Groupe local Gers

  1. Philippe LE GOANVIC, candidat EELV première circonscription

    Né le 6 juin 1963 à Toulouse, je grandis à Tarbes puis je poursuis des études universitaires à Toulouse et deviens enseignant en Sciences-physiques. Mon métier m’emmène à exercer dans plusieurs départements : Savoie, Moselle et le Nord ainsi qu’à l’étranger : 2 ans au lycée Français de Montevideo en Uruguay et 6 ans à celui de Madrid.C’est en 2001, que je retrouve avec ma famille notre région natale où nous nous installons à Auch.Durant toutes ces années, je m’investis syndicalement, occupant des fonctions au niveau régional.C’est par l’étude des enjeux climatiques que je prends conscience des menaces écologiques qui pèsent sur les générations futures. Je décide donc de m’engager politiquement. L’urgence n’est plus pour moi, dans la résolution de conflits syndicaux mais dans l’action citoyenne.Pour ces législatives, je compte, dans la lignée des Jeudis de l’écologie du Gers, poursuivre la sensibilisation de mes concitoyens à l’urgence écologique afin de mobiliser le plus grand nombre au projet d’ EELV. …

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  2. Françoise DUBOS, candidate EELV32, deuxième circonscription

    53 ansAgent administratif dans la Fonction Publique Territoriale.Bénévole dans diverses associations – préservation de l’environnement, accueil solidaire, comité de quartier, club sportif –, co-organisatrice du salon annuel BioGascogne à Condom (32) ma ville natale.Adhérente EELV depuis 2008.Lettre de motivation / Législatives 2012Plus le temps passe, plus je ressens l’impérieuse nécessité de participer à la refonte de notre société.Je présente ma candidature aujourd’hui pour que le message et les idées que défend EELV soient diffusés, défendus avec force et entendus.La crise dite «financière» que nous traversons actuellement met à jour de tels disfonctionnements dans notre démocratie qu’il est de notre devoir d’agir.Au quotidien et en tant qu’individu d’abord nous pouvons agir dans un esprit de solidarité, dans le respect d’autrui et de notre environnement mais cela ne peut suffire tant les règles dans lesquelles nous devons évoluer sont destructrices.Les exemples ne manquent pas ! Nous connaissons aujourd’hui les dangers du nucléaires, qu’à cela ne tienne, on continue ; nous connaissons la nocivité du plastique mais on continue à en mettre partout… ; nous connaissons les méfaits du productivisme agricole, on modère l’utilisation des intrants chimiques mais on continue à fabriquer des semences OGM et on veut interdire tout droit aux agriculteurs d’utiliser leurs semences de ferme. Nous connaissons enfin le chômage et la précarité, qu’à cela ne tienne, dans le Gers, et après avoir aidé à dévaster la Bretagne, on nous installe de superbes élevages de poulets dits «Poulet Végétal», pour aider nos agriculteurs ! Les aider à s’endetter davantage et à ne créer aucun emploi supplémentaire ! Mais on le fait pour la bonne cause, des poulets pas chers, pour les pauvres smicars qui ne pourraient pas manger de poulet sans cela, mais qui en revanche feront marcher les labos pharmaceutiques quand leur santé se sera suffisamment dégradée à force de malnutrition…Et vous voulez supporter ça encore longtemps ? Moi pas ! J’ai envie de me battre contre ce système vicié, j’ai envie de proposer une autre vie, une autre société.Pour cela, nous devons intégrer le système pour en changer les règles. …

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  3. Lettre ouverte d’Eva Joly au président de la FNSEA…

