BP 2014 Intervention d’Emmanuelle BOUCHAUD – Stratégie énergie

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Monsieur le Président, mes chers collègues ;

Je vous propose aujourd’hui l’adoption de la stratégie régionale de la transition énergétique. C’est le fruit d’un travail engagé depuis plus d’un an et qui a fait l’objet d’une large mobilisation des acteurs ligériens.

C’est aussi la première fois qu’une stratégie d’action globale est proposée par une Région à la suite du débat national de la transition énergétique qui s’est achevé l’été dernier

Le processus a commencé en sept 2012 lorsque nous avons lancé les états régionaux de l’énergie en lien avec le débat national. Plus de 5000 personnes  y ont contribuées via :

  • des débats territoriaux,
  • les débats organisés par la chaire du développement durable de l’école des Mines,
  • un panel citoyen,
  • groupes de travail réunissant plusieurs centaines d’acteurs de l’énergie (représentants des grands opérateurs énergéticiens, des distributeurs, des associations environnementales, des développeurs d’énergie renouvelables, des syndicats professionnels et syndicats d’électrification, des collectivités, des entreprises, les organismes du bâtiment, des chambres consulaires, de l’Etat, de l’Ademe…)

Le secteur régional de l’énergie s’est mis autour de la table, a réfléchi ensemble, a travaillé ensemble et a rédigé ensemble le scénario énergie pays de la Loire 2050.

Certes, il reste quelques divergences :

  • sur les modes de vie du futur,
  • sur le nucléaire et les gaz de schiste,
  • la gouvernance,

Mais un constat a émergé fortement : la transition énergétique ne sera réalisée qu’à condition que les acteurs économiques, les collectivités publiques, et les ménages disposent d’une vision convergente.

Et les Etats régionaux ont permis de montrer que ces convergences étaient nombreuses, sans doute bien plus que nous l’aurions imaginé initialement. Des convergences autour de :

  • La raréfaction progressive des ressources en hydrocarbures
  • Les coûts futurs croissants des énergies
  • La priorité à assurer la sûreté nucléaire
  • Les besoins considérables d’investissements du nouveau cycle énergétique,
  • La gravité du déséquilibre de la balance commerciale
  • L’urgence face à la précarité énergétique des ménages
  • La nécessité de construire une culture collective de l’énergie
  • La nécessité d’une vision stratégique à long terme partagée

A l’arrivée de ces états régionaux, un résultat au-delà de nos espérances : un scénario partagé de transition énergétique à 2050 avec des objectifs ambitieux:

  • diviser par 2 la quantité d’énergie consommée à l’horizon 2050,
  • stabiliser la consommation électrique et produire l’équivalent en volume avec des énergies renouvelables – notamment marines – issues du territoire,
  • réduire fortement la dépendance du secteur des transports à la consommation de pétrole.
  • Diviser par 4 les émissions de ges d’ici 2050

Un scénario en cohérence avec le SRCAE  co-piloté avec l’Etat puisqu’il  établit des objectifs intermédiaires à 2020 identiques à ceux du SRCAE .

Pour 2020 : Baisse de 23% des consommations énergétiques et stabilisation des émissions de GES /1990

Pour 2030 : améliorer l’efficacité énergétique de 30%, rénover deux tiers du parc résidentiel privé ancien, déployer 120000 véhicules électriques dans la parc roulant et couvrir pour moitié en volume la consommation d’électricité par des ENR.

  En 2020

(SRCAE)

En 2030 En 2050
Energie finale consommée (ktep) 6750 5586 5021
dont pétrole 2948 2012 1027
dont électricité 1815 1760 1951
Baisse par rapport au tendanciel -23% -30% -47%
Proportion de logements rénovés (%) 45 50 92
Parc roulant de véhicules électriques & hybrides (milliers) 88 194 730
Part des poids-lourds à motorisation gaz ou biogaz (%) 10 20 92
Puissance installée des énergies renouvelables (MW)      
éolien terrestre 1750 1880 2300
éolien offshore 480 1740 4300
photovoltaïque 650 1600 3000

 

Le scénario une fois validé nous avons mis en place une conférence financière régionale qui s’est réunie de sept en déc

En effet, une stratégie serait vouée à l’échec sans l’étude des outils et moyens financiers permettant de déclencher les investissements nécessaires à la transition énergétique.

