Politique vaccinale : Eric Alauzet : « il ne faut pas céder à la tentation de l’obligation qui apparaît à la fois comme une réponse démesurée et inappropriée. »

Dans la continuité du débat ouvert depuis plusieurs années, le nouveau ministre de la Santé, Agnès Buzyn, envisagerait de rendre onze vaccins obligatoires (contre trois aujourd’hui). Interpellé par de nombreux citoyens-nes , Eric Alauzet y répond en exprimant son avis sur la question reprenant notamment ses amendements déposés lors de la dernière loi Santé.

 

La liberté de choix en matière vaccinale est essentielle bien qu’elle puisse se heurter à l’intérêt général. En effet, la vaccination ne constitue pas uniquement un acte de protection individuel. L’efficacité de la vaccination repose sur un taux de vaccination de l’ensemble de la population afin de stopper la propagation de l’agent pathogène. Il faut donc arriver à concilier les deux objectifs.

Ces dernières années le débat et la controverse portaient sur deux points précis :

  • L’impossibilité de pouvoir bénéficier des seuls vaccins obligatoires dès lors que des valences non obligatoires étaient systématiquement associées aux souches à vaccins obligatoires ;
  • L’impossibilité de trouver des vaccins sans sels d’aluminium.

Lors de l’examen en première lecture à l’Assemblée Nationale du projet de loi Santé, Eric Alauzet avait déposé deux amendements qui furent rejetés. Le premier visait à permettre de nouveau la production de vaccin contenant uniquement les valences obligatoires, afin de ne pas imposer la vaccination contre d’autres maladies dans le cadre des vaccins obligatoires. Le second avait pour objectif de rétablir la possibilité, en ce qui concerne les trois valences obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite), de pouvoir choisir un vaccin sans adjuvant contenant de l’aluminium mais de lui substituer du phosphate de calcium. Vous trouverez ces deux amendements ci-dessous.

Eric Alauzet rappelle une nouvelle fois sa profonde opposition à la stratégie du Ministère de la santé qui consistait à administrer subrepticement un certain nombre de valences aux jeunes enfants, souvent sans le consentement éclairé des familles. Bref, il était impossible de vacciner son enfant contre le tétanos, la poliomyélite et la diphtérie sans lui administrer simultanément une, voire deux ou trois valences non obligatoires, à savoir la coqueluche, l’hépatite B et l’haemophilus influenzae (Bacille de Pfeiffer). Cette attitude de l’administration et de l’Etat était totalement inadmissible car elle consistait à administrer de force et de manière sournoise des valences non obligatoires.

Et ce qui devait arriver arriva. Saisi sur cette anomalie, le Conseil d’Etat, dans sa décision du 8 février 2017, a enjoint l’Etat et l’administration à mettre fin à cette situation et à « rendre disponibles des vaccins correspondants aux seules obligations de vaccination prévues aux articles L. 3111-2 et L. 3111-3 du code de la santé publique ». Cette décision de justice a précipité un changement de stratégie de l’Etat qui a dû, cette fois, assumer ses préférences en toute transparence en rendant obligatoires de nouveaux vaccins. Il s’agit non seulement des vaccins qui étaient associés aux vaccins obligatoires mais aussi de la rougeole des oreillons et de la rubéole (ROR), du pneumocoque et du méningocoque de type C. Une obligation qui ferait de la France le pays le plus vacciné d’Europe. A l’évidence cette nouvelle orientation est excessive sans qu’il soit évident d’en discerner toutes les motivations.

Cette approche, loin de réconcilier les français avec la vaccination, risque au contraire de renforcer leur suspicion. Ce sujet mérite mieux, à savoir l’explication, la transparence, la pédagogie… et le cas par cas. Par exemple, pourquoi rendre obligatoire la vaccination de la rubéole chez les garçons ? Les bienfaits du vaccin contre la rougeole ont-ils été vraiment mis en parallèle avec les effets secondaires de cette vaccination ? A-t-on expliqué qu’un certain nombre de décès par rougeole étaient intervenus chez des personnes qui présentaient des fragilités et des déficiences. A l’inverse, il est encore impossible de faire la preuve du lien entre la vaccination de l’hépatite B et l’apparition de sclérose en plaque alors que l’hépatite B peut conduire à des cirrhoses voire à des cancers du foie. Une société apaisée devrait pouvoir discuter tranquillement de l’intérêt de chacun des vaccins cités précédemment. Bref, les interrogations, le manque de transparence, les instrumentalisations, les impossibilités de trancher certaines questions,  ont conduit à cette situation d’impuissance de la force publique et de méfiance du corps social. C’est un énorme gâchis car la vaccination a rendu et rend encore d’immenses services à l’humanité et il ne faudrait pas en perdre le sens.

