– Consacrer l’essentiel de l’aide parlementaire restante (en incitant les sénateurs des Français.es de l’étranger à faire de même) aux projets d’aide sociale menés par les associations de terrain, d’entraide et de fraternité qui aident nos compatriotes en difficulté.
– Se mettre à disposition de ces associations, les aider à collaborer de façon à réduire leur coûts fixes et à pouvoir couvrir l’ensemble de la circonscription.
Que pensez-vous de cette proposition ? Quelles idées apporteriez-vous dans le domaine de l’accompagnement social ?
Des suggestions, quelques idées, ou votre opinion sur le sujet?
Envoyez vos commentaires via le formulaire.