Pour une CHARTE ÉTHIQUE du/de la CANDIDAT-E

Un-e élu-e doit être un modèle d’exemplarité pour l’ensemble des citoyens. Il faut instaurer une clause d’inéligibilité, en cas de condamnation pour des délits ayant trait à la gestion de l’argent public, même en cas d’amnistie de cette condamnation.

Un-e élu-e doit être disponible. Bien exercer une fonction élective exige une pleine disponibilité, incompatible avec le cumul de certains mandats. Le renouvellement non limité des mandats s’oppose au nécessaire renouvellement de la classe politique. Au-delà des obligations légales, un-e élu-e ne doit pas cumuler le mandat de conseiller-e régional avec un autre mandat de:
– Maire (commune de plus de 1000 hab.)
– Député-e
– Sénateur-trice
– Conseiller-e départemental
– Président-e ou vice président-e d’une Communauté de Commune, Pays et PNR et de tout établissement public de coopération intercommunale.

Le respect de ces engagements devrait être pris par nos futurs candidats.

3 réponses à “Pour une CHARTE ÉTHIQUE du/de la CANDIDAT-E”

  1. Bonjour
    Ne peut-on pas envisager un mandat impératif (possibilité de démettre l’élu s’il s’éloigne manifestement du programme pour lequel il a été élu)?

  2. 1- La « Charte de l’élu » doit aussi comporter une série d’obligations d’ordre financier a respecter juridiquement, car avant qu’il ou elle ne s’oint pas élu-es, la petit SOCIÉTÉ (avec des salaries et charges sociales qui vont avec, comme tout société) dit « parti politique » a investi en eux, directe ou indirectement des finances, que par la suite peuvent mettre en danger financier le dit « parti », pour le simple fait qu’un petit nombre de ceux-si, non pas respecte leurs signature déposée avant de prendre possession de sont mandat, donc il es nécessaire de se prévenir de ses brebis galeuses qui ne cherchent que les postes et toute se qui va avec (il y-an-a dans toutes les partis, et NE MÉRITENT PAS D’ÊTRE ÉLU-ES.

  3. Le mandat ne peut être renouvelé qu’une seule fois : pas de cumul dans le temps : pas de 3° mandat.
    Une déclaration de patrimoine et d’intérêts devra être remplie par les candidats élus et publiée sur le site de la Région
    Les candidats s’engagent à respecter évidemment la charte ANTICOR, qui assure un service après vote afin de veiller au respect des engagements pris.

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Les pages de consensus

Notre démarche

La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.

Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.

Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.

Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.

La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.

Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.

C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.

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