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Café citoyen sur la santé

Le Rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes vous invite au Café citoyen sur la santé le mardi 7 octobre à 19h00. (Salle des Tickets – 14, Place Saint Bruno – Grenoble).

Nous proposons 2 thèmes à évoquer lors de ce café :

1- L’accès aux soins :

C’est un des axes des ateliers santé ville (versant santé de la politique de la ville).

  • Accès aux droits (quelle lisibilité pour les citoyens ?)
  • Accès aux soins (prévention, médecine de proximité, permanence des soins, santé mentale)

2- Promouvoir des habitudes de vie favorables à la santé :

(Une des 18 priorités du plan régional de santé : cette action cible surtout les ados et leur insertion sociale mais, dans une démarche de promotion de la santé, devrait concerner également les jeunes enfants et les adultes)

  • Alimentation
  • Sport
  • Lutte contre les addictions

Pour chaque thème, la question est : que pourrait faire la ville ?

Le café sera animé par le groupe de travail santé du Rassemblement

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Démocratie locale – Acte I : les Assises citoyennes

C’était l’un de nos engagements forts lors de la campagne pour les municipales : réinventer la participation citoyenne à la vie publique locale ! Une première étape a été franchie ce 23 septembre 2014 avec la présentation du calendrier de mise en place des Conseils citoyens.

On l’a dit, on le fait : Grenoble réinvente la participation citoyenne

Alors que l’article 2 de notre Constitution pose comme principe fondamental de la République un « gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple », un nombre croissant de citoyens fragilisés par une réalité sociale difficile se retrouvent éjectés des cercles de décision ou se détournent de la vie publique en rejoignant la masse des abstentionnistes. Pour rompre avec la défiance héritée du passé, la Ville de Grenoble s’engage aujourd’hui dans une voie innovante avec la mise en place de nouveaux outils accessibles à tous les résidents de plus de 16 ans quelle que soit leur nationalité ! Les Conseils citoyens indépendants seront l’un des piliers de cette démarche.

Conseils citoyens indépendants : une co-construction avec les citoyens

La municipalité s’engage aujourd’hui dans une phase de co-construction avec les habitants. Objectif : ouvrir une nouvelle ère pour la démocratie locale. Les participants seront invités à jeter les bases des Conseils citoyens indépendants aux travers de quatre groupes de réflexion visant à définir leur indépendance, leur organisation, les moyens qui leur seront octroyés ainsi que leur lien avec la politique de la ville. Premier rendez-vous est donné à toutes les Grenobloises et à tous les Grenoblois, de toute nationalité, âgé(e)s de plus de 16 ans, samedi 27 septembre à l’Hôtel de Ville de 10h00 à 13h30 !

(Inscription nécessaire via l’adresse mail democratie-locale@grenoble.fr ou par téléphone au 04.76.76.38.83)

Démocratie locale acte I

ConseilMunicipal

Intervention de Maryvonne Boileau sur les conditions de versement d’une aide financière aux élus municipaux pour garde d’enfants ou assistance de personnes dépendantes

« Monsieur le maire, chers collègues,

Certaines réactions peuvent surprendre, les plus jeunes d’entre nous.  De tout temps, il a été difficile de faire admettre qu’une inégalité devait être combattue par la règle, par une volonté. Les pauvres, les femmes, les minorités l’ont appris au fil des siècles. Aujourd’hui, c’est à nouveau pour sortir d’une inégalité que nous voulons faire évoluer la régle commune.

La ville de Grenoble souhaite, par le vote de cette délibération ce soir, permettre d’améliorer significativement les conditions d’exercice d’un mandat électif pour celles et ceux qui doivent faire garder leurs enfants ou encore assumer l’accueil permanent d’un parent en situation de dépendance.

Le code général des collectivités territoriales prévoit cette situation depuis 2002. Il est donc temps que notre ville permette à toutes et tous, et en particulier aux jeunes parents qui en ont fait le choix, d’assumer, pendant 6 ans, un mandat d’élu-e.

Les responsabilités des élus sont parfois difficiles : des réunions à des horaires atypiques, tôt le matin régulièrement, très tard le soir plus souvent, et parfois même le samedi, notamment pour assurer la tenue des mariages. N’oublions pas les astreintes qui obligent, quand la situation l’exige, à s’absenter du domicile, de jour comme de nuit, pour des durées imprévisibles.

Nous sommes convaincus que tous les élu-es qui siègent dans ce conseil, quelle que soit leur sensibilité politique, sont particulièrement attentifs à ce que chacune et chacun d’entre eux puisse exercer son mandat le plus sereinement possible.

