Après avoir vu « Le meilleur pâtissier » sur M6 et après avoir salivé devant les préparation de gâteau caché des candidats j’ai eu envie de succomber à la nouvelle mode anglo-saxone et réaliser à mon tour un gâteau caché.

Mais qu’est-ce ? Un gâteau caché, c’est un peu la mise en abyme du gâteau… Ou plus simplement, c’est un gâteau à l’intérieur d’un gâteau. Pour mon gâteau caché j’ai décidé de faire un coeur de gâteau au chocolat, entouré d’une génoise à la cerise, le tout recouvert de la célèbre pâte à sucre.

Entre les temps de cuisson, les différentes réalisations et cie, j’ai tout de même mis 3h à le réaliser en entier. Mais je vous rassure, une fois qu’on est lancé on ne s’arrête plus et on ne voit pas le temps passer ! Alors, la recette ?

 

Oui, c’est bien moi qui l’ai fait.

 

On va commencer par l’intérieur du gâteau, pour cela il faut réaliser en premier le gâteau au chocolat :

  • 50g de chocolat au lait
  • 50g de chocolat noir
  • 2 cuillères à soupe de pâte à tartiner (dans mon cas la chocolade de chez Jean Hervé)
  • 200g de sucre (dans mon cas, 100g de canne classique + 100g de rapadura)
  • 3 oeufs
  • 250g de farine
  • 120g de beurre
  • 1/2 sachet de levure chimique
  1. Pré chauffer le four Th. 5 chaleur tournante si possible.
  2. Faire fondre au bain marie les 100g de chocolat et la pâte à tartiner. Y ajouter ensuite le beurre.
  3. Dans un saladier, travailler le sucre et les oeufs. Battre jusqu’à ce que ça blanchisse puis incorporer petit à petit la farine et en dernier la levure.
  4. Ajouter le mélange chocolat/beurre au mélange du saladier. Mélanger de manière souple pour avoir une pâte bien aérer. 
  5. Déposer la pâte dans un moule à cake et enfourner pour 40min th. 4/5. 

Pendant ce temps vous allez préparez la pâte du gâteau à la cerise :

 

  • 1 yaourt nature (dans mon cas un yaourt au lait de brebis)
  • 1 yaourt aromatisé à la cerise (dans mon cas un sojasun cerise)

→ Si vous voulez un goût plus prononcé de la cerise utilisez directement deux yaourts à la cerise.

  • 150g de farine
  • 50 de maïzena
  • 2 œufs
  • 90g de beurre
  • 100g de sucre (dans mon cas 50g de sucre de canne + 50g de rapadura)
  • 1 cuillère rase de levure chimique
  • Une petite fiole de colorant alimentaire rouge

 

  1. Faire fondre le beurre au bain-marie.
  2. Mélanger la farine et la maïzena, y ajouter les yaourts, les œufs et le sucre.
  3. Ajouter le beurre au mélange et enfin la levure.
  4. Bien mélanger et terminer en ajoutant le colorant rouge.

 

Une fois le gâteau au chocolat cuit, le démouler après s’être assuré qu’il soit parfaitement cuit. Découpe des tranches assez épaisses et y mouler des ronds à l’aide d’un emporte pièce.

Disposer au fur et à mesure les ronds dans le moule à la cake de nouveau chemisé par du papier sulfurisé. Recouvrir les petits ronds de la pâte à la cerise.

Enfourner pour une vingtaine de minutes, thermostat 6/7.

 

Pendant ce temps, vous allez préparer la pâte à sucre

  • 70g de Chamallow
  • 400g de sucre glace
  • 2 cuillère à soupe d’eau
  1. Commencer par faire fondre les chamallow au bain-marie, avec les deux cuillères à soupe d’eau.
  2. Les chamallow font faire une pâte un peu gluante, à ce moment là commencer à ajouter petit à petit le sucre glace, à l’aide d’une cuillère. J’ai laisser le bain marie pour commencer l’introduction du sucre glace, j’ai trouvé ça plus facile.
  3. Quand la pâte devient moins gluante, retirer du bain marie et y aller avec les mains : ajouter le sucre et mélanger en même temps. Quand la pâte devient maniable, former une boule comme si c’était de la pâte classique à gâteau. 
  4. La laisser reposer au frigo une dizaine de minute.
Ne pas se décourager, ça prend du temps et ça ne donne pas forcément ce que l’on imaginait mais avec un peu de patience ça donne un truc super.
Une fois le gâteau refroidis, travailler la pâte à sucre avec un rouleau à pâtisserie, en faire un « fine » pâte et la disposer sur le gâteau.
Et bon appétit ! ;)

