par la route D210 via Ennezat et Randan : Temps moyen : 55'. Carburant : 7 à 8 euros.

Par le train : Temps moyen : 1h (32' en train + trajets à pied) ou 45' (trajet en train + trajets en vélo). Billet : 10,90 euros.

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mercredi 14 janvier 2015

Une convention pour l’enseignement de l’occitan

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Après avoir adopté la charte de coopération interrégionale et transfrontalière de l’occitan, la Région Auvergne a franchi une étape supplémentaire en signant une convention cadre de partenariat pour le développement et la structuration de l’offre d’enseignement de l’occitan et en occitan.

Au même titre que les volcans ou que les édifices les plus représentatifs de l’art roman, la langue occitane fait partie du patrimoine de l’Auvergne. Mais afin de sauvegarder ce patrimoine immatériel et culturel, il apparaît indispensable de mettre en place des moyens pour le transmettre. C’est ce que s’attache à faire la Région Auvergne.

Une charte de coopération interrégionale

L’occitan et la culture occitane transcendent bien sûr les frontières administratives. Logiquement, c’est donc à une échelle interrégionale que peut être établi le cadre d’une sauvegarde et d’un développement de la langue et de la culture occitanes. La Région Auvergne a ainsi rejoint les Régions Aquitaine, Languedoc-Roussillon, Limousin, Midi-Pyrénées et Rhône-Alpes en adoptant une « charte de coopération interrégionale et transfrontalière de l’occitan ».

Un enseignement à développer

Par ailleurs, suite à une année de travail avec les services du Rectorat de l’Académie de Clermont-Ferrand, une convention État-Région a également pu voir le jour, pour la période 2014-2018. Elle porte sur le volet enseignement et devrait permettre de favoriser une nouvelle étape dans la transmission au niveau scolaire. L’enjeu est non seulement de permettre l’élargissement de l’offre d’enseignement de l’occitan, et de l’enseignement en occitan, mais aussi d’aller vers un développement qualitatif de manière à ce qu’un nombre plus important d’élèves puisse bénéficier de cet apport éducatif.

L’Etat contribuera sous la forme de mise à disposition de moyens d’enseignement. La Région, pour sa part, participera financièrement, dans la limite de 20 000 € annuels, pour la mise en œuvre d’actions d’information et de sensibilisation de la population, d’accompagnement de la formation, d’actions d’accompagnement de l’enseignement ou encore d’actions de création et d’adaptation de matériels et de ressources pédagogiques.

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