Nous tenons cependant à préciser qu’en plus de s’inscrire pleinement dans le cadre prévu par le législateur, cette délibération est légitime à plus d’un titre.

Pendant trop longtemps, les jeunes parents, les citoyens ayant un ou plusieurs parents dépendants à leur domicile, ont été écartés de la vie publique ou ont dû faire de lourds sacrifices personnels. Nous avons voulu un conseil municipal à l’image de la population de notre ville. La moyenne d’âge des membres de cette assemblée en est un signe fort.

Nous parlons ici de montants qui ne sont pas négligeables, sans être prohibitifs, l’aide accordée aux élus qui en feront la demande et qui présenteront tous les justificatifs nécessaires représentera pour chacun d’entre eux un maximum de 1837€ par an. Nous rappelons à cette assemblée que nous avons baissé de 25% les indemnités des élus, ce qui représente une économie par adjoint de 17334 euros par an.

Enfin, nous regrettons que seuls les élu-e-s exerçants un mandat exécutif puissent bénéficier de ces indemnités. Des jeunes parents sont également des élu-e-s du délibératif, issues de la majorité ou de l’opposition. Malheureusement ils ne pourront pas en bénéficier. Cependant nous sommes bien évidemment tenus de respecter la législation.

C’est pourquoi, Monsieur le maire, chers collègues, nous voterons sans hésiter et avec fierté cette délibération… »

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Le 1er janvier 2015, passage à la métropole. Que va-t-il se passer pour les habitants de l’agglomération ?

Le Rassemblement invite les habitants de l’agglo et les élus de la METRO à une réunion d’information-débat sur le passage à la métropole au 1er janvier 2015.

Dans nos engagements électoraux nous écrivions :

« Au 1er janvier 2015, la Métro, l’intercommunalité́ grenobloise, se transformera en métropole. Il ne s’agit pas d’un changement d’ordre technique du seul ressort et intérêt des élus. Cela aura un impact direct sur nos vies : transports, réseaux d’eau, d’énergie, de chauffage, soutien à l’économie. Elle exercera davantage de compétences, où elle les aura désormais seule en responsabilité́. Le cadre légal fondé sur la mise en concurrence des territoires entre eux et l’impossibilité́ de tout contrôle citoyen ne peut nous convenir. Pour autant, nous ne renoncerons pas à faire de la Métro un outil de réelle coopération intercommunale et assignerons l’intérêt général comme objectif de ses politiques.

Nos élus intercommunaux exigeront la mise en œuvre de mécanismes permettant d’associer les citoyens aux décisions et en tout état de cause, comme élu-e-s grenoblois, nous vous en ferons connaitre les enjeux. Nous ne voulons plus des arrangements entre amis qui finiront par remettre en cause l’idée même d’intercommunalité́, de partage, de solidarité́ et de mutualisation, alors qu’aujourd’hui il est évident que des politiques peuvent se mener de meilleure manière à une échelle intercommunale, comme c’est le cas pour les transports. »

Les engagements 112 à 120 précisaient nos priorités

A moins de 4 mois de ce passage, le Rassemblement veut participer à sa mesure à l’information des habitants de l’agglomération sur des transformations importantes qui vont toucher leur vie quotidienne.

Le conseil de Métro a voté le 4 juillet une délibération donnant la philosophie générale de la politique qui va être appliquée. Elle précise notamment :

« Une évolution majeure telle que la transformation de notre communauté d’agglomération en métropole ne pourra se faire sans nos concitoyen-nes et il importe aujourd’hui de les associer pleinement. Cette participation citoyenne sera d’abord et avant tout favorisée par une information et une communication adéquates qui devront permettre à toutes et tous de suivre l’avancement des travaux en cours comme de comprendre l’objet institutionnel que représente la future métropole. »

Les citoyens peuvent aussi être à l’initiative de propositions permettant d’améliorer le fonctionnement des services publics. C’est pourquoi il est important qu’ils puissent prendre la parole.

Le Rassemblement Citoyen de la Gauche et des Ecologistes, fidèle à ses engagements propose d’ouvrir le débat public sur cette question d’importance.

© Groupe RCGE

Rythmes scolaires et périscolaire : évaluer et consulter pour mieux construire !

Evaluation plutôt que précipitation ! Pour ne pas imposer aux familles une nouvelle organisation des temps scolaires et périscolaires, élus, parents et acteurs éducatifs se concerteront une année afin de préparer au mieux la rentrée 2015.

