octobre 2012

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Le week end c’est souvent l’occasion de prendre un peu de temps pour soi et notamment pour cuisiner ! Aujourd’hui je vous propose deux recettes très simples, dont une plutôt classique, à réaliser sans modération !

La soupe de légumes 

Classique, vu et re re vu mais toujours autant apprécié, d’autant plus si la soupe est faite maison… Pour cela rien de plus simple, il vous faut, pour 3 personnes :

  • Un bel oignon rosé (0,58€)
  • 2 belles pommes de terre (1,08€)
  • 3 carottes (0,49€)
  • 1 grosse tomate (0,39€)
  • 1 échalote (0,29€)
  • 1 poireau (0,78€)
  • Du sel, du poivre, des herbes de provence
  1. Faites revenir l’oignon et l’échalote dans une poêle avec une cuillère à soupe d’huile d’olive. Pendant ce temps trempez les légumes coupés en petits morceaux dans 1L d’eau, à feu moyen, pendant une vingtaine de minutes.
  2. Gardez à peu près la moitié de l’eau de cuisson des légumes. Dans une grande jatte, ajoutez l’oignon et l’échalote aux légumes et à l’eau. Salez, poivrez et ajoutez un peu d’herbes de provence.
  3. Mixez le tout jusqu’à obtention d’une texture qui vous convienne.

Et hop, en à peine une demi heure vous avez une bonne soupe maison, pour 2 ou 3 personnes, et le tout pour moins de 4€. Une soupe naturellement riche en vitamines et en goût, sans additifs, sans conservateur, sans produits chimiques… Pour la douceur, vous pouvez aussi rajouter une cuillère à soupe de crème fraîche ;-)

 

Le dauphinois de carotte

Pour un savoureux dauphinois de carotte pour 4 personnes il vous faut :

  • 600g de carottes
  • 1 petite gousse d’ail
  • 30g de gruyère râpé
  • 1 oeuf
  • 100ml de lait de riz (ou d’avoine, de soja etc…)
  • Du sel, du poivre et du thym
  1. Plongez les carottes coupées en rondelles dans 1L d’eau bouillante salée, recouvrez et laissez cuire une quinzaine de minutes à feu moyen. 
  2. Préparez dans un bol le mélange : oeuf + lait + ail + assaisonnement 
  3. Egouttez les carottes et disposez les au fond d’un plat, recouvrez du mélange oeuf/lait/ail/assaisonnement puis du gruyère rapé.
  4. Enfournez le plat une vingtaine de minutes thermostat 150°C
  5. Dégustez bien chaud, accompagné par exemple de boulghour
En moins d’une demi heure vous avez préparé un plat délicieux et équilibré.
La prochaine fois on parlera de sucré ;-D !
Cécilia.

On connait tous cette transition difficile entre l’été, les beaux jours, le soleil et les 30°C; et l’automne, la pluie, le froid et notre ami le rhume. Pour essayer de ne pas tomber (trop) malade cet hiver, j’ai quelques petites astuces à partager…

  1. Préparer le terrain et renforcer vos défenses immunitaires avec le Sirop d’Argousier Bio :

Riche en vitamine C naturelle il revitalise et fortifie votre organisme. Il contient également d’autres vitamines anti-oxydantes telles que la vitamine E et la provitamine A (béta-carotène), ainsi que du fer. Il est composé de :

  • Sucre de canne biologique (53%)
  • Jus de baies d’argousier biologique (42%)
  • Miel biologique (5%)

Le sirop d’argousier est utilisé généralement pendant 3 semaines, avant l’arriver des grands froids en prévision du déficit de nos défenses immunitaires. Il peut être associé ou précédé par le sirop de bouleau, connu pour ses fonctions physiologiques d’élimination de l’organisme. Il suffit d’une cuillère à soupe dans un grand verre d’eau, le matin au petit déjeuner pour une cure préventive à renouveler dès que nécessaire. Le sirop d’argousier apporte un soutient naturel à notre système immunitaire pour garder la forme et passer au travers des microbes. Ils se trouvent dans n’importe quel magasin Bio et parfois aussi dans certaines parapharmacie.

