La campagne municipale 2014 | Grenoble, une ville pour tous

Pour un mandat éthique et transparent ! Signature de la charte Anticor

Interpellations 21 janvier 2014 3

Pour le rassemblement Grenoble, une ville pour tous, Eric Piolle signe la Charte de l’association Anticor
et annonce la publication de sa déclaration de patrimoine. Il a été le seul candidat de Grenoble à signer cette charte.

Pour le rassemblement Grenoble, une ville pour tous, Eric Piolle signe la Charte de l’association Anticor
et annonce la publication de sa déclaration de patrimoine.

Avec le rassemblement citoyen, de la gauche et des écologistes, Eric Piolle, s’est engagé deux fois en faveur de la transparence et de la modernisation de l’action publique.

Il a été le seul candidat de Grenoble à signer la Charte Anticor 2014 (cf. en ligne sur leur site) proposée par l’association de lutte contre la corruption. Cette charte vaut « contrat de mandat », et partage plusieurs engagements déjà portés par le Rassemblement et qui figureront dans le projet :

Limitation du cumul des mandats
Participation citoyenne
Transparence, publicité des informations et bonne gestion des affaires publiques
Choix des organismes financiers

Lors de la présentation à la presse et aux responsables politiques de cette charte 2014, Eric Piolle s’est engagé à publier d’ici 48h sa déclaration de patrimoine sur le site internet du Rassemblement (voir en ligne ici)

Un nouveau projet, une nouvelle majorité !

Matériel de campagne Participez Projet 16 janvier 2014 3

Le tract du rassemblement « Grenoble, une ville pour tous », distribué dans tout Grenoble.

Le tract du rassemblement « Grenoble, une ville pour tous », distribué dans tout Grenoble.
Mis à jour le 8/2/14

2014TractProjetUneVillePourTous1Pt — Cliquez sur l’image pour la voir en plein écran

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Réponse-lettre-ouverte-collectif-Aux-Urnes-Citoyens

Réponse au « Rassemblement pour l’Initiative Citoyenne »

Interpellations 16 janvier 2014 Commentaires fermés

Eric Piolle détaille dans la lettre ci-jointe la réponse de la liste Rassemblement « Grenoble, une ville pour tous » aux questions soulevées par le « Rassemblement pour l’Initiative Citoyenne ».

Réponse aux questions du Rassemblement pour l’Initiative Citoyenne

Téléchargez la lettre au format PDF
feuilletez la lettre en ligne en cliquant ci-dessous

Paris apaise la vitesse à 70 km/h, Grenoble veut plus de camions … vite une autre politique routière !

Projet 10 janvier 2014 2

Ce vendredi 10 janvier, la vitesse sur le périphérique parisien passera à 70 km/h. L’objectif est de réduire de 5% la pollution atmosphérique sur la capitale. Ailleurs en Europe, plus de 200 villes ont adopté des mesures drastiques pour limiter la pollution aux particules fines qui réduit de plus de 6 mois l’espérance de vie des habitants des villes polluées ([1]).

A Grenoble, depuis des années, les responsables politiques parlent mais n’agissent pas. Pire, le Conseil général défend un projet d’A480 élargi « à gabarit autoroutier », associé à la reprise de l’A51, afin de relier cette dernière à l’A48 et délester l’autoroute du soleil. Une « A7 bis » en plein Grenoble ! Ce véritable aspirateur à camions ferait exploser la pollution sur Grenoble. Ce projet n’a jamais été dénoncé, ni par le Maire de Grenoble, ni par le Président de la Métro qui laissent ainsi la politique du pire se réaliser.

Pendant des années, ces élus ont défendu, et défendent encore, des projets nuisibles et absurdes comme la rocade Nord ou l’A51. Conséquences de cet amateurisme : beaucoup de temps perdu et très peu de solutions pour améliorer la circulation sur Grenoble. La ligne de tram E prévue initialement pour 2009 a été retardée par le projet de rocade Nord et n’ouvrira que cette année. Quant au projet de traitement de l’échangeur du Rondeau, l’un des « nœuds » de l’agglomération, il n’est toujours pas traité par l’État faute de mobilisation des collectivités.