Alors que la précédente majorité avait hâtivement mis en place la réforme des rythmes scolaires lors de la rentrée 2013, le groupe des élus du Rassemblement a décidé de ne pas imposer de nouveau changement rapide et brutal aux familles pour la rentrée 2014. L’année à venir sera ainsi consacrée à une évaluation et à une concertation permettant de construire et d’adopter, avec les parents et les acteurs de l’éducation, de nouvelles modalités d’organisation des temps scolaires et périscolaires pour la rentrée de septembre 2015.

Des améliorations pratiques et éducatives ont tout de même été effectuées afin d’améliorer l’organisation générale et de progresser sur la qualité des animations proposées aux enfants. Ainsi 36 animateurs référents (soit un pour chaque école élémentaire) ont été titularisés. Cette politique traduit la volonté de proposer une structure solide et pérenne de coordination des temps périscolaires. Une collaboration plus étroite a été mise en place avec les associations, les MJC et les centres de loisirs pour améliorer l’accueil des enfants, la transition entre l’école et la structure, et simplifier l’organisation des parents. L’implication des structures culturelles, notamment celles du groupe Ville, se développe largement : Musée, Muséum, conservatoire, CNAC…

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Pôles de compétitivité : parfaire ce dispositif et le transférer à la future métropole

Conformément aux engagements pris durant la campagne, la Ville de Grenoble ne financera plus les pôles de compétitivité. Elle honorera cependant les obligations contractées avant 2014.

Depuis 2007, la Ville de Grenoble a apporté son soutien à trois pôles de compétitivité et a participé financièrement, avec l’Etat, la Région et la Métro, à plusieurs projets de R&D qu’ils avaient labellisés. Conformément aux engagements pris pendant la campagne municipale,  le conseil municipal proposera ce 15 septembre de ne plus financer de nouveaux projets et de mettre fin, début 2015, à la participation de la Ville aux frais de structures. La Ville honorera toutefois les engagements pris avant 2014 auprès de Tenerrdis, Minalogic et du cancéropôle CLARA.

Grenoble a toujours été la seule ville à participer, aux côtés de l’intercommunalité, aux pôles de compétitivité. Cette clarification des responsabilités entre Ville et Métro permettra une meilleure lisibilité de l’action publique et davantage de cohérence. Par ailleurs, la Métro a délibéré, le 4 juillet dernier, pour affirmer sa volonté de parfaire dans une approche partenariale le dispositif actuel des pôles de compétitivité. Cette action vise à mettre en place le remboursement des aides par les projets qui seraient couronnés de succès, d’ancrer les emplois nouvellement créés par les start-ups dans le territoire et d’élargir les thématiques des projets financés. Le modèle grenoblois gagnera de cette évolution décidée par une large majorité au niveau de la Métro.

Creative commons – By Amir Farshad Ebrahimi

Grenoble s’engage pour un modèle de développement juste et solidaire !

Les élus du Rassemblement porteront de nouvelles ambitions pour la coopération décentralisée.  Et pour répondre aux urgences internationales, la Ville de Grenoble mettra en place un fonds spécial doté de 20 000€ par an. La population de Gaza sera la première à en bénéficier.

Porter une nouvelle ambition pour la coopération décentralisée

Les nouvelles orientations de la politique de coopération décentralisée de la Ville de Grenoble seront construites avec les associations qui agissent pour la solidarité internationale afin de développer les échanges entre habitants et associations plutôt que la communication et le prestige des élus. Ainsi, un travail d’évaluation de l’ensemble des coopérations décentralisées de la Ville de Grenoble va être engagé très prochainement.

Création d’un fonds d’urgence

Par le passé, la Ville de Grenoble a été sollicitée pour répondre à des appels d’urgence humanitaires à Gaza (2009), Haïti (2010), au Japon (2011), dans la Corne de l’Afrique (2011), en Syrie (2012) et aux Philippines (2013). Afin de permettre une meilleure réactivité et lisibilité, la ville de Grenoble va mettre en place un fonds spécial d’aide d’urgence à l’instar de ceux instaurés par la Fondation de France ou, plus récemment, par Cités Unies France, en lien avec la cellule de crise du Ministère des affaires étrangères. Celui-ci sera doté de 20 000 euros par an.

