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  1. Cécile Duflot demande la fermeture de la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine (Aube)

    PARIS, 7 avril 2011 La présidente du groupe EELV au conseil régional d’IdF, Cécile Duflot, a demandé jeudi la fermeture de la centrale de Nogent-sur-Seine (Aube) située à 105 kilomètres au sud est de Paris et remis un badge \ »Le Nucléaire non merci !\ » au président PS de la région, Jean-Paul Huchon.Lors de la séance des questions d’actualité, la secrétaire nationale de Europe Ecologie-Les Verts (EELV) a affirmé que \ »les produits de fission extrêmement toxiques qui pourraient s’échapper dans l’atmosphère en cas d’accident atteindraient à l’évidence des zones très éloignées du site, et menaceraient directement 11,6 millions de Franciliens\ ».Mme Duflot a rappelé que l’Autorité de sûreté nucléaire a souligné dans son rapport de 2009 les insuffisances en matière de confinement et de risque incendie de la centrale de Nogent et que le plan particulier d’intervention de la centrale ne concernait que les communes dans un périmètre de 10 kilomètres de l’installation.\ »Etant donnés les risques que cette centrale représente pour environ 20% de la population de notre pays\ », elle a affirmé qu’il était de la responsabilité des élus écologistes franciliens d’\ »exiger sa fermeture rapide\ ».Elle a ajouté que la fermeture de la centrale de Nogent devait s’inscrire dans un plan plus large de sortie du nucléaire, de reconversion des emplois liés à cette industrie et plus largement de \ »transition énergétique\ ».Les élus écologistes ont salué la prise de position de M. Huchon, qui, après le drame de Fukushima au Japon, prône, selon eux, \ »la conversion énergétique de l’Ile-de-France\ ». …

  2. Le Parlement européen ne tire pas encore toutes les leçons de Fukushima

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE – Strasbourg, le 7 avril 2011Le Parlement européen n’a pas réussi à se mettre d’accord aujourd’hui sur les leçons à tirer de l’accident nucléaire au Japon pour la sûreté nucléaire en Europe. Le groupe des Verts au Parlement européen s’est opposé au texte final, tout comme une majorité de parlementaires, pour ne pas avoir clairement appelé à une sortie progressive de l’énergie nucléaire, pourtant seule solution à long terme pour une meilleure sûreté des centrales.Après le vote, Yannick Jadot, eurodéputé français Europe Ecologie- les Verts et membre de la commission chargée des questions énergétiques, a déclaré:\ »Alors que le fantasme du nucléaire sûr s’évanouit, nous sommes plus que jamais favorables à l’amélioration de la sûreté des centrales en Europe. Mais l’hypocrisie en matière nucléaire est toujours de mise. Cette résolution n’abordait que du bout des lèvres les questions importantes de sûreté nucléaire, et manquait l’opportunité de s’inscrire dans une volonté de sortie progressive du nucléaire. C’est pourquoi nous avons décidé de nous opposer à ce texte. Comme de plus en plus de parlementaires européens, nous pensons que la sortie progressive du nucléaire s’impose en France et en Europe. Parce que le risque est trop important, mais aussi parce que sortir du nucléaire est gagnant pour l’emploi, l’industrie et notre indépendance énergétique. Il existe une multitude de scénarios montrant comment l’Europe peut avoir une économie basée à 100% sur les énergies renouvelables pour 2050, si les bonnes décisions politiques sont prises.\ »Michèle Rivasi, députée européenne Europe Ecologie les Verts, ajoute:\ »Le Groupe des Verts a été un acteur clé de cette résolution : nous avons fait de nombreuses propositions constructives pour renforcer la sévérité et la transparence des tests de résistance (stress tests) des centrales nucléaires décidés par la Commission européenne. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avions initialement co-signé cette résolution: tirer les leçons de cet accident et renforcer la maîtrise des risques multi-facteurs. Nous avons aussi voulu renforcer la transparence de la communication des retombées radioactives en cas d’accident nucléaire qui fait cruellement défaut. Pour autant, nous restons fermement convaincus que des stress tests obligatoires – sous la supervision d’acteurs indépendants – ne sont pas suffisants par rapport à l’enjeu des risques multiples et non-maîtrisables que nous fait courir le nucléaire. Concernant le vote en faveur d’un moratoire sur la construction de nouvelles centrales, je suis convaincue que c’était un premier déclic nécessaire à la sortie du nucléaire.\ »NB: les eurodéputés Verts / ALE ont participé à une action en session plénière du PE au cours du débat d’hier après midi sur l’énergie nucléaire. …

