Ménager les territoires, poursuivre un développement équitable et économe
La Région devrait pouvoir encourager la création et soutenir le fonctionnement des tiers-lieux.
Les tiers-lieux sont des espaces de travail, dont la neutralité, la convivialité et le type de ressources mises à disposition (équipements, animation et conseil), permettent à leurs usagers de concevoir et/ou de fabrique …lire la suite…
Maintenir voire renforcer l’atout « Terroir-caisse » de nos régions
Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon sont deux régions puissantes et enviées au niveau de l'activité agro-alimentaire et cette première possède l'IRQUALIM, un outil novateur, de référence et depuis 30 ans au service de …lire la suite…
Toulouse et Détroit, même combat ? Pour une biodiversité des activités économiques.
Et si Toulouse devenait le « Détroit du 21ème siècle » ? Trop de similitudes pour rester insensibles. Ne pas être interpellés serait une erreur, il faut bénéficier des expériences des autres, surtout quand le contexte se …lire la suite…
Doter la Région d’un plan régional de traitement et valorisation des déchets ambitieux
La région doit se doter d'un plan régional de traitement et valorisation des déchets ambitieux. Les départements avaient en charge cette compétence, désormais, la région devra présenter un plan pluriannuel de traitement …lire la suite…
17 propositions générales issues de la préparation de la Conférence Mondiale sur le Climat par une délégation de 150 jeunes
Dans le cadre de la préparation de la Conférence Mondiale sur le Climat (Paris, décembre 2015), la ligue de l’enseignement et l’association « les jeunes du monde » se sont associées pour mettre en oeuvre une démarche de …lire la suite…
Passer des départements aux pays
La fusion des 2 régions est une opportunité pour retrouver le fil de l’histoire de notre territoire, afin d’assumer une identité culturelle qui libère des tentations de repliement sur des mythes identitaires …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par