Aujourd’hui, réaliser les investissements indispensables nécessitent une complémentarité plus forte des interventions publiques et privées pour améliorer l’effet levier de nos actions.

La conférence financière régionale a donc visé à réunir les conditions d’un engagement volontariste de la part des banques et des différents investisseurs avec un ajustement des modes de soutien public et de nouveaux outils de financement pour obtenir le plus grand effet de levier possible.

La conférence financière rassemblant les acteurs concernés (banques publiques et privées, opérateurs énergétiques, collectivités territoriales et locales…) a permis de réaliser une prospective financière identifiant les coûts et les bénéfices d’une transition énergétique régionale.

Éléments de prospective

> 125000 rénovations de logements privés d’ici 2020(19000 par an sur 7 ans)

> économies d’énergie générées : 24TWH sur chauffage ( consommation élec en 2012 =24GWH)

> cout :3 MDS

> éco générées : entre 2,4 et 2,6 mds cumulés à 202

En résumé Etats régionaux de l’Energie, écriture du scénario, conférence financière.

Aujourd’hui nous en arrivons à la phase opérationnelle avec cette stratégie régionale de transition énergétique que je vais vous présenter.

Une stratégie qui est à la fois celle de l’institution et des acteurs du territoire.

Une élaboration en plusieurs temps :

  • le premier cadre vous est présenté aujourd’hui
  • un deuxième temps suivra fin juin 2014

 

Les actions de la stratégie régionale de l’énergie

La stratégie régionale de transition énergétique comporte 30 fiches actions. Rassurez-vous, je ne vais pas toutes vous les présenter, cela risquerait d’être un peu long et rébarbatif.

Mais je vais vous donner les axes prioritaires sur lesquelles s’appuie cette stratégie et mettre en exergue des actions concrètes qui me paraissent assez représentatives.

Cette stratégie se décline autour de trois grands axes

–         consommer  mieux et moins

–         faire de la transition énergétique le moteur du développement de notre territoire

–         outiller le faire ensemble

 

Axe 1 : consommer  mieux et moins

L’énergie la moins chère est celle que l’on ne consomme pas, l’étape primordiale est bien d’agir sur la consommation dans les secteurs les plus consommateurs que sont le logement et les transports.

Je ferai un focus spécifique sur le logement

Considérant que 46% des consommations d’énergie sont liées aux bâtiments c’est bien là que se situe la première bataille de la transition énergétique. Mais pour cela, il faut simplifier et massifier.

C’est la raison pour laquelle la première fiche action de notre stratégie est le soutien des collectivités qui se lancent dans la mise en place de guichets uniques.

A titre expérimental, nous avons lancé un appel à projet. 12 territoires y ont répondu, ils couvrent près de 45% de la population ligérienne. Ces expérimentations de guichets devront déboucher sur un dispositif généralisable qui nous permettra de couvrir la totalité de notre région.

Pour rappel la mission de ces guichets uniques c’est d’accompagner les ménages, dans la globalité de la démarche,  de manière neutre et indépendante, de la réalisation d’audits, la liaison facile entre la demande des ménages et l’offre des entreprisses, accès facilité aux prêts bancaires et aux aides publiques, attestation de la qualité des travaux, accompagnement des ménages une fois les wx réalisés pour savoir comment  faire des économies d’énergie au quotidien.

Toujours dans le volet rénovation logement, et au-delà de la poursuite des AREEP, c’est la mise en place d’un fond de garantie qui permettra de mobiliser les financements privés par une garantie publique.

Ce fonds sera opérationnel à l’échelle nationale en 2015 mais la Région Pays de la Loire, en lien avec la Caisse des Dépôts et Consignations sera susceptible soit de l’expérimenter en Région dès 2014, soit de mettre provisoirement en place un fonds régional en 2014 pour couvrir cette année ???