Oui oui, vous avez bien lu, aujourd’hui je vous propose de nous pencher sur une lampe un peu particulière et surtout un peu magique : la lampe en cristal de sel.

La lampe en cristal de sel est une jolie décoration couleur corail pour votre intérieur, diffusant une lumière douce et tamisée. Mais c’est avant tout un excellent moyen de purifier l’air de votre chambre ou de votre salon : la pollution de l’air se caractérise par une surcharge d’ions positifs qui empêche la poussière (bien souvent invisible) de descendre rapidement au sol. La lampe en cristal de sel émet des ions négatifs grâce à leur composition saline et à l’aide de l’échauffement du cristal de sel par l’ampoule, les ions négatifs se collent à la poussière pour l’aider à descendre rapidement au sol et ainsi être aspirée ou balayée pour laisser un air sain et respirable.

Elle est utile notamment en hiver lorsque vous osez moins ouvrir les fenêtres à cause du froid et que par conséquent, les pièces sont moins aérez et l’air ne se renouvèle difficilement. La lampe en cristal de sel vous sera donc d’une grande aide pour purifier l’air et donner une atmosphère calme, déstressante et rassurante à votre intérieur.

Il existe différentes tailles pour différents poids et différentes puissances de luminosité, il est donc possible d’utiliser la lampe comme veilleuse pour la chambre de vos enfants par exemple. Greenweez propose un large panel de lampes en cristal de sel, fabriquées avec du sel directement importé d’Himalaya. Bien entendu il y a également un large panel de prix, allant de 8€ à 50-60€, il y en a donc pour tous les budgets.

Vous n’aviez pas d’idées pour le cadeau de noël de votre soeur qui vient d’avoir un bébé, maintenant vous l’avez ;-)

Cécilia.

Le week end c’est souvent l’occasion de prendre un peu de temps pour soi et notamment pour cuisiner ! Aujourd’hui je vous propose deux recettes très simples, dont une plutôt classique, à réaliser sans modération !

La soupe de légumes 

Classique, vu et re re vu mais toujours autant apprécié, d’autant plus si la soupe est faite maison… Pour cela rien de plus simple, il vous faut, pour 3 personnes :

  • Un bel oignon rosé (0,58€)
  • 2 belles pommes de terre (1,08€)
  • 3 carottes (0,49€)
  • 1 grosse tomate (0,39€)
  • 1 échalote (0,29€)
  • 1 poireau (0,78€)
  • Du sel, du poivre, des herbes de provence
  1. Faites revenir l’oignon et l’échalote dans une poêle avec une cuillère à soupe d’huile d’olive. Pendant ce temps trempez les légumes coupés en petits morceaux dans 1L d’eau, à feu moyen, pendant une vingtaine de minutes.
  2. Gardez à peu près la moitié de l’eau de cuisson des légumes. Dans une grande jatte, ajoutez l’oignon et l’échalote aux légumes et à l’eau. Salez, poivrez et ajoutez un peu d’herbes de provence.
  3. Mixez le tout jusqu’à obtention d’une texture qui vous convienne.