 

2.  Moins se chauffer, mieux préserver sa santé 

En hiver ou en automne, quand les températures diminuent, nous avons généralement le réflexe « chauffage » parce que nous avons perdu l’habitude pendant plusieurs mois d’avoir froid. Savez-vous que pour vivre correctement, sans avoir ni trop froid ni trop chaud, une température de 18°C est suffisante, dans le salon. Dans la chambre il ne suffit même que de 16°C (pour une chambre d’adulte). Inutile donc de se précipiter sur la chaudière dès qu’une pièce passe en dessous de la barre des 20°C. De plus, la surchauffe d’une pièce (21, 22 voir 23°C) alors qu’il fait froid dehors augmente les risques de tomber malade car les changements fréquents et brusques de température sont mauvais pour notre corps et affaiblissent notre système immunitaire. C’est le phénomène auquel nous sommes confronté dans les transports en commun par exemple : il fait 5°C dehors, on entre dans un bus où il en fait 25, on garde notre manteau donc on étouffe, on ressort et on a froid etc… Munissez-vous d’un bon pull et de petits chaussons confortables : vous n’aurez alors pas besoin de mettre les radiateurs en route tout de suite.

Sachez, pour la suite, qu’il est beaucoup moins couteux de laisser allumer les radiateurs à long terme plutôt que de les éteindre systématiquement pour les rallumer une heure plus tard. Pensez donc à les mettre sur un petit numéro et pas au max pour que la température reste constante. Pensez par contre à les éteindre quand vous aérez, laisser s’échapper la chaleur coûte cher et ne sert à rien. Ainsi, votre corps s’adaptera mieux aux changements de température.

Pensez évidemment à vérifiez votre isolation, une maison ou un appartement bien isolé permet de moins se chauffer et de garder la chaleur. Usez de quelques stratagèmes écologiques : laisser le four ouvert après utilisation pour laisser la chaleur se répandre, faites un feu (pour les chanceux qui ont une salle de bain), ne pensez pas que vous pouvez vivre en hiver comme en été : se ballader pieds nus en débardeur en plein mois de décembre n’est pas une solution… Ne sortez pas de la salle de bain en serviette pour courir à travers l’appart jusqu’à votre chambre, habillez-vous au chaud dans la salle de bain ;-)

 

3.  Continuer le sport… Ou s’y mettre !

La danse, le yoga, la gym une fois par semaine c’est bien, c’est en salle intérieur donc l’hiver ne nous fait pas peur. Pour ceux et celles qui par exemple, vont au travail en vélo, l’arrivée du froid repousse et le vélo à 7h30 du mat’ quand il fait 2°C ça ne fait pas envie…. Au contraire ! Sachez que l’activité physique boost le système immunitaire et bien couverts (gants, écharpe, bonnet, gros pull et cie :D ), vous ne craigniez rien ! D’autant que, juste pour info, une étude de deux chercheurs canadiens a démontrée que les personnes se rendant au travail en vélo (ou faisant quotidiennement du vélo), sont plus heureuses et plus apaisées (en plus d’être plus riches, si si !). En plus d’être bon pour votre santé et votre moral, le vélo est une alternative écologique à la voiture. Alors, convaincu ? Cet hiver, on roule ma poule !

Sachez que pour les habitants des grandes villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Lille et j’en passe… L’abonnement aux vélos mis à disposition par la ville ne coûte rien (ou presque !) : 20€ l’année en moyenne, avec la première demi heure d’utilisation gratuite. A Bordeaux, la CUB met également à disposition des vélos gratuitement, à l’année, sur simple présentation d’un justificatif de domicile.

Plus d’excuses pour garder la forme donc ;-)

 

Voilà déjà trois choses qui vous aiderons à mieux passer l’hiver, tout en gardant la forme et la bonne humeur ! Pour éviter la pluie, je n’ai pas encore trouvé d’astuces…

Cécilia.

J’ai eu la chance d’assister mardi soir à une formation proposée par EELV Bordeaux et animée par Stéphane Sanchez et Marie Bové, à propos des ondes des téléphones mobiles. Pourquoi m’être penchée sur la question ? Tout simplement parce que je vis dans une sphère qui m’est attribuée sans trop avoir le choix : J’ai 20 ans, je suis jeune, je fais des études, j’ai un smartphone, le Wifi dans mon appart et aujourd’hui quand on fait attention les deux derniers points sont devenus une banalité. Seulement, être jeune est-il un critère valable pour ne pas se préoccuper de savoir ce qu’est le Wifi ? Se préoccuper de savoir également comment fonctionnent les antennes relais, les antennes 3G qui font marcher nos chers smartphone ? Qu’est ce que la DAS ? Pour ma part, se pencher sur la question c’est réfléchir et s’informer sur ma santé.