Ce fonds de garantie permet un accès au crédit à taux réduit sur des périodes plus longues grâce une garantie de défaut apporté par des fonds publics.

La mise en place du guichet et du fonds de garantie doivent nous permettre, en rythme de croisière, d’atteindre les objectifs de 19 000 logements privés rénovés par an.

Le besoin de garantie est de 5% des encours de prêts. Avec un montant moyen des rénovations de 25 000 €, cela représentera, lorsque le dispositif sera parvenu à maturité, 24 millions d’euros en garantie apportés par les partenaires publics du dispositif (pas que Région !) permettant ainsi un total de 475 millions d’euros de travaux par an. La Caisse des Dépôts et Consignations jouera un rôle important dans ce dispositif.

Le financement sera progressivement assuré par la valorisation des certificats d’économie d’énergie apportés en échange par les particuliers, au fur et à mesure de la montée en charge du dispositif, diminuant d’autant le besoin d’apport de fonds publics.

Concernant les transports, il est nécessaire d’agir à deux niveaux. Celui de la multimodalité à l’échelle de tous les territoires, mais aussi celui du développement de motorisations alternatives à un prix accessible.

Consommer mieux et moins, c’est aussi travailler à améliorer l’efficacité énergétique des entreprises du territoire.

Pour un nombre croissant d’entreprises, la question du prix de l’énergie est devenu un élément essentiel de compétitivité. C’est la raison pour laquelle nous avons décidé de les accompagner.

Les accompagner pour tout ce qui est conseil, diagnostic, actions simples à mettre en œuvre pour améliorer leur efficacité énergétique. Ceci, en mobilisant toute la boite à outils dont nous disposons, mais aussi en créant un dispositif spécifique qui serait géré par la CCIR.

Et accompagner via la BPI France ou le fonds Pays de la Loire croissance les entreprises qui s’engagent dans des processus d’efficacité énergétique plus lourd et qui ont du mal à trouver des financements pérennes, solides.

La question de l’agriculture est également essentielle, dans la mesure où l’agriculture  et l’alimentation contribuent à 21% de la consommation d’énergie de la région et à 30% environ des émissions de GES, il nous parait indispensable de l’accompagner dans cette transition énergétique et particulièrement sur la question du changement climatique.

Pour cela, la fiche action 9 prévoit qu’un programme d’étude et de recherche Climagri sera lancé sur le sujet et un scénario régional agriculture et changement climatique sera co-construit avec les acteurs de la filière.

Dernier point de ce volet consommer mieux et moins, j’en ai déjà parlé longuement en introduction, celui de la culture énergétique.

Les progrès dans les comportements individuels et collectifs ne pourront être obtenus sans une diffusion massive d’une culture générale en matière énergétique. Ceci passe par une réelle intégration dans les cursus scolaires mais aussi par une mobilisation permanente.

Aussi nous nous engageons à soutenir toutes initiatives locales et innovation sociale qui visent à favoriser la culture énergétique.

Deuxième axe de cette stratégie : faire de la transition énergétique le moteur du développement du territoire.

La stratégie régionale consiste à réduire la vulnérabilité de l’économie locale à la sécurité de son approvisionnement énergétique et au prix des combustibles fossiles et de l’électricité.

Dans un contexte de forte concurrence économique internationale pour les entreprises, il est essentiel de mobiliser et de valoriser les ressources locales dans les territoires.

Ce sont là des potentiels non délocalisables, générateurs d’emplois, et vecteurs d’une réduction des dépenses contraintes des acteurs.

Accompagner les filières

Accompagner les mutations de l’économie régionale vers la transition énergétique implique un soutien fort aux filières.

1-Un soutien fort aux filières traditionnelles qui s’engagent dans la transition énergétique et qui par la même sont amenées à se transformer.

Parmi celles-ci

L’agriculture , le construction, la métallurgie, la mécanique et les matériaux, la construction navale, l’électronique, les services .