Et hop, en à peine une demi heure vous avez une bonne soupe maison, pour 2 ou 3 personnes, et le tout pour moins de 4€. Une soupe naturellement riche en vitamines et en goût, sans additifs, sans conservateur, sans produits chimiques… Pour la douceur, vous pouvez aussi rajouter une cuillère à soupe de crème fraîche ;-)

 

Le dauphinois de carotte

Pour un savoureux dauphinois de carotte pour 4 personnes il vous faut :

  • 600g de carottes
  • 1 petite gousse d’ail
  • 30g de gruyère râpé
  • 1 oeuf
  • 100ml de lait de riz (ou d’avoine, de soja etc…)
  • Du sel, du poivre et du thym
  1. Plongez les carottes coupées en rondelles dans 1L d’eau bouillante salée, recouvrez et laissez cuire une quinzaine de minutes à feu moyen. 
  2. Préparez dans un bol le mélange : oeuf + lait + ail + assaisonnement 
  3. Egouttez les carottes et disposez les au fond d’un plat, recouvrez du mélange oeuf/lait/ail/assaisonnement puis du gruyère rapé.
  4. Enfournez le plat une vingtaine de minutes thermostat 150°C
  5. Dégustez bien chaud, accompagné par exemple de boulghour
En moins d’une demi heure vous avez préparé un plat délicieux et équilibré.
La prochaine fois on parlera de sucré ;-D !
Cécilia.

On connait tous cette transition difficile entre l’été, les beaux jours, le soleil et les 30°C; et l’automne, la pluie, le froid et notre ami le rhume. Pour essayer de ne pas tomber (trop) malade cet hiver, j’ai quelques petites astuces à partager…

  1. Préparer le terrain et renforcer vos défenses immunitaires avec le Sirop d’Argousier Bio :

Riche en vitamine C naturelle il revitalise et fortifie votre organisme. Il contient également d’autres vitamines anti-oxydantes telles que la vitamine E et la provitamine A (béta-carotène), ainsi que du fer. Il est composé de :

  • Sucre de canne biologique (53%)
  • Jus de baies d’argousier biologique (42%)
  • Miel biologique (5%)

Le sirop d’argousier est utilisé généralement pendant 3 semaines, avant l’arriver des grands froids en prévision du déficit de nos défenses immunitaires. Il peut être associé ou précédé par le sirop de bouleau, connu pour ses fonctions physiologiques d’élimination de l’organisme. Il suffit d’une cuillère à soupe dans un grand verre d’eau, le matin au petit déjeuner pour une cure préventive à renouveler dès que nécessaire. Le sirop d’argousier apporte un soutient naturel à notre système immunitaire pour garder la forme et passer au travers des microbes. Ils se trouvent dans n’importe quel magasin Bio et parfois aussi dans certaines parapharmacie.

 

2.  Moins se chauffer, mieux préserver sa santé 

En hiver ou en automne, quand les températures diminuent, nous avons généralement le réflexe « chauffage » parce que nous avons perdu l’habitude pendant plusieurs mois d’avoir froid. Savez-vous que pour vivre correctement, sans avoir ni trop froid ni trop chaud, une température de 18°C est suffisante, dans le salon. Dans la chambre il ne suffit même que de 16°C (pour une chambre d’adulte). Inutile donc de se précipiter sur la chaudière dès qu’une pièce passe en dessous de la barre des 20°C. De plus, la surchauffe d’une pièce (21, 22 voir 23°C) alors qu’il fait froid dehors augmente les risques de tomber malade car les changements fréquents et brusques de température sont mauvais pour notre corps et affaiblissent notre système immunitaire. C’est le phénomène auquel nous sommes confronté dans les transports en commun par exemple : il fait 5°C dehors, on entre dans un bus où il en fait 25, on garde notre manteau donc on étouffe, on ressort et on a froid etc… Munissez-vous d’un bon pull et de petits chaussons confortables : vous n’aurez alors pas besoin de mettre les radiateurs en route tout de suite.

Sachez, pour la suite, qu’il est beaucoup moins couteux de laisser allumer les radiateurs à long terme plutôt que de les éteindre systématiquement pour les rallumer une heure plus tard. Pensez donc à les mettre sur un petit numéro et pas au max pour que la température reste constante. Pensez par contre à les éteindre quand vous aérez, laisser s’échapper la chaleur coûte cher et ne sert à rien. Ainsi, votre corps s’adaptera mieux aux changements de température.