Le professeur Slama a récemment rappelé les conséquences de la pollution dans l’agglomération en termes de santé publique. Il indique « qu’intervenir sur le trafic routier à un impact mesurable » et prend l’exemple du nombre de crises d’asthme très clairement lié au niveau de pollution ([2]).

En matière de politique routière, nous nous engagerons dès le début du prochain mandat pour un passage à 70 km/h sur l’A480 et la rocade Sud afin de limiter la pollution et le bruit (notamment sur les quartiers sud et Mistral). Cette mesure sera à mettre en place de façon coordonnée avec les autres communes de l’agglomération et les services de l’État.

Par ailleurs, nous travaillerons avec l’État pour accélérer le traitement du Rondeau en déconnectant les voiries de dessertes locales de l’échangeur et ainsi faciliter le transit.

Articulée avec un développement des modes doux et collectifs, une autre politique routière est possible. Elle permettra à ceux qui ne peuvent se passer de leur voiture de bénéficier d’un trafic plus fluide et apaisé. C’est notre engagement !

Texte du communiqué de presse (PDF): Communiqué de presse du 10 janvier 2013

Article de presse (lien): « Grenoble: et si on passait à 70 km/h sur l’A480 et la rocade sud? » – (Grenoble City Local News du 10/01/2014)

[1] http://abonnes.lemonde.fr/planete/article/2014/01/04/en-europe-200-villes-restreignent-leur-acces-aux-vehicules-polluants_4343004_3244.html?xtmc=200_villes&xtcr=4

[2] Effets sanitaires de la pollution atmosphérique – Remy Slama – Centre de recherche Inserm/UJF – Document de présentation que nous tenons à votre disposition en pdf.

Réponse d’Eric Piolle au collectif « Aux urnes citoyens »

Interpellations 10 janvier 2014 Commentaires fermés

Eric Piolle détaille dans la lettre ci-jointe la réponse de la liste Rassemblement « Grenoble, une ville pour tous » aux questions soulevées par le collectif « Aux urnes citoyens ».

Eric Piolle détaille dans la lettre ci-jointe la réponse de la liste Rassemblement « Grenoble, une ville pour tous » aux questions soulevées par le collectif « Aux urnes citoyens ».

Réponse à la lettre ouverte du collectif « Aux urnes citoyens »

Téléchargez la lettre au format PDF
feuilletez la lettre en ligne en cliquant ci-dessous

Presse : inauguration de la Maison du Rassemblement et voeux aux Grenoblois

Dans la presse 10 janvier 2014 Commentaires fermés

De nombreux journalistes ont assisté à l’inauguration de la Maison du Rassemblement et aux voeux aux Grenoblois pour 2014 par Eric Piolle.

Vous trouverez ci-dessous les liens vers les articles du Dauphiné Libéré et de City Local News Grenoble (Grenews).

Le Dauphiné Libéré

le Dauphiné Libéré du 10/01/2014 a publié un article de Matthieu Estrangin intitulé : Éric Piolle veut « porter Grenoble dans le XXIe siècle »

En voici quelques extraits:

Quelques heures après Matthieu Chamussy, Eric Piolle rassemblait les siens, lui aussi pour l’inauguration de son local de campagne. Rendez-vous donc 3 bis, rue Lafayette vers 18h30.

Face à une grosse centaine de militants politiques et associatifs, de sympathisants, il a débuté son intervation en ayant une pensée pour les sapeurs-pompiers de l’Isère mobilisés « depuis quelques semaines pour construire une société moins violente, plus juste ».

Il s’est ensuite concentré sur Grenoble, une ville, selon lui, qui « bouillonne – c’est une chance », une ville riche de « la diversité de ses habitants » mais une ville dont il faut « écrire une nouvelle page ». […]

L’intégralité de l’article est accessible aux abonnés du Dauphiné Libéré: Éric Piolle veut « porter Grenoble dans le XXIe siècle »

City Local News Grenoble

Le journal City Local News Grenoble du 09/01/2014 a publié un article d’Emmanuel Gallant : « Nous tournerons notre ville vers l’avenir » (Piolle).