  3. Et si l’on revendiquait un droit au revenu pour tous ?

    Jeudi 14 avril 2011 – 20hComptoir Général80 Quai de Jemmapes, 75010M – République, Goncourt, J. BonsergentAvec :Antonella Corsani, enseignant-chercheur en économie à l’Université Paris1 Panthéon-Sorbonne. Travaille sur le capitalisme cognitif, les mutations du travail et les métamorphoses du salariat, le revenu garanti. Membre fondateur de la revue Multitudes, elle a coordonné la Majeure du numéro 27 « Revenu garanti : questions ouvertes » (http://multitudes.samizdat.net). Dernier ouvrage : Intermittents et Précaires, Editions AmsterdamBaptiste Mylondo, Enseignant en économie et en philosophie politique, auteur de plusieurs ouvrages en sciences sociales dont deux consacrés au revenu inconditionnel : Ne pas perdre sa vie à la gagner (2008) et Un revenu pour tous (2010). Membre du Mouvement Utopia.Philippe Van Parijs, philosophe et économiste belge. Docteur en sociologie et en économie politique à l’université Catholique de Louvain. Promoteur et auteur de l’allocation universelle avec Y. Vanderborght (Regards num 412 – 2005). Il a fondé en 1986 le Basic Income European Network, rebaptisé en 2004 Basic Income Earth Network (BIEN).Avec le soutien et la participation de Karima DELLI, Députée EuropéenneAnimée par Elise AubryRevenu universel, revenu de vie, de base, revenu citoyen, le mot n’est pas encore défini pour déterminer ce qui serait un droit au revenu pour tous, mais il fait son chemin.Réduire les inégalités, la précarité, les injustices sociales, éradiquer la pauvreté et offrir à chaque citoyen, quelque soit son revenu, quelque soit son patrimoine, son âge, une allocation qui lui permettrait de vivre dignement. (Se loger, se vêtir, se nourrir)Un revenu individuel pour donner à chacun la possibilité de choisir sa voix librement. Mais, comment peut-on financer un tel revenu en France ?Quels changements économiques, sociaux et sociétaux impliquent la mise en place d’un revenu de vie ?Que devient la valeur travail dés lors que chacun pourrait vivre avec le minimum sans travailler ?L’allocation d’un revenu de vie n’inciterait-elle pas à ne plus aller travailler ?La mise en place d’un droit au revenu n’engage t-il pas de revoir la définition même du droit au travail et de sa place dans la société ?Laisser place à une activité socialement utile, que cela veut-il dire ?Tant de questions qui demandent à être débattues pour mieux comprendre comment en France, nous pourrions dépasser le système capitaliste et replacer l’homme au cœur de son propre système en instaurant un revenu d’existence.Si aujourd’hui, on évoque « un revenu inconditionnel » à gauche, à droite aussi la notion de « revenu inconditionnel » fait son chemin. Objections d’ordre financières, sociales ou encore utopiques, les critiques et oppositions ne manquent pas. Aujourd’hui un vrai débat politique sur la question est primordial, alors que la crise sociale et environnementale bat son plein et démontre que le système capitaliste touche à sa fin.> Télécharger le flyer (format JPG) …