Pensez évidemment à vérifiez votre isolation, une maison ou un appartement bien isolé permet de moins se chauffer et de garder la chaleur. Usez de quelques stratagèmes écologiques : laisser le four ouvert après utilisation pour laisser la chaleur se répandre, faites un feu (pour les chanceux qui ont une salle de bain), ne pensez pas que vous pouvez vivre en hiver comme en été : se ballader pieds nus en débardeur en plein mois de décembre n’est pas une solution… Ne sortez pas de la salle de bain en serviette pour courir à travers l’appart jusqu’à votre chambre, habillez-vous au chaud dans la salle de bain ;-)

 

3.  Continuer le sport… Ou s’y mettre !

La danse, le yoga, la gym une fois par semaine c’est bien, c’est en salle intérieur donc l’hiver ne nous fait pas peur. Pour ceux et celles qui par exemple, vont au travail en vélo, l’arrivée du froid repousse et le vélo à 7h30 du mat’ quand il fait 2°C ça ne fait pas envie…. Au contraire ! Sachez que l’activité physique boost le système immunitaire et bien couverts (gants, écharpe, bonnet, gros pull et cie :D ), vous ne craigniez rien ! D’autant que, juste pour info, une étude de deux chercheurs canadiens a démontrée que les personnes se rendant au travail en vélo (ou faisant quotidiennement du vélo), sont plus heureuses et plus apaisées (en plus d’être plus riches, si si !). En plus d’être bon pour votre santé et votre moral, le vélo est une alternative écologique à la voiture. Alors, convaincu ? Cet hiver, on roule ma poule !

Sachez que pour les habitants des grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Lille et j’en passe… L’abonnement aux vélos mis à disposition par la ville ne coûte rien (ou presque !) : 20€ l’année en moyenne, avec la première demi heure d’utilisation gratuite. A Bordeaux, la CUB met également à disposition des vélos gratuitement, à l’année, sur simple présentation d’un justificatif de domicile.

Plus d’excuses pour garder la forme donc ;-)

 

Voilà déjà trois choses qui vous aiderons à mieux passer l’hiver, tout en gardant la forme et la bonne humeur ! Pour éviter la pluie, je n’ai pas encore trouvé d’astuces…

Cécilia.

J’ai eu la chance d’assister mardi soir à une formation proposée par EELV Bordeaux et animée par Stéphane Sanchez et Marie Bové, à propos des ondes des téléphones mobiles. Pourquoi m’être penchée sur la question ? Tout simplement parce que je vis dans une sphère qui m’est attribuée sans trop avoir le choix : J’ai 20 ans, je suis jeune, je fais des études, j’ai un smartphone, le Wifi dans mon appart et aujourd’hui quand on fait attention les deux derniers points sont devenus une banalité. Seulement, être jeune est-il un critère valable pour ne pas se préoccuper de savoir ce qu’est le Wifi ? Se préoccuper de savoir également comment fonctionnent les antennes relais, les antennes 3G qui font marcher nos chers smartphone ? Qu’est ce que la DAS ? Pour ma part, se pencher sur la question c’est réfléchir et s’informer sur ma santé.

Savez-vous par exemple que pour recevoir ou émettre un appel, votre téléphone portable ne necessite que 0,02 voltes par mètre ? Jusqu’ici tout va bien, au dessus de ce seuil vous captez sans problème, en dessous c’est ce qu’on appelle la « perte de réseau » (vous savez, quand vous jurez parce qu’il n’y a pas les 3 petites barres en haut à droite). La norme voudrait qu’en France, nous soyons à 0,6 voltes par mètre, on serait large si c’était le cas ça serait « parfait », le problème c’est que nous sommes aujourd’hui à environ 61 voltes par mètre. Pourquoi ? Parce que les trois opérateurs de notre pays fonctionnent de manière « indépendante » étant donné que l’Etat n’a pas nationalisé les antennes présentes à l’origine. Je m’explique :  après avoir signé un contrat avec le réseau militaire pour récupérer le réseau 3G, l’état promet de couvrir 99% de la population. Seulement, il y a trois opérateurs donc il faudra 3 x plus d’antennes pour couvrir l’équivalent de 3 x 99% de la population Française c’est à dire 196 300 000 personnes au lieu de 65 400 000. Tout ceci pendant qu’en Autriche, plusieurs villes sont déjà à moins de 0,6 v/m et qu’en Belgique, ils sont à 2 v/m

1 antenne relais émet des ondes 3G jusqu’à 40km plus loin. Selon la logique, nous n’aurions donc besoin que d’une ou deux antennes dans une aire de 5000km2 (rapide calcul de l’air d’un cercle sachant que le rayon est 40km puisque les ondes se propagent dans n’importe quelle direction et non en ligne droite) ! Vous vous doutez évidemment que ce n’est pas le cas, rien que dans mon petit quartier Bordelais, sur à peine 2km2 , on trouve déjà 3 antennes relais dont une qui jouxte une école. 