Les comparaisons européennes ne valident pas la décision française de rendre obligatoire la pratique de 11 vaccins. Sur 29 pays, 16, soit un peu plus de 50 % n’ont aucune vaccination obligatoire.

La moyenne de vaccins obligatoires sur les 15 autres pays est de 5. Les germes choisis par les pays sont extrêmement contrastés. Le micro-organisme qui fait le plus consensus est la polio pour 12 pays, dont la France. Le tétanos et la Diphtérie pour 8 pays, dont la France.

Rougeole-oreillons-rubéole pour 8 pays, dont la France. Le nombre de vaccins par pays est faible, seule la Lettonie a 11 vaccins obligatoires, dont Rougeole-oreillons-rubéole, ensuite la Slovaquie a 8 vaccins obligatoires, dont Rougeole-oreillons-rubéole. L’Allemagne, l’Autriche, le Danemark, le Luxembourg, la Norvège, l’Espagne, la Suède et le Royaume-Uni, n’ont aucune obligation alors que ce sont de grands pays, peuplés et/ou riches.

Si le taux de vaccination en France reste faible , il ne faut pas céder à la tentation de l’obligation qui apparaît à la fois comme une réponse démesurée et inappropriée.  La vraie réponse à cette situation d’insuffisance de couverture vaccinale qui reste un réel problème pour neutraliser certaines maladies ou endiguer leur progression, c’est bien celle du dialogue et non de l’obligation comme c’est le cas dans la plupart des pays voisins. Expliquer et dialoguer pour mieux comprendre les enjeux collectifs et les aspirations individuelles, telle devrait être la doctrine.

 

 

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17 commentaires pour “Politique vaccinale : Eric Alauzet : « il ne faut pas céder à la tentation de l’obligation qui apparaît à la fois comme une réponse démesurée et inappropriée. »”

  1. Merci pour cet amendement, cher Eric.
    J’ai soigné des séquelles de vaccination et c’est même ce qui m’a ouvert les yeux lorsque le patron du service a dit « maintenant nous savons que c’est du à la vaccination mais nous n’avons pas le droit de le dire ». C’était en 1965, les choses n’ont pas changé elles ont même empiré. Quoi de mieux que des vaccins pour débiliter une population et ainsi vendre des médicaments. Je précise que j’ai soigné jusqu’à 9 malades de tétanos en même temps (Réa Strasbourg), essentiellement des vieilles dames car elles n’avaient pas été vaccinées au service militaire à 20 ans, l’effet dure donc très longtemps. Avant de vacciner il conviendrait d’ailleurs de rechercher la présence d’anticorps dans l’organisme et ainsi de ne pas survacciner ceux qui n’en ont pas besoin, mais la recherche d’anticorps ne remplit pas assez les poches de Big Pharma mais plutôt celles des biologistes. Cela coûterait moins cher à la SS que de soigner des myofascites à macrophages, des SEP etc.
    Bien à vous, Anny Augé

  2. Merci Eric pour cette réponse à la question que je t’ai posée mais dans le cadre de l’ordonnance santé.
    En Italie 12 vaccins obligatoires en Italie depuis peu :
    http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/italie-le-vaccin-contre-la-rougeole-obligatoire-a-l-ecole_2202338.html

    J’ai cherché sans succès pour les USA où cela se décide par état.

    Une question plus précise. Va t-il y avoir un vote distinct sur cette obligation à l’AN ?

    Je suis personnellement totalement opposé à cette imposition de vaccination. J’ai retenu cette phrase marquée en gras dans ton intervention : « A l’évidence cette nouvelle orientation est excessive sans qu’il soit évident d’en discerner toutes les motivations ».

  3. Je suis contre ces 11 vaccins qui vont devenir obligatoires en France, ce qui signifie que les bébés vont recevoir jusqu’à 40 à 50 injections en peu de temps ! INIMAGINABLE ! surtout avec l’alu dans les vaccins, alu qui ont le sait peut provoquer des dégâts irréparables. Et pourquoi dans beaucoup de pays européens les vaccins ne sont pas obligatoires et leurs habitants ne sont pas plus malades qu’en France !