En voici quelques extraits:

Quelques heures après Chamussy, une rue et demie plus loin, c’était au tour d’Eric Piolle d’inaugurer un local de campagne. Rue Lafayette, la « Maison du rassemblement », QG de « Grenoble, une ville pour tous », est grande, mais elle avait du mal à contenir tout le monde mercredi soir.

Derrière son présentoir (en carton), Eric Piolle avait aussi un problème de place, puisqu’il partageait l’estrade (en bois) avec ses cinq porte-paroles du rassemblement : Bernard Macret, Elisa Martin, Hakim Sabri, Kheira Capdepon et Lucille Lheureux.
Il commençait donc logiquement par un serrage de coudes : « Permettez-moi de démarrer ce temps de voeux par une pensée pour les pompiers mobilisés depuis plusieurs semaines. C’est un élan très fort… »

L’élan, justement, était tangible rue Lafayette. Les figures locales étaient là. « J’ai vu ce soir Raymond Avrillier, Geneviève Jonot, Pierre Kermen », etc. GreNews a vu aussi Gilles Kuntz, Olivier Bertrand, Vincent Comparat, Yann Mongaburu, Jo Briant et des tas d’autres gens mais on ne va pas citer tout le monde sur ce joli portrait de famille élargie. « On s’inscrit dans une dynamique plus large », reprenait ainsi Piolle. « Nous porterons Grenoble dans ce nouveau siècle, même si il a commencé depuis 14 ans ».
Une phrase que ceux en place depuis 14 ans interpréteront comme bon leur semble. […]

L’intégralité de l’article est sur le site de Grenews: « Nous tournerons notre ville vers l’avenir » (Piolle).

La presse nationale s’empare du Rassemblement

Dans la presse 08 janvier 2014 Commentaires fermés

Le journal Libération publie aujourd’hui un article sur la liste du Rassemblement « Grenoble, une ville pour tous » et de son projet face au bilan de l’équipe sortante. L’article insiste aussi sur le rassemblement non seulement entre EELV et le PG, mais aussi avec l’association écologiste locale ADES et le Réseau Citoyen.

Publié dans le journal Libération du mercredi 8 janvier 2013

Inauguration de la Maison du Rassemblement et vœux aux grenoblois

carte 06 janvier 2014 Commentaires fermés

Rendez-vous le mercredi 8 janvier 2014, à partir de 17h30, pour l’inauguration officielle de la Maison du Rassemblement et, au nom du rassemblement, les vœux d’Eric Piolle aux Grenoblois-e-s.

Cela sera aussi l’occasion de vous présenter :

les projets d’actions qui animeront la Maison du Rassemblement ;
les prochaines étapes de la campagne et les différentes possibilités de mobilisations militantes.

Pour rappel : la Maison du Rassemblement se trouve au 3bis rue Lafayette à Grenoble.

Budget municipal : nous ferons d’autres choix !

Projet 19 décembre 2013 4

Le budget 2014 présenté au conseil municipal du 16 décembre est très décevant, à l’image du mandat qui s’achève. La majorité en place a été élue avec une promesse de ne pas augmenter les impôts locaux qui sont très injustes car ne dépendant pas ou trop peu des revenus des ménages.

Pour se donner des facilités de manœuvres, notamment en vue de la préparation de la candidature aux Jeux Olympiques de 2018, J. Safar a présenté un budget 2009 avec une violente augmentation des taux de 9% que rien ne justifiait. Et toute la suite du mandat a été une succession de dépenses inutiles pour les Grenoblois : dépenses de prestige, de propagande et des investissements dans des secteurs qui ne sont pas de la responsabilité de la ville (aides sans contreparties à des groupes industriels privés, développement universitaire, recherche et développement technologique, aménagements urbains non nécessaires…). Alors que la crise sociale se développait rapidement, jetant de nombreux Grenoblois dans la précarité ou la pauvreté, la majorité n’a pas pris la mesure de cette nouvelle situation. Elle a certes augmenté la subvention au CCAS, mais ne s’est pas organisée pour aider les Grenoblois à résister à la crise. Le coût de certains services publics n’ont pas été contrôlés et ont dérivé fortement, notamment le chauffage urbain. La Ville n’a pas fait les économies qui auraient permis d’éviter la hausse brutale des impôts. La majorité municipale a accompagné les politiques d’austérités mises en place par les politiques gouvernementales successives.