  4. Inégalités sociales de santé liées à l’alimentation

    Associations, chercheurs, médecins, écologistes identifient, en France, une alimentation de mauvaise qualité (trop gras, trop sucré, trop salé, pas assez de fruits et légumes frais, trop d’additifs et de résidus de pesticides) comme source de maladies. Les causes d’une mauvaise alimentation sont multiples : offre de l’industrie agro-alimentaire et des grandes surfaces, poids des lobbys sur la réglementation, « qualité » de la restauration collective, influence de la publicité, insuffisance de la production de produits bios, disparition des pratiques de cuisine « traditionnelle » et des marchés de proximité, manque d’argent, méconnaissance de l’usage des protéines végétales etc… …

  5. Être actifs aujourd’hui pour ne pas être radioactifs demain : sortir du nucléaire, c’est possible…

    FUKUSHIMA : QUELLES CONSÉQUENCES SANITAIRES ? De nombreux japonais sont morts suite au terrible tremblement de terre et au tsunami qui ont touché leur pays. Le peuple japonais risque hélas de payer cher et pour longtemps la catastrophe de Fukushima. Les ONG locales affirment qu’une zone d’exclusion de 100 kilomètres autour de la centrale devra être établie pour des dizaines, voire des centaines d’années. En définitive, 8 millions de personnes risquent de devenir des réfugiés nucléaires au Japon. Soit plus que la population des régions PACA et Languedoc-Roussillon réunies. Il est aujourd’hui établi que le taux de cancer va s’accroître et que des mutations génétiques toucheront les générations futures au Japon et peut-être beaucoup plus loin. Quant aux personnes qui se battent courageusement sur le site pour sauver la centrale, certaines reçoivent des doses d’irradiations très importantes et sans aucun doute mortelles. …

  6. Conquête du pouvoir par l’intervention militaire – mauvais signal pour un gouvernement légitime en Côte d’Ivoire

    Communiqué de presse du 7 avril 2011 L’intervention directe de l’armée française le 4 avril 2011 contre le palais présidentiel, la résidence de Laurent Gbagbo, où se trouvaient également des familles, et des camps de militaires qui lui restaient fidèles, est particulièrement choquante. Décidée en premier lieu à l’Elysée sans que le Parlement français en soit informé, elle se pare d’un couvert onusien de protection des civils pour en fait donner le coup de grâce à la présidence de Laurent Gbagbo, achevant ainsi la conquête du pouvoir par les Forces Nouvelles soutenant Alassane Ouattara. Dès lors, que ce dernier fut le véritable vainqueur de l’élection présidentielle du 28 novembre 2010 – ainsi que l’a certifié l’ONU et confirmé la société civile ivoirienne trois semaines plus tard – n’a plus grand sens : son accession au pouvoir, désormais, sera passée par l’action militaire d’anciens rebelles ayant laissé sur leur route des centaines de morts civils, et aura été parachevée par le feu de l’ancienne puissance coloniale. Du point de vue de la démocratie, que l’on peut définir au-delà de sa seule expression électorale par la gestion pacifique des différends politiques, mais aussi du point de vue de l’indépendance réelle de la Côte d’Ivoire un demi-siècle après son indépendance juridique, on ne pouvait guère imaginer pire scénario. …

  7. Rwanda : l’Etat français doit regarder son passé en face

    Communiqué de presse du 7 avril 2011 Le 7 avril 2010, jour du seizième anniversaire du début du génocide tutsi au Rwanda, une soixantaine d’organisations et de personnalités françaises lançait un \ »Appel citoyen France-Rwanda\ » pour \ »faire toute la lumière\ » sur \ »les graves erreurs d’appréciation\ », les \ »erreurs politiques\ » et la \ »forme d’aveuglement\ » ayant caractérisé le comportement de la France durant le génocide, selon le discours prononcé le 25 février 2010 par Nicolas Sarkozy, premier Président français se rendant en visite au Rwanda depuis les massacres. Le texte, signé entre autres par quatre parlementaires ou hauts responsables d’Europe Ecologie Les Verts (EELV), se fondait sur les travaux de la mission d’information parlementaire de 1998 et sur ceux de nombreux chercheurs et ONG pour poser notamment la question : \ »Comment les autorités politiques et militaires françaises ont-elles pu soutenir, par des conseils militaires, la fourniture d’armes, et l’engagement direct de troupes, un régime qui avait fait du racisme anti-tutsi un point central de son identité et de son action ?\ ». \ »Il est essentiel d’apporter des réponses claires à ces questions et de préciser la responsabilité de ces autorités\ », poursuivait l’appel, avant de demander aux partis politiques de \ »prendre une position publique sur la nécessité de faire ce travail historique et de s’engager en faveur d’une recherche de vérité et de justice\ ». …