  4. Bonjour,
    On peut être critique sur les décisions prises, ce qui est mon cas tout en restant objectif et lucide sur l’information transmise. Il est par exemple tout à fait inexact d’affirmer que nos enfants vont se voir infliger « 40 à 50 injections en peu de temps ». Ce type de fausses informations (fake news) dessert ceux-là même qui les font circuler. Par exemple, le vaccin penta ou hexavalent ne génère pas plus d’injections mais plus de valences.

    Cordialement.

    Eric Alauzet

  5. Merci pour votre position et ces amendements sur ce dossier, Monsieur ALAUZET. Mais le combat doit continuer, car il est insupportable que ce nouveau gouvernement, cède aux demandes de l’industrie pharmaceutique, de rendre obligatoire 11 vaccins. A un moment ou l’Etat doit faire des économies massives, il serait tout a fait scandaleux de faire ce cadeau à l’industrie pharmaceutique. Nous devons exiger que le gouvernement respecte la décision du Conseil d’Etat, à savoir, obliger les laboratoires à remettre sur le marché les 3 vaccins obligatoires et sans adjuvant aluminium.
    Bien cordialement

  6. Merci pour votre intervention. Le nouveau gouvernement avait promis de prendre en compte les pétitions et autres affirmations de la volonté populaire. Nous verrons bientôt s’il tient parole ou cède aux exigences des lobbies pharmaceutiques.

  7. Monsieur le Premier ministre et Madame le ministre s’engagent vers l’élargissement, certes « temporaire », des obligations, mais en fait le comité d’orientation conclut que la levée de l’obligation est l’objectif à atteindre (communiqué de presse concertation citoyenne, 30 novembre 2016) : dès lors, autant s’organiser dès à présent en fonction de cette liberté !

    Pour résoudre rapidement les contradictions constatées notamment par le Conseil d’État, et mettre en œuvre dès à présent des actions de pédagogie et de prévention, dans le respect de la personne, donc en reconnaissant la liberté d’accepter ou non une vaccination, le plus simple sera de :
    – suspendre par décret les obligations actuelles (notamment CSP articles L3111-2, L3111-3, L3111-6, etc.) – et les textes équivalents dans les DOM-TOM -, avant de les faire supprimer ;
    – exclure toute disposition coercitive ou répressive (articles R3111-17, L3116-4) et, dès à présent, amnistier les peines prononcées et suspendre les poursuites à ce titre ainsi que prescrire l’assouplissement pour les admissions en collectivité ;
    – exclure de la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP) tout objectif de couverture vaccinale ;
    – exclure l’absence de vaccination, des indices de dérive sectaire ou de mauvais traitement ;
    – exiger dans le cadre de l’article L1111-4, le consentement conjoint des titulaires de l’autorité parentale préalablement à tout acte invasif, notamment les vaccinations, sur un enfant, sauf péril imminent.

    Ces mesures rationnelles et économiques préserveront la paix sociale et politique sans compromettre le moins du monde l’état sanitaire du pays.

  8. Bravo pour votre engagement!
    Il y a un terme pas assez développé : L’intérêt général.
    On veut généraliser la population alors qu’il y a un complexe énorme d’états de santé distincts.
    D’autre part, avec ce terme passe-partout, on ne veut pas voir qu’il ne s’agit que de l’intérêt par rapport aux maladies visée par des vaccins mais nullement l’état de santé global de la population.
    Des études ont mis en évidence la santé des enfants non vaccinés, enfants dont les parents se soucient de leurs santés globales.
    Lien : http://reseauinternational.net/etudes-sur-la-sante-des-enfants-vaccines-et-non-vaccines/
    Un livre écrit par une pédiatre de longue date :
    http://reseauinternational.net/etudes-sur-la-sante-des-enfants-vaccines-et-non-vaccines/