Le budget 2014 tel que proposé ne changera rien à la situation. Les habitants ne verront pas leur vie quotidienne améliorée, ni le patrimoine municipal correctement entretenu.

Le rassemblement « GRENOBLE UNE VILLE POUR TOUS » s’engage, si les habitants lui font confiance, à revoir en profondeur la politique municipale autour des priorités suivantes :

Mettre en place un véritable bouclier social et écologique en révisant les tarifs des services publics pour améliorer le service rendu pour les usagers et chaque fois que ce sera possible définir des tarifs sociaux.
Construire des logements de qualité à des prix accessibles à tous pour lutter contre la spéculation immobilière, ce qui suppose de revoir en profondeur la politique d’urbanisme.
Mieux aider les associations culturelles, sportives, éducatrices et de solidarité qui remplissent de véritables missions d’intérêt général.
Aider au développement des filières d’avenir créatrices d’emploi non-délocalisables : isolation thermique des logements, développement des énergies renouvelables, circuits courts producteurs-consommateurs, recyclerie, économie sociale et solidaire, …
La priorité sera donnée au développement de la présence publique de qualité dans toute la ville, condition nécessaire pour améliorer les services de proximité aux habitants, la tranquillité publique, la convivialité des espaces publics…

Un nouveau budget municipal sera élaboré démocratiquement. Les budgets participatifs seront développés. Des formations et des débats seront organisés pour que les habitants puissent s’approprier la construction du budget municipal et du budget communautaire, des scénarios budgétaires différents seront proposés pour nourrir le débat. Des consultations seront organisées pour recueillir l’avis des habitants sur les grandes priorités et leur financement.

Si le rassemblement citoyen de la gauche et des écologistes était aux responsabilités, le budget 2014 serait profondément différent : des économies en fonctionnement et en investissement supprimant les dépenses inutiles permettraient un renforcement du personnel de proximité et un grand programme de petits travaux tous axés sur l’amélioration de la vie quotidienne (notamment patrimoine scolaire, sportif et culturel).

Pollution, il est temps d’agir : plan d’actions pour un Grenoble frais et tonique !

Projet 16 décembre 2013 4

Depuis le mardi 3 décembre 2013, les habitants de l’agglomération grenobloise subissent un pic de pollution aux particules fines (PM10). Le rassemblement « Grenoble, une ville pour tous » déplore le manque de volontarisme de l’Etat et des collectivités locales pour lutter contre la pollution atmosphérique et annonce sa volonté faire de ce combat l’une de ses priorités importantes. Voici le contenu de la conférence de presse tenue le vendredi 13 décembre.

Un diagnostic inquiétant

Néanmoins, même sous la norme européenne, la pollution aux particules

Plus de 200 décès anticipés ont lieu chaque année dans l’agglomération grenobloise en raison de la pollution atmosphérique ;

De très nombreuses maladies sont déclenchées ou aggravées par cette pollution : maladies cardio-pulmonaire, cardio-vasculaires, cancer du poumon, infarctus du myocarde, broncho-pneumopathie, asthme, etc.
D’après une récente étude menée à l’échelle européenne par l’institut de veille sanitaire, le simple respect des normes de l’OMS permettrait, en France pour les seules particules fines d’augmenter l’espérance de vie, à 30 ans, de 3,6 à 7,5 mois selon les villes fines reste néfaste comme vient de le montrer une grande étude de l’Union européenne publiée le 9 décembre 2013 par la revue médicale britannique The Lancet.

Ainsi, la santé des Grenoblois-e-s et des habitants de l’agglomération est gravement mise en danger. Et leur vie quotidienne est régulièrement pénalisée. On se rappelle par exemple de l’annulation du cross des écoles qui avait touché 3 000 élèves en décembre 2012. Il est temps d’agir !