Bien sûr il ne faut pas généraliser, nous ne nous trouvons pas dans les mêmes situations à la ville et à la campagne. En ville les antennes relais fleurissent comme de la mauvaise herbe, ce qui n’est pas encore le cas au milieu des vallées ou des champs. Le problème, avec cette floraison, c’est qu’elle plus maitrisable par les communes puisque la loi a suspendu le droit qu’avait le maire de chaque ville d’interdire l’installation d’une antenne relais sur un territoire privé (toit d’un immeuble, d’une maison, d’une école etc….). Il en est du ressort de l’état et des opérateurs, nous sommes donc confronté a des installations sans limites d’antennes relais 3G qui constituent une véritable pollution environnementale et visuelle en plus d’être dangereuses pour notre santé.

Un danger pour notre cerveau et notre organisme :

Il faut savoir qu’en mai 2011, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a classé les ondes de téléphones portables comme peut-être cancérigènes. A côté de cela, plus de 600 études indépendantes ont démontrés la dangerosité des ondes, notamment sur des cerveaux et des organismes en plein développement comme ceux des jeunes de moins de 15. D’ailleurs, la loi voulait que les téléphones portables soient interdits pour les moins de 15 ans, finalement ils le son

t pour les moins de 12 ans, mais nous savons tous que la loi est loin d’être respectée.

En Allemagne, en Belgique et en Autriche, l’installation des antennes relais à proximité d’une crèche, d’une école ou d’un collège est totalement interdite, de même que l’installation d’un réseau WIFI. Pendant ce temps là en France, le WIFI se développe un peu partout, on offre des Ipad aux élèves et on pousse l

es jeunes à la consommations. 70% des 11-14 ans ont déjà un téléphone mobile et 92% chez les 11-24 ans. Mais que faisaient-ils nos parents, dans les années 60 ?

Plusieurs projets de loi ont été proposés, en priorité celui d’interdire le Wifi et les Téléphones Portables à l’école.

Il existe une maladie, appelée Hyperelectrosensibilité (EHS), qui concerne des troubles dues à différentes sources d’exposition au micro-ondes ou champs électromagnétiques (lignes THT, Bluetooth, Wifi, ondes Téléphones mobiles etc…). En France, la maladie n’est pas encore reconnue en tant que telle malgré les nombreuses études qui ont prouvé son existence. Il serait possible qu’en France, 10% de la population soit atteint d’Hyper éléctrosensibilité, sans forcément le savoir. Les symptômes les plus fréquents sont : les maux de tête, les insomnies, les vertiges…

Qu’attends l’Etat et la société pour stopper cette invasion massive de poison ambulant ? Avons-nous vraiment besoin de ces 61 v/m alors qu’il nous suffirait seulement de 0,6 v/m ? Pourquoi la France prend elle se retard de prise conscience face au danger des ondes éléctro magnétiques ?

Posons-nous les bonnes questions, et agissons, notamment contre la pose des antennes relais à proximité des écoles et des crèches.