  8. Motions et contribution, travaux en cours

    Plusieurs groupes de militantes et militants travaillent actuellement à la rédaction de motions et contributions en vu du congrès. Peut-être ces travaux sont-ils déjà arrivés jusqu’à vous par les listes de discussion. Afin de permettre un travail le plus large possible et que le plus grand nombre d’adhérent-es possibles puissent participer à cette réflexion, il a été proposés aux animateurs de chaque texte en préparation de publier ici un paragraphe expliquant leur démarche et invitant celles et ceux qui le souhaitent à les rejoindre. …

  9. La catastrophe de Fukushima au Japon pose quatre graves problèmes de santé

    Communiqué du 01/04/2011 Les fortes dosesLes effets de la radioactivité sur les êtres vivants dépendent des doses reçues, mesuré en Sv (Sievert)- à partir de 1 Sievert, SV, ( ou 1OOO milliSv), les personnes sont malades dans les heures et les jours qui suivent. Elles souffrent de vomissements, maux de tête, diarrhées, puis diarrhées sanglantes, puis elles perdent leur capacité de défense, en particulier contre les microbes.- à partir de 5 Sv, une personne sur deux va mourir rapidement- à partir de 10 Sv, 100 % des personnes vont mourirLes informations concernant les travailleurs de la centrale de Fukushima sont extrêmement inquiétantes : pour certains, ils reçoivent ces fortes doses en une ou deux heures. C’est pourquoi l’attitude de ces travailleurs a été qualifiée et d’héroïque par le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire française (ASN). Beaucoup ont déjà reçu des doses mortelles. Il faudra envoyer de très nombreuses personnes successivement sur le site car elles ne peuvent rester que très peu de temps sur les parties les plus exposés.Les faibles dosesLe problème des faibles doses est très différent. Les faibles doses augmentent le nombre de cancers dans la population dans les dizaines d’années qui suivent une irradiation et peuvent se manifester pendant au moins 40 ans. Par ailleurs elles déclenchent des anomalies génétiques, qui pourront n’apparaître qu’après plusieurs générations.La dose admise dans des conditions normales de fonctionnement de l’industrie nucléaire est de 1 miliSv par an pour l’ensemble de la population, et on accepte 20 fois plus pour les travailleurs du nucléaire.Une part significative de la population japonaise est aujourd’hui concernée par le dépassement de ces doses.Mais il faut savoir que les connaissances scientifiques internationales admettent aujourd’hui qu’il n’y a pas de seuil de toxicité au-dessous duquel le risque serait nul. Toute dose de radioactivité augmente le taux de cancers dans la population. Il existe une radioactivité naturelle comme il existe des cancers « naturels ». Toute dose de radioactivité augmente le nombre de cancers.La contamination On peut se protéger d’une irradiation en s’éloignant de la source. Mais la situation est différente en cas de contamination par des particules radioactives qui sont alors présentes sur la peau, absorbées dans l’air que l’on respire ou dans l’eau et les aliments que l’on mange. Dans ce cas les particules radioactives peuvent s’intégrer dans le fonctionnement du corps humain. L’iode 131 se fixe dans la thyroïde, le césium137 dans les muscles, le strontium 90 dans les os. Ils peuvent y entraîner des dégâts sur les cellules voisines même si la dose délivrée à l’ensemble du corps est infime. De plus, dans le cas où des personnes sont contaminées, lorsqu’elles s’éloignent de la source de pollution, elles restent porteuses de la petite source fixée dans leur corps, dans certains cas pour des dizaines d’années. On comprend alors que la toxicité puisse être importante pour des doses très faibles en termes d’irradiation. De ce point de vue, la population concernée est énorme.L’Iode 131 perd la moitié de son activité en 8 jours et 99,9% en un peu moins de 3 mois. C’est pourquoi on peut se protéger avant une contamination annoncée en saturant la glande thyroïde par de l’iode non radioactif. Le Césium 137 perd la moitié de son activité en 30 ans et 99,9% en 300 ans. La durée de vie du strontium 90 est à peu près identique à celle du césium 137. Le MOXS’ajoute aux difficultés énoncées ci-dessus le fait que le réacteur numéro trois fonctionne au MOX, combustible préparé à l’usine de La Hague, qui consiste à mélanger à l’uranium une part de plutonium 239. Ce plutonium n’existait pas dans la nature il y a un siècle et a été produit par l’activité des humains. Il présente un danger particulier par sa toxicité très forte en cas de contamination aérienne. La dose toxique est de l’ordre du millionième de gramme et peut provoquer un cancer du poumon s’il est inhalé. De plus, il perdra la moitié de son activité en 24 000 ans et 99,9 % de son activité en 240 000 ans ! Autrement dit, cette pollution est définitive. De ce point de vue, la France a une responsabilité particulière en tant que producteur du MOX, dont une livraison devait être effectuée en mars au Japon…En conclusion, Les japonais sont très loin de maîtriser la catastrophe de Fukushima, ses conséquences portent sur de nombreuses générations et concernent au moins la population de tout l’hémisphère nord.Rendons hommage à tous les morts passés, présents et futurs du nucléaire.Mais rendons aussi hommage aux électeurs allemands du Bade-Würtemberg qui ont placé les Verts en position de prendre la présidence de la région dans le but de sortir du nucléaire.Jean-Luc VERET Président de la Commission Nationale Santé d’Europe Ecologie – Les VertsMédecin de Santé Publique, Conseiller Municipal de CaenAncien président de l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l’OuestJean-Luc.veret@wanadoo.fr Portable : 06 07 68 04 89 …