  9. Dans un article du 16/07, le Dr Marc Girard écrit dans la conclusion:
    « c’est la première fois qu’un pouvoir se propose d’obliger les citoyens (via la sécurité sociale) à acheter à des instances privées des biens dont ils n’ont nul besoin – et qui, de surcroît, mettent leur santé en péril. »

    http://www.rolandsimion.org/spip.php?article382

    Au delà de l’aspect économique non quantifié, ce projet de loi démontre que la France, pays des Lumières et des droits de l’homme, pourfendeur des atteintes au droit des femmes en Iran ou des homosexuels en Tchétchénie, deviendra l’un des rares pays, dans le monde occidental, à dépenser des dizaines de millions d’euros pour stigmatiser et tourmenter, souvent avec l’aide des forces de police, des parents soucieux de la santé de leurs enfants, des associations qualifiées par ses soins de « sectes », à dresser des listes noires, à discriminer nombre d’approches naturelles, qu’elles concernent l’agriculture ou la santé naturelle au nom du savoir « scientifique », et ira jusqu’à inventer des dangers pour justifier sa répression. Les « grands médias » cautionnent aveuglément ces abus si bien que le public n’est jamais averti de ce qui se passe réellement dans les coulisses.
    « Ils ont réussi à faire croire au grand public qu’il est terriblement menacé par une épidémie de rougeole ayant fait 10 morts en 10 ans…. sur des sujets immuno-déprimés par ailleurs. Combien d’enfants succombent chaque année, en France exclusivement, d’accidents domestiques ou de la circulation ? Quelle démesure !

    Avec cette loi. Il suffira d’un mail adressé à un conseil de l’ordre des médecins pour obtenir la radiation d’un médecin, si l’on prend soin dans ce courrier de dénoncer des pratiques “sectaires”, ou simplement “non éprouvées par la science”. »

    Enfin je m’interroge sur la notion d’”immunité de groupe” qui reste l’argument favori des vaccinolâtres pour culpabiliser les jeunes parents inquiets.
    Si cette loi venait à être votée, faudra-t’il rétablir des postes de contrôle sanitaire à nos frontières et refouler systématiquement les ressortissants non-vaccinés des pays de l’UE (Allemagne, Suisse, Autriche, Grande-Bretagne, Scandinavie pour ne citer que les plus proches) où les vaccins ne sont pas obligatoires. Ainsi, je ne pourrai plus recevoir chez moi mes petits-enfants non résidents en France au prétexte qu’il mettraient en danger mes autres petits-enfants résidents en France et la sécurité sanitaire nationale.

    Ce dernier aspect est à peine exagéré puisque j’ai reçu récemment le témoignage d’un jeune grand-père de la région de Lyon qui s’est vu refuser par son fils habitant à Metz la visite à son petit-fils au prétexte qu’il n’était pas vacciné contre la coqueluche.

    La société française n’a pas besoin de ré-inventer le Maccarthysme, fut-il sanitaire.

  10. Ci joint une lettre dont j’ai eue connaissance à laquelle j’ai rajouté certains passages, que j’espère prémonitoires, provenant du discours du Président Macron à Versailles.

    À l’attention : de Monsieur le Président de la République, Emmanuel Macron

    Madame Agnès Buzyn, notre nouvelle ministre de la Santé, étudie le projet de 11 nouveaux vaccins obligatoires qui seraient imposés aux nouveaux nés et qui lui a été transmis par la précédente ministre Madame Marisol Touraine.

    Les Français ne peuvent que s’opposer à une telle décision, qui ferait de la France la première dictature vaccinale au monde, au mépris des droits élémentaires de la personne humaine, dont le tout premier est le droit au respect de l’intégrité physique de chacun.

    Or, un vaccin est un acte médical intrusif qui ne peut être infligé à un petit enfant sans l’accord explicite de ses parents et que nulle autorité politique n’a le droit d’imposer collectivement.

    En effet, les réactions à un vaccin sont strictement individuelles et dépendent exclusivement de l’état physiologique et de la constitution héréditaire de l’organisme qui le reçoit. Les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles pour chaque individu et toute référence à des statistiques prétendues positives est dénuée de valeur.