Après un petit tour chez Biocoop©, voilà ce qu’il y avait dans mon panier aujourd’hui :

  • Huile d’olive vierge extra Biologique Elisa
  • Jus Biologique Pomme Carotte Demeter 
  • Gomasio Biologique
  • Graines de lin doré Biologique
  • Lentilles corail Biologiques
  • Pois cassés Biologiques
  • Carottes Biologiques
Alors avec ça, qu’est ce qu’on fait ?
Le Gomasio ou Gomashio est un condiment à base de sésame grillé et de sel de mer, c’est une invention Japonaise qui existe depuis des centaines d’années. « Goma » signifie sésame et « Shio« , sel, en Japonais.
Aujourd’hui il est courant de l’utiliser en tant que remplaçant du sel de table, il convient parfaitement pour assaisonner tout vos plats quels qu’ils soient. Vous le trouverez facilement en boutique Bio mais il est de plus en plus fréquent de le trouver également en grande surface. Son gout légé et savoureux ne vous laissera pas indifférent.
Les graines de lin doré sont connues pour leur richesse en Oméga 3 leur rôle bénéfique pour le transit intestinal. Elles sont aussi très efficace en tant que laxatif naturel lors de problème de constipation. Les graines de lin doré s’utilise généralement dans l’assaisonnement de salades ou de plats froids, elles sont croquantes et savoureuses, elles donneront un plus à tout vos plats. Vous pouvez également les faire tremper ou les faire chauffer avant utilisation… à votre guise :-) .
Laissez-moi vous donner une de mes petits recettes, simple et délicieuse : Purée de pois cassés, accompagné de ses muffins aux lentilles corail et ses catottes râpées
Pour 4 personnes.
Purée de pois cassés
  • 450g de pois cassés
  • 1 oignon
  • 1 carotte
  • Persil, thym, laurier
  • 1 cc de Gomasio
  • Graines de lin doré
  1. Laisser reposer les pois cassés un bonne heure dans un bol d’eau froide. Pendant ce temps, éplucher la carotte et la couper en rondelles, puis peler l’oignon et le couper en dés. 
  2. Porter une casserole d’eau à ébullition, ajouter la cc de gomasio, les pois cassés, la carotte, l’oignon et les herbes. Laisser cuire 1h à feu moyen.
  3. Egoutter les pois et conserver l’eau de cuisson. Mixer les pois et y ajouter un peu d’eau de cuisson jusqu’à obtenir la texture d’une purée assez épaisse.
Les muffins aux lentilles corail
  • 150g de lentilles corail
  • 30cl d’eau
  • 100g de farine
  • 30g d’huile d’olive
  • 6g de levure
  • 1 citron
  • 1/2 cc de gingembre
  • 1/2 cc de curcuma
  1. Pré-chauffer le four à 200°C. Cuire les lentilles à feu très doux dans é à 3 fois leur volume d’eau, remuer fréquemment.
  2.  Une fois cuites, les égoutter et dans un saladier, les mélanger avec l’huile le citron et les épices. Ajouter ensuite la farine et la levure. 
  3. Remplir les moules à muffins et enfourner une vingtaine de minutes. 
Et bon appétit !
Cécilia.

Bon eh bien, tout est dans le titre. AMAP, ça veut dire quoi ? D’où ça sort ? A quoi ça sert ? Toutes les réponses ici-même chers amis internautes.

AMAP signifie Associations pour le Maintient de l’Agriculture Paysanne. Les AMAP sont destinées à favoriser l’agriculture paysanne et biologique qui a du mal à rester en vie face à l’agro-industrie et l’agriculture de masse. Le principe est simple : mettre en relation les paysans directement avec le consommateur, celui-ci s’engage alors à acheter la production du paysan à un prix juste et équitable en payant sa part à l’avance. Chaque semaine, des paniers de fruits et légumes, de viande, de pains etc… sont proposés. De cette manière, le paysan peut aisément continuer sa petite production en étant certain de faire son chiffre d’affaire et le consommateur sait d’où proviennent ses produits, il est certain de la bonne qualité de ceux-ci et contribue au bon fonctionnement de la chaîne bio et équitable.