Dans la même logique, la région participe au travail mené par le  grand port Maritime de Nantes St Nazaire sur la question de la place du grand port dans la transition énergétique.

Ex d’actions déjà démarrées :

> Agriculture durable

> Eco construction

> Construction navale vers des navires du futur

> ID4car pour l’automobile

> EMC2 pour les matériaux

Mais aussi un soutien à toutes les nouvelles activités et au formidable potentiel d’innovation qu’entraine cette transition.

2-Bien sûr cette évolution de l’économie régionale ne sera possible qu’à condition de former et préparer jeunes, demandeurs d’emplois, salariés à ces nouveaux métiers. C’est ce à quoi s’engage déjà depuis plusieurs années la région à travers sa politique de formation initiale et formation professionnelle continue.

Un focus sur le bâtiment avec notamment la volonté d’aller plus loin sur la formation des formateurs et une plus grande diffusion de la plate forme de formation praxibat et la déclinaison sur notre région du programme européen Build up skills.

3-Accompagner les mutations de l’économie vers la transition énergétique  c’est bien sûr miser sur le développement économique lié au potentiel d’émergence des énergies renouvelables

Le potentiel de valorisation des énergies renouvelables dans la région est très important, avec des particularités très marquées :

  • Une capacité de production exceptionnelle pour l’éolien (terrestre et surtout offshore),
  • Un potentiel de méthanisation important compte tenu de la prépondérance de l’élevage dans la région,
  • Une capacité intéressante pour l’énergie houlomotrice et pour le photovoltaïque,
  • Un potentiel qui se situe dans la moyenne pour les énergies renouvelables thermiques (bois et déchets, solaire thermique) valorisable pour la production de chaleur (eau chaude sanitaire, chauffage).

– en soutenant l’expérimentation et la recherche sur les nouvelles énergies

> Symbio 2 ( micro algues pour façades à haute performance environnementales)

> Navire de ramassage de biomasse algale

> Atlantic Power Cluster recherche et développement sur les EMR :éolienne flottante

-en structurant les filières de production

> Atlansun

> Atlanpole blue cluster

> Méthanisation

– en continuant à soutenir la construction de la filière EMR.

– en réunissant les conditions juridiques et financières favorables au déploiement des énergies renouvelables

Ex :éolien terrestre : financement participatif et facilitateur / l’instruction administrative

4- et dernier point de ce deuxième axe, c’est toute la question des réseaux.

En effet le décentralisation énergétique est une réalité avec 30 000 points d’injection au réseau en Pays de la Loire .

Il y  d’une part la multiplication des producteurs et d’autre part la nécessité de maitrise de l’énergie.

Cela fait que nous devons absolument travailler sur les outils de mesure et de gestion de ces flux.

Aussi nous nous emploierons

– à compléter le déploiement des compteurs communicants en accompagnant les particuliers

– à mettre en place avec RTE un programme de gestion de la pointe en PDL

Outil ECOMIX2

Programme d’effacement avec de gds consommateurs ou particuliers

– A explorer toutes les solutions de stockage via l’hydrogène, le micro stockage électrique, le stockage thermique.

– A mettre en place une animation régionale des investissements dans les réseaux.

Troisième axe : outiller le faire ensemble

La réussite de la transition énergétique du territoire régional ne sera possible qu’en maintenant la dynamique de mobilisation de l’ensemble des acteurs à l’œuvre depuis le lancement des Etats régionaux de l’énergie.

La gouvernance de la transition énergétique et les outils de sa mise en œuvre seront décisifs.

Nous affirmons qu’une gouvernance régionale de l’énergie et du climat est la clé pour la réussite  de ce troisième cycle énergétique.

Elle est la clé car la transition énergétique ne peut se faire sans une décentralisation du système énergétique, et elle est déjà en marche.

Alors, Conformément à la loi de modernisation de l’action publique qui reconnaît les régions comme chef de file des collectivités pour l’énergie et le climat, nous mettons en place une conférence régionale permanente de la transition énergétique et du changement climatique.

