Le SNIT « entretient l’idée fausse que notre territoire vit aux frontières du monde, aux frontières du développement économique » a ainsi défendu Michel Perrier aujourd’hui lors du débat. En donnant une priorité absolue aux grandes infrastructures comme l’aéroport Notre-Dame des Landes et les lignes ferroviaires à très grande vitesse, en faisant une impasse totale sur le fret, et en ne se donnant pas les moyens de ses ambitions sur le projet des autoroutes de la mer, le SNIT ne respecte dans ses projets ni ses engagements du Grenelle de l’environnement, ni l’urgence de modernisation et d’optimisation des lignes ferroviaires existantes. Cela est pourtant l’ambition affichée dans la première partie de cet avant-projet. …