Agriculture et Alimentation
Donner la priorité à l’optimisation de l’existant pour tous les projets d’infrastructure et d’aménagement du territoire.
Donner la priorité à l'optimisation de l'existant pour tous les projets d'infrastructure et d'aménagement du territoire. Ceci pour lutter contre l'artificialisation des espaces naturels et la diminution des terres agrico …lire la suite…
Préservation du foncier agricole
Cette attribution fait partie de celles de la Région. On pourrait attendre qu’elle veille au respect des objectifs chiffrés de préservation du foncier agricole définis dans les plans régionaux d’agriculture durable : …lire la suite…
Utilisation des produits phytosanitaires par les collectivités et les particuliers
Il s'agit d'anticiper la loi qui prévoit à terme (en 2020) d'interdire d'utiliser pour les collectivités territoriales et les particuliers des produits phytosanitaires. Le conseil régional devrait : - s'appliquer à l …lire la suite…
S’appuyer sur des savoir-faire alternatifs
« L’écologisation » des pratiques industrielles, énergétiques et agricoles relégueraient-elles au passé les effets négatifs du productivisme et du capitalisme ? Un nouveau discours, des commandes politiques, des stratég …lire la suite…
Aux antipodes du projet des milles vaches, nous pouvons créer celui des » milles fermes « .
Aux antipodes du projet des milles vaches, nous pouvons créer celui des " milles fermes ". En effet, contribuer à créer 1000 micro-fermes c'est pérenniser 2 emplois par exploitation ( donc 2000 emplois sur la future gra …lire la suite…
Gouvernance de l’eau en Région et agriculture.
L’'eau est un bien public et sa gestion doit rester publique, avec des fonds publics. Personne ne doit se l’approprier. Cette gestion est encadrée par de nombreux textes législatifs et règlementaires. C'est une gouver …lire la suite…
Maintenir voire renforcer l’atout « Terroir-caisse » de nos régions
Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon sont deux régions puissantes et enviées au niveau de l'activité agro-alimentaire et cette première possède l'IRQUALIM, un outil novateur, de référence et depuis 30 ans au service de …lire la suite…
Pour un cycle économique vertueux dans une une économie régionale circulaire
Les singularités historiques, culturelles et géopolitiques du midi languedocien nous font apparaître des dynamiques très inégalitaires, communautaires et clientélistes. La gabégie institutionnelle a rendu plus cruciale e …lire la suite…
Syal : une réponse d’avenir pour l’agriculture française
On a longtemps cru que le modèle d’agriculture industrielle était la solution à l’insécurité alimentaire. Mais de nombreux observateurs ont vite démontré les limites de ce modèle pour les écosystèmes et les sociétés huma …lire la suite…
Proposition pour un Schéma d’Aménagement (SRADDET) articulé avec le territoire
L'aménagement du territoire constitue une compétence primordiale des Régions qui se décline thématiquement: transports, équipements, agriculture, Développement Durable, politiques territoriales, économie et emploi. Or, l …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par