Energie
Un opérateur électrique privilégiant le renouvelable pour le Conseil Régional
Le Conseil Régional pourrait décider d'abonner son bâti et les infrastructures dont il a la charge à un opérateur électrique ne travaillant qu'avec des installations d'énergie renouvelable, type EnerCoop. …lire la suite…
Des lycées producteurs d’électricité
Des lycées producteurs d’électricité : * Dans chaque lycée de la région doit être créée une salle de musculation utilisable en cours d’EPS et de Biologie, et durant le temps libre des élèves. Chaque appareil devra êtr …lire la suite…
Economie et écologie de la mer
Nous ne connaissons que 3 à 4 % des espaces marins. Il importe de favoriser une meilleure connaissance de la géographie et de la topologie des mers et océans. Une approche écologique du vivant et des ressources est aussi …lire la suite…
S’appuyer sur des savoir-faire alternatifs
« L’écologisation » des pratiques industrielles, énergétiques et agricoles relégueraient-elles au passé les effets négatifs du productivisme et du capitalisme ? Un nouveau discours, des commandes politiques, des stratég …lire la suite…
Restaurer les moulins à eau pour permettre la mise en route de micro-centrale hydroélectrique
Des dizaines de moulin à eau sont à restaurés afin de permettre la mise en route de micro-centrale hydroélectrique. L'architecture déjà présente, les différents canaux d'amenée réalisés il suffirait de les mettre en conf …lire la suite…
Engager une politique de sortie progressive du nucléaire
La France nucléaire a la gueule de bois. Le naufrage d’AREVA, commencé en 2012, ne peut plus être contenu avec 5 milliards d’euros de pertes en 2014 et des milliers de licenciements qui se profilent. Les raisons de ce …lire la suite…
Soutenir la R&D et l’expérimentation pour le petit et moyen éolien
Le SEPEN (Site d’Expérimentation pour le Petit Éolien initié y a dix ans par une poignée de passionnés des énergies renouvelables convaincus de l’avenir de l’éolien), dispose aujourd’hui d’un site de mesures et d’expérim …lire la suite…
Biomasse des forêts, une ressource d’avenir ?
C’est possible si les modes de gestion forestières prennent en compte le facteur emploi/paysage/fixation de carbone et biodiversité. Certains voient dans l’utilisation de la biomasse des perspectives limitées, voire u …lire la suite…
Doter la Région d’un plan régional de traitement et valorisation des déchets ambitieux
La région doit se doter d'un plan régional de traitement et valorisation des déchets ambitieux. Les départements avaient en charge cette compétence, désormais, la région devra présenter un plan pluriannuel de traitement …lire la suite…
OPPOSITION DE LA REGION AU PROJET DE LIGNE LGV BORDEAUX-TOULOUSE
La région doit s’opposer au projet de nouvelle ligne LGV Bordeaux-Toulouse et à son financement par le Conseil Régional, pour privilégier le réaménagement des lignes existantes, et sauvegarder les investissements nécessa …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par