En France les AMAP ne sont pas considérées à leur juste valeur, en général les gens pensent qu’en ayant directement accès aux produits (souvent Bio) du paysan, ils vont payer plus cher et que par conséquent ce sera moins avantageux que d’aller faire ses courses en grande surface. Voici de quoi vous faire changer d’avis. Pourquoi participer à une AMAP :

  • santé/bien-être : consommer des produits frais, de saison, bio , diversifiés, retrouver un certain lien avec la nature et les produits d’antan
  • action citoyenne : soutenir directement un agriculteur local, développer les liens ville-campagne
  • raison économique : produits de qualité à un prix abordable
  • découverte de nouveaux produits
Plus d’infos sur le site reseau-amap.org.
Si vous ne souhaitez pas être dépendants des paniers à aller chercher (obligatoirement) toutes les semaines dans votre AMAP, un nouveau concept s’est récemment créé  sur le même principe : la ruche qui dit oui !
Cherchez votre ruche, inscrivez-vous sans aucune obligation d’y participer à intervals réguliers, et profitez de la proximité des producteurs et de la qualité de leur produit. Une fois par semaine, la ruche propose les produits des producteurs qu’elles va vendre, vous pouvez choisir à votre convenance ceux que vous souhaitez acheter et vous viendrez les récupérer à l’adresse, au jour et à l’heure convenu. Vous n’êtes en rien obligé de participer à toutes les ventes, pour commencer en douceur, c’est donc un compromis plutôt avantageux.
Cécilia.

Aujourd’hui, le célèbre dicton « Parlons peu parlons bien » se voit refaire une beauté et prend une tournure quelque peu particulière. Nous allons, comme vous l’avez deviné, parler de nourriture et de tout ce qui s’en suit.

A l’heure actuelle dans le monde, sur 7 milliard, 1 milliard de personnes souffrent de la faim et 1 milliard – dont nous faisons gracieusement parti – de suralimentation. Comment se fait-il que , au moment même où nous avons la chance de vivre dans une société qui propose une quantité astronomique de produits alimentaires aussi variés les uns que les autres, nous ne prenions pas un moment pour nous demander si ce que nous mangeons est réellement bon pour nous, si nous avons réellement besoin de manger tout ce qui nous est proposé. La réponse, vous vous en doutez, est négative. En France, le gaspillage atteint 40% de la production, ce gaspillage est notamment généré par la restauration scolaire qui « génère des déchets considérable« * et qui, pour assurer une bonne hygiène alimentaire, se doit de jeter tout ce qui reste après chaque repas. Le gaspillage c’est aussi l’achat trop conséquent de denrées alimentaires qui se périment plus vite que leur ombre et qui finissent donc au fin fond du sac poubelle; triste vie pour une nourriture qui aurait pu être économiser et utiliser correctement.

Savez-vous que « il faut 10 à 15 fois plus de terre pour produire un kilo de protéines animales que pour un kilo de protéines végétales« * ? Sans compter la consommation faramineuse d’eau qui est necessaire à la production des protéines animales.  En france, nous mangeons en moyenne 117g de viande par jour, soit l’équivalent d’une petite escalope de dinde ou d’un bon steak haché de boeuf. Il est donc necessaire de rappeler que notre corps ne necessite en fait pas plus de 117g de viande…. par semaine ! Aller d’accord, disons qu’on peut se faire plaisir et manger une bonne petite escalope deux fois par semaines. Mais tout ceci n’est que de la gourmandise car en réalité notre corps a besoin de bien plus de protéines végétales ou de céréales plutôt que de viande. L’alternative à la viande c’est aussi le poisson, mais ne culpabilisez pas de ne pas manger de protéines animales : vous n’en avez pas réellemen

t besoin. Sous ses airs de bonne vivante, la France, dont la gastronomie a été elevé au patrimoine de l’humanité, cache de nombreux problèmes de santé lié avant tout à « une alimentation de mauvaise qualité qui ne cesse de croître« * – diabète, cancers, obésité, problèmes cardiovasculaire…-. Les verts soulignent très justement l’origine de ces problèmes : « Ces maux ont pour cause l’industrialisation de la production, de la transformation et de la distribution : excès de sel, de sucre, de gras, de viande, d’alcool, de colorants et de conservateurs, de résidus d’engrais et de pesticides, OGM, déficit de sels minéraux ou de fibres« *.