    Monsieur le Président,J’ai lu avec intérêt votre lettre ouverte « espérance et progrès » appelant les candidats à donner de l’importance au sujet agricole et à concilier compétitivité et humanité.Je pense, comme vous, que l’agriculture doit prendre toute sa place dans cette campagne, et je ne peux que souscrire à l’idée « d’avoir un nouveau contrat entre agriculture et société, agriculteurs et citoyens ». C’est d’ailleurs ce que je proposerai aux citoyens, dès vendredi 3 février, lors d’un grand rassemblement d’Europe Écologie – Les Verts sur l’agriculture à Caen, où je dévoilerai mes orientations pour ce secteur.Monsieur le Président, j’apprécie les démarches comme la vôtre, celles qui visent à interpeller la société sur les enjeux qu’elle doit affronter. Je vais y répondre avec sincérité. Mais la même sincérité m’amène à vous dire que j’y répondrai en n’oubliant pas ce que l’organisation que vous présidez n’est pas neutre dans le débat que vous initiez. Elle crie actuellement sur tous les toits qu’il faut « relâcher la pression sur les mesures environnementales ». Elle incarne une certaine vision du monde agricole, une agriculture intensive dont nous voyons aujourd’hui les limites. Je n’ai aucune raison de ne pas croire en l’honnêteté de votre interpellation alors je vais assumer les désaccords que nous pouvons avoir.Je pense que le modèle agricole actuel ne peut plus durer. Ce modèle, mis en place après la seconde guerre mondiale, a rempli puis dépassé les objectifs qui lui étaient assignés : augmenter la production pour assurer la souveraineté alimentaire. Pour cela la France et l’Europe ont construit progressivement un solide arsenal d’outils qui se sont mutuellement consolidés avec le temps : mécanisation, sélections variétale et animale, agrandissement des exploitations, spécialisation des cultures et des territoires, utilisation d’intrants chimiques…Ce modèle que vous défendez a eu et a encore un coût social et un coût environnemental qui ne cessent de croître : effondrement du nombre d’agriculteurs et du nombre de fermes, désertification des campagnes, effondrement de la biodiversité, pollution des eaux, marées vertes, érosion, inondations, atteintes à la santé des agriculteurs, suicides élevés en milieu agricole, artificialisation des sols, invasion des marchés du Sud avec nos produits subventionnés…Aujourd’hui, sous le prétexte de nourrir le monde, nos exportations de céréales ou de « bas » morceaux des volailles, empêchent certains pays de développer leur agriculture. A l’inverse, nos importations de soja ou de bœuf font de certains pays émergents des porte-avions commerciaux vers l’Europe. Ils servent des intérêts qui ne sont pas ceux de leurs paysans, pas plus que ceux des paysans de nos territoires d’élevage, mais ceux de puissantes multinationales. Le système se boucle aujourd’hui par l’achat massif de terres arables par des pays comme la Chine et des multinationales qui se prêtent au jeu. Les terres sont là, elles sont exploitées mais elles ne profitent jamais à ceux qui vivent sur ces territoires.Mais ce n’est pas seulement l’environnement ou la souveraineté alimentaire de nombreux pays que le modèle que vous défendez a ruiné. C’est aussi l’image des agriculteurs et leur santé. Les agriculteurs méritent mieux que de se défendre d’être des pollueurs qu’il faut faire payer. Ils méritent mieux que d’angoisser en se demandant si les pesticides qu’ils utilisent ne sont pas en train de les rendre malades.Le projet que je propose vise à sortir de cette impasse, à redonner sens au métier d’agriculteurs. Il s’agit toujours de produire, bien sûr, mais en accord avec la nature et avec les hommes. La mal-bouffe doit être une période révolue : je crois en l’amour des agriculteurs pour leur terre et leur s produits . Il faut installer des agriculteurs jeunes et moins jeunes qui ont un projet en accord avec la société, au lieu de poursuivre la logique d’agrandissement actuelle. Il faut aider l’ensemble des agriculteurs à vivre la transition nécessaire et progressive vers l’agro-écologie. Certains sont déjà prêts, d’autres beaucoup moins. Il faut respecter les rythmes de chacun mais… sans faire du sur-place.Comme vous, M. Beulin, j’aspire à une société de confiance et d’espérance. Mais le progrès auquel je crois, et auquel de plus en plus de Français croient aussi, c’est celui de la transition écologique vers des modes de production et de consommation en harmonie avec le vivant, c’est-à-dire avec l’humain et la nature.Les écologistes – loin d’être des empêcheurs de cultiver en rond – peuvent apporter les idées qui sauveront l’agriculture.Eva Joly …

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  4. Création du Comité de soutien à Eva Joly

    Mardi 31 janvier à 18 heures, bon nombre d’adhérents et de sympathisants d’EELV32 se sont réunis au Café Gascon à Auch, pour la création du Comité de soutien à Eva Joly.Fatma Adda (conseillère régionale EELV) en sera l’animatrice, secondée par Bénédicte Mello.La soirée devait se poursuivre par un débat et se terminer autour d’un généreux buffet préparé par Georges Nosella. …

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  5. Poulet "label" et poulet "standard" : Bien Vivre dans le Gers fait bien la différence…

    Communiqué de Presse de l’association Bien Vivre dans le Gers Suite à différentes informations publiées par presse ou télévision ces derniers jours concernant un projet d’élevage avicole de type Label, nous tenons à préciser que notre association fait bien la différence avec les élevages industriels (« standard » ou « végétal »).Nous combattons ces derniers parce qu’il s’agit d’élevages concentrationnaires (24 poulets au m2 contre 10 en Label, poulets enfermés pendant toute leur courte vie, 37 jours contre 81 minimum en Label). Ces élevages sont dangereux pour l’environnement (pollution de l’air, de l’eau et des sols) et la santé humaine. Ils déqualifient et précarisent les éleveurs. Ils sont néfastes à l’image et à l’économie du Gers. La viande produite est vendue chère et est de piètre qualité.Nous n’avons pas les mêmes craintes pour les élevages de poulets Label et nous faisons confiance, à priori, aux jeunes agriculteurs qui choisissent ce type d’élevage pour le faire dans le respect de l’environnement.La position de Vivadour et de la préfecture dans le dossier des élevages industriels laissant accroire que les deux types d’élevage sont similaires explique en partie l’inquiétude des riverains. Nous pensons que c’est le rôle des pouvoirs publics de contrôler la légalité de l’installation mais aussi de favoriser le dialogue et, éventuellement, de proposer des aménagements susceptibles de lever les craintes.Le Président Jean Bernard LECROIX …

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