Aide pour Gaza

Face à la dramatique situation humanitaire subie par les populations civiles de la bande de Gaza, le Ministère des Affaires étrangères et du Développement international en a appelé directement aux collectivités territoriales pour contribuer au Fonds d’action extérieure des collectivités territoriales (FACECO). La municipalité répond à cet appel en versant une aide de 10 000 euros, la première issue de ce fond spécial d’aide d’urgence.

Rappelons qu’à Gaza, le bilan est tragique : plus de 2000 tués, dont 400 enfants palestiniens, des destructions d’hôpitaux, d’écoles y compris celles de l’ONU, où étaient réfugiés des civils palestiniens, des habitations et de multiples infrastructures. Le Groupe des élus du Rassemblement Citoyen, de la Gauche et des Ecologistes s’associe aux demandes de levée du blocus mis en place depuis de nombreuses années à Gaza, l’arrêt définitif de la colonisation dans les territoires occupés et la reconnaissance d’un État palestinien dans les frontières de 1967. La Ville de Grenoble doit soutenir au travers de ses coopérations décentralisées toutes les initiatives porteuses de paix et d’échanges entre Israéliens et Palestiniens.

Source : Habitat Logement 2014, rapport du Réseau des observatoires de l’agglomération grenobloise.

Encadrement des loyers : l’agglomération grenobloise veut en bénéficier !

A travers Christophe Ferrari, son président, et Christine Garnier, sa vice-présidente en charge de l’Habitat, du Logement et de la Politique foncière, la Métro a confirmé au Premier Ministre sa volonté de bénéficier de la mise en œuvre à titre expérimental de l’encadrement des loyers tel que prévu par la loi ALUR.

Le dispositif d’encadrement des loyers prévu par la loi ALUR, qui pourra être amélioré, sera utile pour rétablir plus d’équité et de justice sociale. Il devra permettre à terme de lutter contre la cherté des loyers et de faciliter les changements de logements dans l’agglomération grenobloise. Son application permettrait, en l’état, de prévenir une future nouvelle hausse des loyers après celle, bien réelle, de la période 2001-2011 (+ 41%).

N’en déplaise à certains lobbies, l’agglomération grenobloise figure parmi les « zones tendues » définies par la loi Duflot. Elle a été classée principalement en zonage B1. Juste derrière Paris, son agglomération et la Côte d’Azur (zone A) !

Les récents propos du Président de la Fnaim 38 (qui a déclaré que les loyers étaient revenus au niveau de 2004  dans l’agglomération grenobloise) sont surprenants. Ils ne tiennent compte que des loyers à la relocation et des seuls loyers connus par la FNAIM (moins d’un tiers des agents immobiliers), soit 7000 logements dans l’agglomération sur les 60 000 logements en location privée. L’OBS’Y (le Réseau des Observatoires de l’Agglomération Grenobloise), qui repose sur des bases beaucoup plus larges avec un échantillonnage représentatif, confirme une hausse de plus de 40 % (voir annexe) et le fait que les loyers moyens à Grenoble sont plus chers qu’à Lille, Lyon, Bordeaux ou Toulouse. Le loyer moyen d’un T3 atteint 645€ par mois ! Cette hausse, tous les habitants de l’agglomération ont pu la constater, quittances de loyer à l’appui ! L’encadrement empêchera une nouvelle bulle immobilière et fiabilisera les investisseurs et les constructeurs qui bénéficieront d’un marché stable.

Le droit à vivre dans un logement décent ne doit pas dépendre de la loi du marché. Notre majorité agira comme elle s’y est engagée pendant la campagne municipale : contre la spéculation immobilière et pour un logement de qualité accessible à tous !

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Expérimentation de l’encadrement des loyers : L’agglomération grenobloise confirme sa volonté de bénéficier du dispositif

Communiqué de presse du 1er septembre 2014 de Christophe FERRARI, président de Grenoble-Alpes Métropole, et Christine GARNIER, vice-présidente en charge de l’Habitat, du Logement et de la Politique foncière.

Prenant acte de l’accord du Premier Ministre visant à permettre pour certaines agglomérations en « zone tendue » la mise en oeuvre à titre expérimental de l’encadrement des loyers prévu par la loi ALUR, nous avons demandé que l’agglomération de Grenoble puisse bénéficier de ce dispositif dans le respect de l’engagement 22 de François Hollande. Cette mesure de justice sociale est attendue, pour lutter contre le logement cher et fluidifier les parcours résidentiels.