    Aucun citoyen n’est réductible à un élément de statistique qui le rendrait dépendant d’une intolérable loterie. Aussi nous vous demandons, Monsieur le Président de la République, d’ordonner à Mme Agnès Buzyn, nommée par vous Ministre des Solidarités et de la Santé, de renoncer à ce projet de nouveaux vaccins obligatoires, qui s’avère contradictoire, non seulement aux droits de l’homme et du citoyen qui sont la base historique de notre Constitution et dont vous êtes le garant, mais également à la volonté que vous avez exprimée dans votre programme électoral de « bâtir une France nouvelle, une France qui libère, pour ne plus être bloquée par des règles devenues obsolètes. »

    Par ailleurs lors de votre solennel discours à Versailles vous avez évoqué votre conception de ce que vous appelez la liberté forte en ces termes :
     » Le premier principe doit être la recherche d’une liberté forte. .. Notre devoir est d’émanciper nos concitoyens. C’est-à-dire leur permettre de ne pas subir leur vie mais bien d’être en situation de la choisir. De pouvoir « faire » là où trop souvent nos règles entravent au prétexte de protéger. Je crois à cet esprit des Lumières qui fait que notre objectif à la fin est bien l’autonomie de l’homme libre, conscient et critique.
    La liberté forte, c’est la liberté de choisir sa vie. Car la liberté est ce qui réconcilie liberté et égalité, justice et efficacité. La liberté d’expérimenter, mais aussi la liberté de se tromper sont des libertés qui restent à construire…. Donner en revanche à l’administration des pouvoirs illimités sur la vie des personnes, sans aucune discrimination, n’a aucun sens, ni en termes de principes ni en termes d’efficacité.
    Ce que nous avons à accomplir, c’est une véritable révolution. Voici plus de 30 ans que nous nous accommodons d’un double discours, les grands principes d’un côté, Le langage politique de l’autre, et entre les deux rien, le néant des réalisations caché par l’accumulation des lois et réglementations de toutes sortes ».

    Il nous semble que vous avez là l’occasion de confirmer votre volonté maintes fois exprimée de renouveler les moeurs politiques de notre pays afin de le conduire vers une démocratie plus authentique et plus réelle, ce qui a suscité l’adhésion d’un très grand nombre de nos concitoyens.

    Au moment où le peuple français dote l’Assemblée nationale d’une majorité absolue de députés de votre mouvement «La République En Marche», nous avons confiance, Monsieur le Président, que vous accorderez à la présente pétition toute l’attention qu’elle mérite et lui donnerez votre soutien.

    Respectueusement.

  11. cette lettre ci dessus vient d’être adressée en LR avec AR avec la présentation suivante :

    Docteur Didier Tarte
    60 rue des Carmes 17500 Jonzac
    Lettre recommandée avec AR 1A 125 191 2437 5

    Monsieur le Président de la République Française, Emmanuel Macron

    Dans le contexte préoccupant de la situation actuelle où le premier Ministre Edouard Philippe et la Ministre de la santé Agnès Buzyn envisagent de rendre obligatoire 11 vaccins, je crois utile de vous transmettre la lettre suivante dont j’ai apprécié la qualité et la justesse sur ce sujet.

    Je souscris d’autant plus à cette lettre qu’elle est en parfaite cohérence avec les propos que vous avez tenus lors de votre solennel discours à Versailles le 4 juillet. Aussi j’ai trouvé parfaitement justifié d’y insérer certains passages de ce discours à partir du document diffusé par les services de la Présidence de la République.

    Je ne doute pas que la hauteur de vue et la pertinence de ces quelques passages seront suivis d’une application exemplaire pour garantir le respect de l’intégrité de l’être humain, comme le garantit notre constitution, la loi Kouchner en matière de liberté de choix thérapeutique, mais aussi le code de Nuremberg qui stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Nul ne peut être soumis sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique ». En l’occurrence il s’agirait d’une expérience collective, d’une surprenante et inquiétante ampleur !

    En vous assurant, Monsieur le Président de la République, de tout le respect pour votre haute fonction.

  12. « Un jour, parce qu’on s’est tu, parce qu’on n’a pas voulu voir, le passage à l’acte intervient. Alors, ce qui était des mots, ce qui n’était chez les uns que de la haine formulée différemment, et chez les autres une forme de lâcheté et une complaisance à ne pas vouloir voir, alors ça devient des vies fauchées et des gestes qui tuent. » (Emmanuel Macron, le 16 juillet 2017 à la cérémonie du 75e anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv à Paris).

    Lois Scélérates, lois d’exception, Lois d’extension des obligations vaccinales : toutes des lois de même nature. Attention au double discours de nos représentants au Parle-ment.

  13. Bonjour,

    Pouvez-vous expliciter votre propos sur le « double discours de nos représentants au Parlement » ?

