Vos contributions
Rôle de l’ESS (2)
l’ESS doit-elle servir de caution morale à l’activité capitaliste ? Non, Il ne s’agit pas de faire du capitalisme éthique mais d’humaniser l’économie. Mais l’ESS ne doit pas représenter qu’une économie de réparation comm …lire la suite…
Rôle de l’ESS
L’économie solidaire repose donc, comme l’économie sociale, sur la volonté de placer l’homme au coeur de l’économie, mais elle met davantage l’accent sur la réduction des inégalités, et se définit plutôt par ses finalité …lire la suite…
Développer l’ESS
La responsabilité et l’impact social de toute structure employeur semble une évidence : pourquoi l’ambition éthique et les principes humanistes devraient-ils être réservés aux seules structures du tiers secteur ? Par exe …lire la suite…
Favoriser l’ESS
Favoriser l’ESS ne devrait pas consister à développer les entreprises existantes, mais à donner du pouvoir aux groupements de personnes. Radicalement. Obstinément. Systématiquement. Autrement dit : poser en per …lire la suite…
Ethique de l’ESS
On peut imaginer réparer certains oublis égalitaires de l'ESS, en prônant le respect des conditions de travail des salariés, une échelle des salaires maîtrisés, une ambition écologique affirmée, l’égalité femmes /hommes …lire la suite…
Mobiliser contre le scandale de la privatisation des autoroutes
Le Conseil régional peut et doit lancer des mobilisations citoyennes au nom de l'intérêt général, même en se situant en dehors des compétences régionales. Cette démarche s'inscrit dans dans la logique de l'implication c …lire la suite…
Organiser la résilience de l’économie
La leçon grecque : sortir de l'euro ? Le diktat imposé au peuple grec pose à nouveau la question : le "plan B" pour les Grecs était-il de sortir de l'euro ? Plus largement est-ce la seule pos …lire la suite…
TER, osons le retour au Rail !
Le train est un moyen de transport, propre et utile au développement des régions, mais à l'heure de la recherche de la rentabilité absolue, ce service public est durement attaqué (fermeture de lignes, de gares et de guic …lire la suite…
Un schéma régional d’aménagement, de développement durable et d’égalité du territoire (Sraddet)
Prévoir qu’un axe spécifique du SRADDET soit consacré à l’état actuel d’artificialisation des sols du territoire régional, définir des objectifs partagés en concertation avec les acteurs, établir des modalités d’actions …lire la suite…
Pour une politique régionale en faveur de l’Education à l’environnement et au Développement Durable
Il reste nécessaire de mener une politique volontariste en matière d’EEDD : favoriser l’apport de connaissance, tout au long de la vie, des plus jeunes aux plus vieux, en matière de transition écologique. Les assises …lire la suite…
Les pages de consensus
Notre démarche
La crise majeure – sociale, environnementale, économique, culturelle, démocratique – que traversent nos sociétés appelle sans délai de notre part une réponse politique nouvelle seule à même de rompre la spirale de désespérance qui fait le lit d’une extrême-droite plus dangereuse que jamais.
Ce sursaut ne viendra pas des partis de la gauche gouvernementale qui ont montré leur incapacité à sortir du modèle libéral et productiviste, et dont le bilan est extrêmement décevant.
Notre région Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées, résolument ancrée à gauche, offre une opportunité rare - et peut-être historique - de modifier profondément la donne lors des élections régionales de décembre 2015, offrant alors - par la force de l’exemple - un puissant levier de régénération politique à l’échelle du pays.
Le discrédit frappe largement les formations politiques et s’exprime au travers de la montée de l’abstention. Pourtant l’attente confuse mais palpable d’un nouveau modèle d’implication civique et politique (qui se cristallise avec force sur certaines luttes), et l’exemple de mouvements populaires dans des pays voisins (même si ces mouvements sont issus d’une réalité sociétale bien différente de la nôtre) appellent à ré-interroger profondément la façon d’envisager une échéance électorale mais aussi ce que nous souhaitons faire au-delà d’un simple scrutin.
La construction d’une dynamique citoyenne autour d’une proposition et d’une méthode politique nouvelle (programme, valeurs, méthodes, représentation…) ne doit pas rester un vain mot d’ordre, mais doit se traduire par la mise en place d’outils participatifs concrets, en rupture avec l’offre traditionnelle qui a échoué. Plusieurs initiatives, affirmant une même volonté de rassemblement politique large au service d’une mise en mouvement citoyenne, ont vu le jour dans notre région. Nous mettons aujourd’hui à disposition, pour contribuer à leur convergence, un outil participatif d’échange programmatique que nous avons choisi de nommer « Le projet en commun ». Cette plateforme doit permettre à chacun-e non pas simplement d’observer, mais d’agir, en toute transparence dans un cadre souple et efficient où chacun-e doit se sentir responsable et se porter garant-e de l’objectif.
Le projet solidaire que nous voulons bâtir n’est pas celui d’un simple cartel d’organisations ou d’un rassemblement d’élu-e-s qui se substitueraient à une dynamique citoyenne. Nous voulons permettre un vrai débat de fond, en confrontant sereinement les idées, pour co-élaborer un projet commun à même de répondre aux urgences sociales, environnementales et démocratiques autour de pratiques nouvelles basées sur des valeurs humanistes.
C’est la force et la cohérence de ce projet qui sera le levier de l’espoir.
Je soutiens l'initiative
La dynamique citoyenne pour un projet en commun est soutenue par