Tous les outils de régulation du marché immobilier doivent aujourd’hui être mobilisés pour faire face à la crise du logement sans précédent que nous traversons et qui a conduit, dans notre agglomération, à une hausse de 41 % des loyers entre 2001 et 2011. De nombreux habitants de l’agglomération sont aujourd’hui contraints de vivre en périphérie éloignée pour se loger à des prix accessibles, avec des temps et des coûts de déplacement domicile-travail qui augmentent significativement et avec eux la pollution atmosphérique et les embouteillages aux portes de Grenoble.

L’évolution des niveaux de loyer met en péril la mixité sociale dans nos quartiers et organise une véritable ségrégation spatiale selon les niveaux de ressource. Cette situation entraîne, par ailleurs, un véritable blocage des parcours résidentiels au cours desquels toute évolution devient difficile, voire impossible, en raison des difficultés rencontrées par de nombreuses familles lorsqu’il s’agit de louer un logement plus grand ou d’envisager un achat. Le coût du logement est également devenu un frein important à la venue de nombreux étudiants.

Dans une agglomération qui demeure l’une des plus chères de France (en moyenne 9,7 euros le mètre carré en 2013) et au sein de laquelle la demande reste supérieure à l’offre, nous menons d’ores et déjà une politique visant à permettre au plus grand nombre de se loger en fonction de ses moyens. Soutien à la construction de logements sociaux, aide à l’accession sociale, développement du logement en accession maîtrisée, mise en place du dispositif LOCA++ dans le logement privé, aide à la réhabilitation permettant de baisser les charges énergétiques, l’agglomération mobilise des moyens importants pour offrir des logements réellement abordables. Cette mesure d’encadrement des loyers viendrait compléter ces actions en renforçant la capacité à agir de la communauté d’agglomération grenobloise sur le secteur locatif privé, tout en préservant l’investissement locatif.

Les données de l’observatoire local de l’habitat, qui a développé une expertise très fine sur le niveau des loyers, complétées par celles de l’Observatoire des Loyers en Agglomération Parisienne (OLAP) qui a pour objet d’étudier les loyers de Paris et de son agglomération mais aussi de onze agglomérations dont Grenoble, représentent une base de travail fiable pour mettre en place efficacement cet outil.

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Amputation de la ligne 6020 : pour une vision plus globale de la politique des transports

Communiqué de presse du 1er septembre 2014 du groupe RCGE.

A l’appel de l’ADTC, une soixantaine d’usagers a manifesté ce matin contre l’amputation du tracé de la ligne Transisère 6020 décidée en mai dernier par le Conseil Général de l’Isère. Plusieurs élus du groupe RCGE ont répondu présent pour soutenir leur action et leurs revendications.

A l’heure où la promotion des modes de déplacement alternatifs s’impose comme une nécessité majeure pour faire face au changement climatique, aux enjeux de santé publique et au besoin de fluidifier la circulation, le groupe RCGE regrette cette mesure du Conseil Général de l’Isère.

Cette décision démontre également le manque de synergies actuel entre les réseaux TAG et Transisère. Le groupe RCGE rappelle qu’une politique efficace en matière de transports ne peut s’appuyer que sur une vision globale à l’échelle de la Métropole. Il appelle donc le Conseil général à revoir sa décision, en concertation avec le SMTC, pour que la ligne 6020 continue à desservir le centre-ville jusqu’à la gare en permettant ainsi un bon report modal et en répondant aux besoins des usagers.

ConseilMunicipal

La vidéo du conseil municipal du 30 juin 2014

Conformément à l’engagement n°14 de nos 120 engagements pour Grenoble, les débats du Conseil Municipal sont désormais retransmis en direct et en VOD sur Internet.

Retrouvez en ligne le conseil municipal du 30 juin 2014 où ont été abordés des sujets d’importance tels que l’état des finances de la Ville, la révision du Plan Local d’Urbanisme et l’abandon de la ZAC Esplanade.

ConseilMunicipal

Conseil municipal du 21 juillet 2014 : notre majorité accélère le rythme

Avec ce Conseil municipal la nouvelle majorité accélère le rythme pour réparer ce qui a été mal géré, pour préparer l’avenir et mettre en œuvre les engagements pris devant les grenoblois. Notre volonté est de clarifier et d’assainir plusieurs dossiers ayant des impacts financiers importants pour la Ville de Grenoble, comme Alpexpo, le Palais des Sports ou le Stade des Alpes, permettant de tenir une exigence de transparence vis-à-vis des Grenoblois et de redonner une perspective pour l’avenir de ces équipements.