    Bien cordialement,

    Eric Alauzet

  14. Le BCG a sauvé des millions de personnes mais mon fils de 4 ans n’aurait pas dû être vacciné Du fait qu’il était déjà porteur de la tuberculose dans les yeux ! Le Docteur Huguin a fait les tests !
    Il a De ce fait , fait une promo infection dans les yeux !
    Il a failli perdre la vue !
    Piqûres à La cortisone dans les yeux ne l’a pas sauvé : une fois par semaine ce qui calmait mais les crises reprennaient sans régler le problème !
    Seule le Medecin homéopathe nous a proposé une désensibilisation
    À la maladie . Fini la cortisone et ses yeux ont été sauvés
    Avec deux opérations
    Après 20 ans !
    C’est pourquoi , il faut que les médecins homéopathes soient aussi acceptés dans les hôpitaux !

  15. @ Mr. Eric Alauzet, Dans ce contexte de projet de loi d’extension des obligations vaccinales, le discours tenu est un discours d’autorité face à des Français désignés comme irresponsables, obscurantistes et immatures. Je souhaiterais vous adresser, en dehors de ce fil de commentaires, des extraits du discours de M. le Président devant le Congrès à Versailles sur les valeurs de la République qui ne semblent pas s’appliquer dès l’instant où le mot « vaccin » est évoqué. Un grand merci pour le débat engagé.

  16. Les enseignants chercheurs sur le site theconversation.com – L’expertise universitaire, l’exigence journalistique – l’écrivent, il n’y a pas d’évaluation scientifique indépendante (surtout des laboratoires pharmaceutiques) des bénéfices et risques de chaque vaccin. Pour ce qui est de Mme Buzyn et de sa soi disant volonté d’assumer ses propos pour mieux convaincre les indécis, ce qu’il faut comprendre c’est que lorsque le scandale des vaccins se révélera ( comme sang contaminé, hormones de croissance, poulets à la dioxine, amiante, vaches folles, médiator, prothèse des seins etc) suite à ces études scientifiques indépendantes qui ne pourront être repousser indéfiniment comme elles le sont depuis 40 ans aux calendes grecques, Mme Buzyn donc pourra avec n’importe quel avocat reprendre à son égard le « responsable mais non coupable ». En effet comme il n’y a pas aujourd’hui d’études scientifiques indépendantes, l’état actuel de la science ne lui permet donc pas de savoir que la vaccination est inefficace et dangereuse. Elle ne risque rien du tout en fait !!!

    Si nous voulons avancer, nous citoyens devons exiger de donner les moyens aux universitaires indépendants de réaliser cette évaluation scientifique !

    Par exemple, quelque chose de simplissime :
    Créer une base de données a partir des vaccinations
    Pour chaque vaccination des gens enclin à faire avancer la science, fournir :
    1 – Certificat de bonne sante
    2 – Certificat de vaccination
    3 – Certificat de maladie si il apparaît un problème de santé postérieur à la vaccination

    Reference :
    https://theconversation.com/enseignants-chercheurs-en-medecine-generale-lobligation-vaccinale-est-une-mauvaise-solution-80733

  17. Faut-il voir une collusion entre le gouvernement et Sanofi ?

    http://www.sanofi.fr/l/fr/fr/layout.jsp?cnt=3AA88E7B-3440-41B5-8072-A4B21268E75E

    Et que penser du vote de loi suivant ? :

    http://www.wikistrike.com/2017/07/pour-la-presidente-du-syndicat-de-la-magistrature-la-france-prend-le-chemin-d-un-etat-policier.html

    Par ailleurs, médecins et pharmaciens ont lancé une campagne contre l’homéopathie :

    http://lacoupedhygie.fr/index.php/2017/07/19/lhomeopathie-na-rien-a-faire-en-pharmacie/

    Les commentaires laissés par les lecteurs du site http://www.jim.fr, site réservé aux professionnels de la santé, sont ahurissants.

    Ces divers éléments nous inquiète des dérives totalitaires possible avec l’usage combiné de telles lois sans fondement d’urgence épidémique en ce qui concerne la loi Buzyn.

    Enfin, pour les anglophones, le Dr. Jacob Puliyel, médecin-pédiatre d’un des principaux hôpitaux de Dehli dénonce la manipulation des données scientifiques sur son site http://www.jacob.puliyel.com.

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