  10. Elections cantonales 2011

    Cantonales 2011 : l’écologie politique au coeur des territoires Félicitations aux nouveaux conseillers généraux Europe Ecologie Les Verts, et un grand bravo aux vaincus qui ont réalisé des scores tout à fait honorables lors de ces élections cantonales. Vous êtes maintenant 46 conseillers généraux EELV ou apparentés, 33 d’entre vous ont été élus dimanche dernier contre 14 en 2004, nous avons donc plus que doublé notre nombre d’élus sur les mêmes cantons (pour mémoire 15 conseillers généraux ont été élus en 2008). …

  11. Die Grüne Révolution !

    Des élections ont eu lieu le 27 mars dans deux Länder allemands, dont le Bade-Wurtenberg. Il s’agit du troisième Etat le plus peuplé de la république fédérale avec 10,7 millions d’habitants. Les conservateurs de la CDU étaient au pouvoir depuis 56 ans. C’est aujourd’hui une coalition menée par les écologistes alliés aux socialistes qui va présider au destinées du Land voisin de l’Alsace.Ce vote ne manquera pas d’avoir des conséquences au niveau national, car le chambre haute, le Bundesrat, est composée de représentants des Länder. Nos homologues d’outre-Rhin vont dont y accroître leur influence au-delà du Bade-Wurtenberg.Ce résultat historique permettra à n’en pas douter d’aider les Grünen de la ville-Etat de Berlin à gagner les élections prévues en septembre dans la capitale allemande. En attendant une surprise en 2013 lors des élections législatives ?http://www.gruene.de/ …