Le Conseil municipal de la ville de Grenoble, lundi 21 juillet, sera l’occasion de prendre des décisions importantes sur plusieurs dossiers structurants. Avec ce Conseil municipal la nouvelle majorité accélère le rythme pour réparer ce qui a été mal géré, pour préparer l’avenir et mettre en œuvre les engagements pris devant les grenoblois. Notre volonté est de clarifier et d’assainir plusieurs dossiers ayant des impacts financiers importants pour la Ville de Grenoble, comme Alpexpo, le Palais des Sports ou le Stade des Alpes, permettant de tenir une exigence de transparence vis-à-vis des Grenoblois et de redonner une perspective pour l’avenir de ces équipements.

Budget supplémentaire : réparer ce qui a été mal géré

Comme nous l’avons déjà dit, les choix financiers de l’équipe sortante ont été pour le moins approximatifs lors des deux dernières années du mandat. Ainsi de nombreuses sommes correspondant à des engagements fermes n’avaient pas été budgétisées au budget primitif 2014, dont :

  • 4,8 millions d’€ pour la rémunération du personnel
  • 1 millions d’€ pour le Symbhi
  • 0,7 millions d’€ pour la participation à l’Agence France Locale
  • 180 000 € pour le 70ème anniversaire libération de Grenoble
  • Et bien d’autres sommes encore …

C’est la raison d’être de ce budget supplémentaire 2014. Les dépenses réelles augmentent de 12.2 Millions d’€ par rapport au Budget primitif nécessitant un emprunt de la même somme. Il s’ensuit une épargne nette quasiment nulle de 0,43 M€.

Grands équipements : des choix courageux pour de nouvelles marges de manœuvre

  • Stade des Alpes : cela a déjà été évoqué lors du précédent Conseil municipal. Une solution consensuelle a donc été trouvée pour permettre au club de Rugby de s’y installer évitant un projet très couteux à Lesdiguières et permettant une meilleure rentabilité du Stade des Alpes sous-utilisé jusqu’à présent.
  • Palais des Sports : cet équipement fait partie du patrimoine de Grenoble. C’est une des plus grandes salles couvertes de France qui peut accueillir des évènements de différentes natures, autant sportives que culturelles, a vocation commerciale ou non. L’objectif de la Ville est de dynamiser le potentiel de cette structure en lien avec d’autres équipements comme le Summum, la MC2 ou le Stade des Alpes et de l’ouvrir aux grenoblois qui sont encore nombreux à ne l’avoir jamais fréquenté. La délibération qui sera soumise à l’approbation des conseillers municipaux prévoit d’une part d’acter la reprise en direct de l’équipement par la municipalité et d’autre part de fixer les tarifs de mise à disposition pour des organisateurs de manifestation payante. L’adoption de cette délibération permettra de programmer rapidement des évènements populaires à destination de tous les grenoblois.
  • Alpexpo : La ville de Grenoble, principale actionnaire de la SAEML ALPEXPO, détient 35 % du capital social. Par ailleurs, elle est liée à la SEM par un contrat de Délégation de Service Public en date du 31 décembre 1999, pour une durée de 20 ans, portant sur la gestion des équipements Parcs des expositions, Summum et Palais des congrès.

Cet équipement est un moyen de l’exercice de la compétence économique dont la Loi MAPTAM prévoit qu’elle ait transférée de la Ville à la Métropole au 1er janvier 2015. Dans le contexte de la mise en œuvre de cette loi, la gestion et le développement de cet équipement devraient, à l’avenir, être placés sous l’égide de la nouvelle Métropole grenobloise, après concertation entre la Ville de Grenoble et la Métro sur les conditions et les modalités de ce transfert.

Autres politiques publiques : des avancées sur tous les fronts

  • Culture : lancement d’une grande concertation dès la rentrée

Afin que des outils d’analyse partagés soient mis en place pour favoriser la lecture des demandes de subvention pour l’année 2015, il est proposé que la Ville organise dès la rentrée 2014 une série de rendez-vous publics permettant aux citoyens (usagers, artistes, professionnels et amateurs) de débattre entre eux et avec la collectivité (éluEs et administration). Outre ces grilles d’analyse, ces rendez-vous publics auront pour objectif de partager l’évaluation des projets culturels qui sont menés sur notre territoire, et seront programmés régulièrement par la suite pour aborder et débattre des thèmes culturels d’actualité.

  • Gare : reprise du projet (sans la passerelle), végétalisation du parvis
  • Écoles : nouveaux diagnostics et choix du projet pour l’école Hareux