Marine Le Pen au congrès de la FNSEA à Montpellier, le 29/03, selon Midi Libre : « Le pire pour notre viticulture serait de laisser la place dans des rayons à des bibines telles que Listel ou Roche-Mazet ». Il semblerait d’après le courrier en réponse qu’a signé Martial Pelatan, directeur général de Listel, que l’expression utilisée était «bibine atroce».
Effectivement un site FN est plus précis que le Midi Libre. Voilà la citation : « L’erreur fatale serait évidemment d’abolir les droits de plantation et de se plier aux exigences des grands distributeurs pour exporter en masse des bibines atroces style Listel et autre Roche Mazet quand les industriels de la vigne inondent déjà les rayons des supermarchés français ! «
Tous ceux qui ont suivi depuis une génération les progrès admirables des vins des sables, qui n’imaginent plus une soirée d’été sans un gris bien frais, devraient soupçonner Mme Le Pen de n’être pas une responsable politique très sérieuse sachant de quoi elle parle. Mais pour la plupart ça fait longtemps que sa vulgarité est une potion amère.