Cette conférence permettra d’assurer une coordination territoriale des acteurs, ce qui constitue à la fois une condition de planification cohérente, de qualité de gestion des investissements, de complémentarité et donc d’optimisation de ces investissements, de création de confiance entre acteurs. Concrètement elle sera une structure consultative, pilotée par la région, visant à suivre la stratégie régionale énergie et le SRCAE (avec l’Etat pour ce dernier).

Afin de mettre en œuvre des actions spécifiques de la stratégie, des groupes de travail pourront être mis en place. D’ores et déjà trois thèmes ont été repérés comme incontournables :

  • Les réseaux,
  • L’agriculture et climat
  • Le financement

Parallèlement à cette conférence régionale, nous mettons en place un dispositif d’observation de la transition énergétique et du changement climatique.

En effet nous constatons depuis plusieurs années la difficulté d’avoir des données lisibles, actualisées, récentes dans les domaines de l’énergie et des émissions de GES.

Pour exemple, concrètement pour préparer la présentation de la stratégie énergie, pas moins de 5 sites pour avoir des chiffres de consommation et production d’énergie et données pas plus récentes que celles de 2009. Les plus récentes Basemis Air PDL 2010.

Cette observation portera sur deux volets ;

  • les synthèses de l’existant via des organismes qui font des relevés
  • suivre les actions de la stratégie de manière quantitative.

Cet observatoire sera mené par l’Etat, l’Ademe et la Région et pourrait être porté par l’Agence régionale via l’ORES.

D’autre part la constitution d’un « GIEC » régional sera mise en œuvre.

L’objet serait d’évaluer localement les effets du changement climatique, en particulier sur les zones littorales ou encore viticoles, l’instar de ce qu’on fait avec succès nos collègues de la Région Aquitaine.

La gouvernance c’est travailler avec et c’est la raison pour laquelle nous souhaitons nous engager dans des partenariats avec des acteurs économiques sur des plans d’action de transition énergétique.(Nous avons déjà commencé des discussions avec La Poste)

Mais c’est aussi et surtout travailler et s’appuyer sur les territoires  qui sont les premiers acteurs et les relais de la transition énergétique. Que ce soit à travers l’exercice de leur compétence mais aussi dans leur rôle d’interlocuteur de proximité avec les citoyens.

Ils constituent pour nous le bras opérationnel de la stratégie régionale de transition énergétique. C’est la raison pour laquelle le développement des PCET doit être une priorité.

Pour cela le FRES (Fonds régional Etudes Stratégique) est à disposition des territoires pour l’élaboration de leur PCET. A compter de 2015 la prochaine génération de contrats régionaux devra être mobilisée en faveur de la transition énergétique.

 

Voilà donc de manière succincte mais néanmoins concrète, sur certains aspects ,car je tenais à l’être autant que possible ans le temps qui m’était imparti, la stratégie régionale de transition énergétique

Pour conclure

je dirais que la dynamique créée sur le territoire par les Etats régionaux de l’énergie et la construction partagée du scénario et de la stratégie ont montré à quel point le niveau régional est pertinent pour assurer la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation de la progression de la transition énergétique.

Nous souhaitons poursuivre et amplifier cette dynamique indispensable à la réussite de la transition. Pour cela, nous nous appuierons sur les richesses de nos territoires et ils sont nombreux.

Notre objectif : construire l’équipe Pays de la Loire de la transition énergétique et relever ce défi utile et nécessaire pour que demain les ligériens vivent encore mieux dans notre région.

Et avant de me taire je tiens à exprimer mes remerciements à Pierre Radanne et son équipe de futur facteur 4 qui nous ont accompagner dans cette aventure et exprimer mes remerciements à toutes les personnes qui ont contribuées à la construction de cette stratégie, aussi bien au niveau de l’animation des états régionaux , de la conférence financière que de l’élaboration stricto sensus du document que je viens de vous présenter, car comme vous avez pu le constater cette stratégie est globale et a sollicité la participation de nombre d’agents du conseil régional . Je tenais sincèrement à les remercier.

 

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