Gouvernance
Nos élu-e-s doivent garder les pieds sur terre !
Tout doit être fait pour que nos élu-e-s gardent leurs emplois (même à temps partiel). Le monde du travail, le contact avec ses collègues, l’affrontement des problèmes du quotidien sont à mon sens une absolue nécessit …lire la suite…
Après le projet, construire une équipe
Après la démarche de co-construction du projet viendra la nécessité d'organiser la constitution de listes. Deux écueils sont à éviter : les seules négociations partisanes, et l'AG permanente (même à quelques personnes …lire la suite…
Recours aux référendums d’initiative populaire et politique
Adopter un système transparent de référendum décidé soit par l’initiative populaire (de 1 à 2% de la population) soit par l’exécutif régional (et pourquoi pas une proposition de l’opposition) afin d’impliquer les citoyen …lire la suite…
Lutte contre le lobbying et les conflits d’intérêt
Interdire à des acteurs privés impliqués dans un secteur d’activité économique de décider des subventions dans ce même secteur. Il est par exemple anormal et inquiétant que le sortant Bernard Plano (PS), ancien de Matra …lire la suite…
Votes, Commissions et séances plénières
Afin de limiter les déplacements inutiles des conseillers, la région devrait assurer un système de vote en ligne, pour les commissions et les séances plénières, avec une exigence de vote individuel systématique à moins d …lire la suite…
Télétransmission des travaux des commissions du Conseil Régional
La pratique montre que lorsque les assemblées plénières des collectivités territoriales sont disponibles en direct et en streaming sur internet, la qualité des débats est améliorée. La transparence aussi, avec la possibi …lire la suite…
Pour une CHARTE ÉTHIQUE du/de la CANDIDAT-E
Un-e élu-e doit être un modèle d’exemplarité pour l’ensemble des citoyens. Il faut instaurer une clause d’inéligibilité, en cas de condamnation pour des délits ayant trait à la gestion de l’argent public, même en cas d’a …lire la suite…
INTER-RÉGIONALITÉ ET PYRÉNÉES
Pour assurer une interrégionalité aux Pays limitrophes pour assumer l'intégrité des Pyrénées. IL EST CLAIR QUE TANT LA QUESTION DE LA DÉLIMITATION DES RÉGIONS QUE CELLE DE LA LOI ELECTORALE QUI S'APPLIQUE À LA DÉSIGNA …lire la suite…
Formation OBLIGATOIRE des élu-e-s
Les elus locaux sont des personnes issues de la société civile, confrontés à des problématiques souvent complexes et sont amenés à prendre des décisions au nom de la collectivité qu'ils représentent. Or, dans bien des ca …lire la suite…
Faire émerger dans nos territoires locaux des « assemblées des communs »
Les communs désignent l’activité des communautés qui s’organisent et se régulent pour protéger et faire fructifier des ressources matérielles ou immatérielles, en marge des régimes de propriété publique ou privée. Zones …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par