Savez-vous par exemple que pour recevoir ou émettre un appel, votre téléphone portable ne necessite que 0,02 voltes par mètre ? Jusqu’ici tout va bien, au dessus de ce seuil vous captez sans problème, en dessous c’est ce qu’on appelle la « perte de réseau » (vous savez, quand vous jurez parce qu’il n’y a pas les 3 petites barres en haut à droite). La norme voudrait qu’en France, nous soyons à 0,6 voltes par mètre, on serait large si c’était le cas ça serait « parfait », le problème c’est que nous sommes aujourd’hui à environ 61 voltes par mètre. Pourquoi ? Parce que les trois opérateurs de notre pays fonctionnent de manière « indépendante » étant donné que l’Etat n’a pas nationalisé les antennes présentes à l’origine. Je m’explique :  après avoir signé un contrat avec le réseau militaire pour récupérer le réseau 3G, l’état promet de couvrir 99% de la population. Seulement, il y a trois opérateurs donc il faudra 3 x plus d’antennes pour couvrir l’équivalent de 3 x 99% de la population Française c’est à dire 196 300 000 personnes au lieu de 65 400 000. Tout ceci pendant qu’en Autriche, plusieurs villes sont déjà à moins de 0,6 v/m et qu’en Belgique, ils sont à 2 v/m

1 antenne relais émet des ondes 3G jusqu’à 40km plus loin. Selon la logique, nous n’aurions donc besoin que d’une ou deux antennes dans une aire de 5000km2 (rapide calcul de l’air d’un cercle sachant que le rayon est 40km puisque les ondes se propagent dans n’importe quelle direction et non en ligne droite) ! Vous vous doutez évidemment que ce n’est pas le cas, rien que dans mon petit quartier Bordelais, sur à peine 2km2 , on trouve déjà 3 antennes relais dont une qui jouxte une école. 

Bien sûr il ne faut pas généraliser, nous ne nous trouvons pas dans les mêmes situations à la ville et à la campagne. En ville les antennes relais fleurissent comme de la mauvaise herbe, ce qui n’est pas encore le cas au milieu des vallées ou des champs. Le problème, avec cette floraison, c’est qu’elle plus maitrisable par les communes puisque la loi a suspendu le droit qu’avait le maire de chaque ville d’interdire l’installation d’une antenne relais sur un territoire privé (toit d’un immeuble, d’une maison, d’une école etc….). Il en est du ressort de l’état et des opérateurs, nous sommes donc confronté a des installations sans limites d’antennes relais 3G qui constituent une véritable pollution environnementale et visuelle en plus d’être dangereuses pour notre santé.

Un danger pour notre cerveau et notre organisme :

Il faut savoir qu’en mai 2011, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a classé les ondes de téléphones portables comme peut-être cancérigènes. A côté de cela, plus de 600 études indépendantes ont démontrés la dangerosité des ondes, notamment sur des cerveaux et des organismes en plein développement comme ceux des jeunes de moins de 15. D’ailleurs, la loi voulait que les téléphones portables soient interdits pour les moins de 15 ans, finalement ils le son

t pour les moins de 12 ans, mais nous savons tous que la loi est loin d’être respectée.

En Allemagne, en Belgique et en Autriche, l’installation des antennes relais à proximité d’une crèche, d’une école ou d’un collège est totalement interdite, de même que l’installation d’un réseau WIFI. Pendant ce temps là en France, le WIFI se développe un peu partout, on offre des Ipad aux élèves et on pousse l

es jeunes à la consommations. 70% des 11-14 ans ont déjà un téléphone mobile et 92% chez les 11-24 ans. Mais que faisaient-ils nos parents, dans les années 60 ?

Plusieurs projets de loi ont été proposés, en priorité celui d’interdire le Wifi et les Téléphones Portables à l’école.

Il existe une maladie, appelée Hyperelectrosensibilité (EHS), qui concerne des troubles dues à différentes sources d’exposition au micro-ondes ou champs électromagnétiques (lignes THT, Bluetooth, Wifi, ondes Téléphones mobiles etc…). En France, la maladie n’est pas encore reconnue en tant que telle malgré les nombreuses études qui ont prouvé son existence. Il serait possible qu’en France, 10% de la population soit atteint d’Hyper éléctrosensibilité, sans forcément le savoir. Les symptômes les plus fréquents sont : les maux de tête, les insomnies, les vertiges…

Qu’attends l’Etat et la société pour stopper cette invasion massive de poison ambulant ? Avons-nous vraiment besoin de ces 61 v/m alors qu’il nous suffirait seulement de 0,6 v/m ? Pourquoi la France prend elle se retard de prise conscience face au danger des ondes éléctro magnétiques ?

Posons-nous les bonnes questions, et agissons, notamment contre la pose des antennes relais à proximité des écoles et des crèches.