  12. Transport de MOX vers le Japon : Quand l’indécence le dispute à l’irresponsabilité !

    Communiqué du 25 mars 2011 L’association Greenpeace France révèle aujourd’hui que le transport de combustible MOX à destination du Japon prévu la semaine du 4 avril est confirmé. Le Gouvernement français a donc décidé d’autoriser cette livraison au moment où le peuple japonais panse ses plaies et pleure ses morts dans l’angoisse permanente des rejets, contaminations et risques insupportables que fait peser la centrale de Fukushima. Alors même que c’est le réacteur numéro 3 chargé en MOX qui suscite le plus d’inquiétude du fait de l’extrême instabilité et dangerosité de ce combustible, le Gouvernement français et AREVA n’auraient même pas la décence de l’annuler ? Europe Ecologie Les Verts appelle le Ministre Besson à assumer ses responsabilités en annulant immédiatement ce transport indigne. …

  13. Nucléaire : soyons réalistes, engageons la transition énergétique

    Jeudi de l’écologie 2012 Jeudi 24 mars à partir de 20hAnnexe du Parlement Européen,288 boulevard Saint Germain, Paris Au lendemain de la catastrophe de Fukushima au japon, vingt-cinq ans après Tchernobyl, plus personne ne doute de la réalité du danger nucléaire… à l’exception peut-être de celles et ceux qui vivent de l’atome et des partis encore sous le joug idéologique et économique de la toute puissance atomique. …

  14. Gaz de schiste : quels risques, quels recours pour les citoyens et quelles alternatives énergétiques ?

    Jeudi de l’écologie 2012 Jeudi 24 mars 2011 au Salon du Belvédère (Le Corum, à Montpellier) à 19h Avec :Séverin Pistre, hydrogéologue, co-auteur d’un rapport préliminaire sur les gaz de schistes et Thierry Salomon, énergéticien, Président de l’association NégaWatt. Grands témoins : José Bové, eurodéputé et Jean-Louis Roumégas, porte-parole national d’Europe Écologie – Les Verts. Le débat sera animé par Marie-Laure Harmand, journalisteAu-delà de la problématique sanitaire et environnementale, ce jeudi de l’écologie 2012 sera l’occasion de poser la question des choix énergétiques dans nos sociétés : envisager encore le recours aux énergies fossiles est-il responsable quand on prétend diminuer les émissions de GES et que l’on est signataire du protocole de Kyoto ? De quelles alternatives énergétiques disposons-nous ? Quel rôle peut jouer la société civile dans les choix énergétiques nationaux ?Pour toute information, veuillez contacter Lionel Guérin au 06 87 56 10 96. …

  15. Actualités

    Communiqué de presse du 21 mars 2011 Selon un sondage IFOP, réalisé du 15 au 17 mars, à la demande d’EELV, 70 % des français se déclarent favorables à la sortie du nucléaire.19 % des sondés sont favorable à une sortie immédiate.51 % est pour une sortie progressive du nucléaire, ce qui est la position d’Europe Écologie Les Verts.Seulement 30 % des personnes interrogées est favorable à la poursuite du programme nucléaire et à la construction de nouvelles centrales.Il est intéressant de noter que les électeurs du PS et du Front de gauche sont aussi favorables à la sortie du nucléaire.Ce sondage conforte donc la position d’EELV sur la sortie progressive du nucléaire et confirme la nécessité d’un grand débat sur l’énergie dans notre pays.Contrairement à d’autres sondages volontairement imprécis (tel que celui réalisé par Edf et publié ce matin) le sondage réalisé par l’Ifop permet de mesurer la part des Français favorables à une sortie progressive. Il évite le biais traditionnel du sondage EdF où opposants à une sortie immédiate et promoteurs d’une poursuite du nucléaire se retrouvent artificiellement confondus dans une majorité présentée comme hostile à une sortie du nucléaire.En posant les vraies questions, telles qu’elles se posent aux responsables de ce pays (une sortie immédiate – une sortie progressive – la continuité dans le nucléaire) on obtient des réponses sans équivoque.Jean Louis Roumégas, Porte-parole Denis Baupin, Bureau exécutif …