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Mission d’information sur les circuits courts

CAP sur la relocalisation à Nantes

– – – – – – – – – – – – – Pour son dernier déplacement, la mission d’information a choisi d’aller à Nantes, un territoire dynamique et innovant qui a souhaité donner une vraie dimension alimentaire à ses politiques publiques. Le département de la Loire atlantique est un des premiers départements agricoles français, très axé sur l’élevage mais offrant des productions relativement variées (légumes, fruits, vin…). C’est surtout le premier département Bio en termes de surfaces avec 30.000 hectares. Le bassin de consommation est par ailleurs important avec une agglomération nantaise de plus de 600.000 habitants qui se développe. …

CAP sur la Réunion

L’Île de la Réunion,  éloignée de la métropole de 10.000km, s’est développée par la production de biens alimentaires et manufacturés ; et plus récemment par le tourisme et les services. Le manque de nourriture et énergétique pendant la dernière guerre mondiale a été douloureux et moteur de ce choix de ne pas être trop dépendante de l’Europe. Emergée d’un volcan, c’est une ile très montagneuse, où les agriculteurs ne disposent que de 40.000ha cultivables, toujours plus grignotés par l’urbanisation. …

Les circuits courts en question à Bruxelles

Le 08 mai 2015 – Alors que l’Union européenne est souvent présentée comme productrice de réglementations hors sols et freinant le développement des marchés locaux, le président, M Taugourdeau et la rapporteure, Mme Allain, de la mission d’information parlementaire sur les circuits courts et la relocalisation des filières agroalimentaires, se sont rendus à Bruxelles pour rencontrer les principales institutions concernées : Commission européenne, Parlement européen, Conseil économique, social et environnemental, représentation permanente, et démêler le vrai du faux. …

Cap sur les systèmes alimentaires du 22 mai

– – – – – – – – – – – – – – Pour l’Autorité de la concurrence représentée par Juliette Théry-Schultz et Guillaume Binoche, ces nouveaux modes de commercialisation permettent aux agriculteurs de s’assurer des débouchés et de meilleurs revenus pour peu que la filière se structure un minimum. L’institution dit œuvrer « pour la protection des producteurs » et  insiste sur l’importance d’organiser les circuits courts et locaux pour les pérenniser. Ils attirent cependant l’attention sur la nécessité de ne pas trop investir dans ces filières où les débouchés restent limités et incitent à ne pas négliger les perspectives offertes par l’export, notamment avec un développement des productions de qualité, valorisables à l’étranger. Cette démarche assez éloignée du cœur de la mission a néanmoins l’intérêt de rappeler que les circuits courts et de proximité ne doivent pas s’opposer aux autres modes de commercialisation plus « classiques », un argument récurrent. …