Vos contributions
Les TER
La responsabilité de la région sur les TER l’oblige à prendre en compte non seulement les horaires de travail, mais aussi de loisirs, des salariés de la région, afin de limiter leur recours à la voiture. Ainsi, aucun tra …lire la suite…
Trains et transports collectifs
En matière de transports collectifs, nous pourrions viser : • des transports collectifs plus fréquents, accessibles et propres, au sein des agglomérations (bus à énergie propre et tramways à favoriser). • la recherch …lire la suite…
Votes, Commissions et séances plénières
Afin de limiter les déplacements inutiles des conseillers, la région devrait assurer un système de vote en ligne, pour les commissions et les séances plénières, avec une exigence de vote individuel systématique à moins d …lire la suite…
Prévention des risques de pollution en mer et gestion des accidents
Des dizaines de milliers de navires transportent des matières dangereuses entre Gibraltar et le canal de Suez. Des millions de tonnes de matières dangereuses transitent près de nos côtes. Cela implique à la fois une poli …lire la suite…
Un tourisme éco social
La Région doit contribuer à promouvoir et valoriser un tourisme allant de pair avec la protection de la mer, du littoral et des lagunes. Pour rendre plus attractive la région toute l’année, elle favorisera le développeme …lire la suite…
Encourager la mise en place du télétravail
Les déplacements les moins polluants et par ailleurs les moins coûteux et les plus rapides sont ceux que l'on ne fait pas. Alors qu'un métier sur 2 peut se pratiquer partiellement à distance, il convient d'encourager la …lire la suite…
Refus de financer les travaux de voirie pour l’accès à Val Tolosa.
Le Projet Inutile de méga-centre commercial Val Tolosa (31) est éventuellement dépendant du financement public des voiries d'accès. L'article 9 de la loi NOTRe prévoyant le transfert à la région de la gestion de la voir …lire la suite…
Utilisation des produits phytosanitaires par les collectivités et les particuliers
Il s'agit d'anticiper la loi qui prévoit à terme (en 2020) d'interdire d'utiliser pour les collectivités territoriales et les particuliers des produits phytosanitaires. Le conseil régional devrait : - s'appliquer à l …lire la suite…
Télévision Nouvelle région
Afin de développer l'information culturelle, économique, sociale sur l'ensemble de la nouvelle région, il serait nécessaire de créer une chaine régionale (Hertzienne ou câble et internet). Ce média permettrait d'assurer …lire la suite…
Panneaux Bilingues
Dans le cadre d'une politique de soutien aux langues régionales, le conseil régional pourrait inciter financièrement et logistiquement à la mise en place de panneaux en langues régionales (occitan et catalans) à l'entrée …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par