Nous voulons agir

Nous proposons un plan d’actions détaillé pour un Grenoble frais et tonique ! Il n’y a pas de fatalité.

Décider la gratuité des transports collectifs en prévention des pics de pollution.

Le Plan de Protection de l’Atmosphère (PPA) actuellement en vigueur prévoit :

Pour les transports en commun de la SEMITAG :

- En cas d’épisode de pollution atmosphérique correspondant au niveau d’alerte pour les 1er et 2ème seuil, il est instauré la libre circulation la journée sur l’ensemble du réseau de transports en commun de la SEMITAG avec un seul titre de transport;

- Pour le niveau d’alerte de 3ème seuil, la gratuité des transports en commun est mise en place conformément aux obligations réglementaires du code de l’environnement ;

Ces dispositions sont trop rarement mises en œuvre puisque presqu’aucun habitant ne reçoit l’information ! Nous proposons de développer l’information des usagers : amélioration du site d’Air Rhône-Alpes et reprise des informations sur tous les sites des collectivités ; campagnes d’information plus visibles dans la presse locale ; information aux arrêts de tram et de bus ; paramétrage automatique de validateurs de titres ; information sur des panneaux urbains électroniques ; etc.

Nous proposons de mettre en place une gratuité complète des transports collectifs de l’agglomération dès les seuils « d’information », c’est-à-dire en prévention des pics de pollution. C’est aussi une démarche pédagogique pour inciter le public à pratiquer les transports publics toute l’année.

Apaiser la vitesse sur les grands axes de circulation

Dans la même logique, nous proposons de diminuer la vitesse sur les grands axes de circulation en prévention, dès les seuils « d’information », et pas seulement lors des seuils « d’alerte ».
Par ailleurs, nous proposons de passer la rocade Sud et l’A480 à 70 km/h toute l’année, vitesse optimale pour un trafic fluide comme l’ont montré toutes les études sur le chrono-aménagement.
Ainsi, le passage à 2×3 voies de l’A480 à 90 km/h nous parait être une solution totalement inadaptée. D’ailleurs ce projet d’élargissement, porté par le Conseil général de l’Isère et lié à la relance de l’A51, est contradictoire avec le projet proposé par l’Etat. Il conduirait à faire de l’autoroute A51 une « A7 bis », une « 2ème vallée du Rhône » en plein Grenoble, avec un afflux important de nouveaux camions dans la ville.

Développer les transports collectifs, les modes doux, le co-voiturage

La meilleure façon de diminuer la circulation automobile passe par le développement des alternatives. Il s’agit de récréer de la fluidité en incitant ceux qui peuvent se passer de leur voiture à utiliser d’autres modes. Nous aurons l’occasion de faire connaître prochainement nos propositions détaillées en matière de transport. Voici les premières orientations retenues :

Développement de l’offre ferroviaire et de transport collectif pour les accès à l’agglomération (dans les 3 branches de l’Y Grenoblois) ;
Développement de la tarification sociale des transports collectifs allant jusqu’à la gratuité pour certaines catégories d’usagers et en prévention des pics de pollution ;
Grand service public du vélo pour une multiplication de la part modale ;

Mettre en chantier un Plan de Protection de l’Atmosphère à la hauteur des enjeux

Lutter contre la pollution c’est mettre en œuvre un ensemble de mesures cohérentes et coordonnées. Les PPA sont là pour cela. Malheureusement le PPA de l’agglomération grenobloise, en cours de révision, est totalement insuffisant et reste sans moyen. Il devra donc être repris complètement dès le début du mandat.

Réduire les poussières générées par les chauffages individuels au bois

En hiver, les particules fines générées par les foyers ouverts (cheminées) sont très importantes, y compris en zone urbaine. Un plan sera engagé pour réduire ces poussières : sensibilisation des habitants à l’inefficacité énergétique des foyers ouverts, soutien aux technologies innovantes visant à limiter les émissions des foyers existants, développement de la filière bois locale et amélioration de la qualité du séchage, priorité à l’isolation des bâtiments qui permet la réduction des charges de chauffage pour les familles et qui créé de l’emploi local, soutien aux technologies innovantes visant à limiter les émissions des foyers existants, etc.