 

Mais alors quelles sont les alternatives à la « malbouffe » et à la suralimentation ? Privilégier les produits sains, naturels et par conséquent, Bio. Alors le Bio, qu’est ce que c’est ? C’est une agriculture qui se base sur l’interdiction des chimies de synthèses, c’est une méthode de production qui favorise l’écosystème et la biodiversité pour que, au final, le consommateur ai accès à des produits alimentaires sains et les plus naturels possible. Au départ, le Bio concernait plutôt le domaine alimentaire, en 2009 on comptait environ 37,5 millions d’hectares dans le monde consacrés à l’agriculture Biologique; aujourd’hui le Bio s’étend aussi aux produits ménagers, produits de beauté, habits etc… Mais ça, nous en parlons une autre fois. Dans notre alimentation il y a des substances et des composants qu’il faut savoir mettre de côté car ils sont nocifs, par exemple le paraben ou l’huile de palm. L’alimentation Bio constitue une réelle alternative à ces ingrédients dangereux mais cela ne veut pas dire que dans le Bio, tout est bon à prendre. Alors maintenant, à vous de jouer ;-)

 

Cécilia.

Un plus d’infos sur le site de l’agence Bio ou du ministère de l’agriculture. A venir, un article pour vous expliquer le fonctionnement des AMAP, leurs avantages et leur utilité.

Pour lire en détail le programme d’EELV à propos de l’energie nucléaire, rendez vous ici. 

J’apprends avec désarrois, qu’un inciden a eu lieu cet après-midi à la centrale de Fessenheim, en Alsace. Centrale mise dans la ligne de mire de notre président, François Hollande, lors de sa campagne électorale, puisqu’il a promis la fermeture de celle-ci d’ici 2017.

La centrale de Fessenheim

La centrale nucléaire de Fessenheim fut crée il y a maintenant 40 ans, c’est la doyenne des centrales françaises et elle se trouve plus ou moins dans le collimateur des écologistes (et de bien d’autres) à cause de son âge et de sa dangerosité. Le risque 0 n’existe pas et nous le savons, nous le savons d’autant plus quand nous observons les dégâts déjà causés par le nucléaire depuis son invention – inutile de rappeler la catastrophe nucléaire de Tchernobyl ou encore celle de Fukushima. Des déchets radioactifs extrêmement dangereux sont propagés dans l’atmosphère et les nuages les font voyager, un peu partout dans le monde, lassant se répandre les particules radioactives là où bon leur semble.

Il faut savoir que, au delà du fait que pour nous, bons Français, l’utilisation nucléaire constitue un réel danger sanitaire à moyen terme si d’autres incidents, aussi minimes soient-il, venaient à avoir lieu; la situation est bien différente dans d’autres pays. « L’utilisation et la diffusion de techniques permettant la prolifération d’armes nucléaires et la dépendance aux importations d’uranium [...]  proviennent notamment de pays pour lesquels l’exploitation se fait au détriment des pop

ulations et de l’environnement« *. Les verts soulignent ici l’importance de la prise de conscience quant aux dangers engendrés par l’expansion du nucléaire. Nous ne sommes pas maîtres de cette énergie et constamment, la menace d’un nouvel incident plane sur nous comme pour nous inciter à réfléchir : avons-nous vraiment le choix ?

La réponse, semble-t-il, pourrait être oui. Car outre les problèmes sanitaires, nous sommes face à un soucis de taille : « la poursuite onéreuse du programme nucléaire français bloque les politiques d’économies d’électricité et freine le développement des renouvelables [...]« *. Alors, ne pourrions nous pas consacrer plus d’énergie, justement, à trouver une alternative saine et fiable au nucléaire ? 58 réacteurs nucléaires sont présents en France, et en tout, 436 dans le monde sans compter les 198 centrales. Il ne s’agit plus maintenant que de la sûreté sanitaire et de la santé de chacun, il en va de la protection de l’environnement. Sommes nous prêts à faire changer les choses ? 

Cécilia.

* Pour lire en détail le programme d’EELV à propos de l’energie nucléaire, rendez vous ici

Cette année c’était à Poitiers, les 22, 23 et 24 août dernier, que les écologistes sont venus poser pied à terre le temps de trois journées bien remplies et surtout très animées. C’est Ségolène royale, présidente de la région Poitou-Charente, qui a ouvert les festivités de cette deuxième édition des Journées d’été, suivie de beaucoup d’autres.

 

 

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