prison



  1. La Commission nationale de déontologie de la sécurité en chiffres.

    Depuis le début de son activité (janvier 2001), la Commission a enregistré 419 saisines (chiffres au 1/9/06). Au 1er septembre 2006, 129 dossiers restent à instruire. Son activité est marquée par une augmentation continue, passant de 19 saisines enregistrées en 2001 à 40 en 2002, à 70 en 2003 puis à 97 en 2004, et 108 en 2005. En cinq ans, le volume d’activité de la Commission a donc été multiplié par cinq. La progression semble se confirmer puisque entre le 1er janvier et le 1er septembre 2006, elle avait déjà reçu plus de 85 saisines. …

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  2. Nouveau texte d’orientation sur la justice.

    Le collectif \ »Octobre 2001\ » a été constitué à l’occasion du XXe anniversaire de l’abolition de la peine de mort en France (loi du 9 octobre 1981), pour mener réflexions et actions afin que les crimes et les délits soient sanctionnés dans le respect des droits fondamentaux, avec pour objectif primordial la réintégration dans la communauté des personnes mises en causes.Après le texte fondateur du 13 février 2001, le collectif rend public un nouveau texte d’orientation à télécharger sur lequel se sont rassemblées 15 organisations d’horizons pourtant très divers. Ce nouveau texte s’inspire tout particulièrement des recommandations les plus récentes du Conseil de l’Europe. Il a été adressé au Président de la République, aux parlementaires, aux partis politiques et à diverses hautes autorités. …

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  3. Propositions pour la justice.

    Le collectif \ »Octobre 2001\ » a été constitué à l’occasion du XXe anniversaire de l’abolition de la peine de mort en France (loi du 9 octobre 1981), pour mener réflexions et actions afin que les crimes et les délits soient sanctionnés dans le respect des droits fondamentaux, avec pour objectif primordial la réintégration dans la communauté des personnes mises en causes. …

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  4. Simone Lafleur, 71 ans, «morte en prison, pour rien»

    Richard Dumas peine à parler. S’énerve : «Vous n’êtes jamais rien devant la justice.» Puis : «Quand j’ai veillé le corps de ma mère, il y avait deux voitures de policiers en permanence pour me surveiller. Mais pour s’occuper de la santé de ma mère, ça non. Morte en prison, pour rien. Vous vous rendez compte ? Elle était malade, gravement malade.» Mardi, devant le doyen des juges d’instruction auprès du tribunal de Nice, une plainte avec constitution de partie civile a été déposée après le décès en prison de Simone Lafleur, pour non-assistance à personne en danger et homicide involontaire. Elle avait 71 ans. Une juge d’instruction au pôle financier de Paris, Maryse Leroux, voulait à tout prix l’entendre pour une affaire vieille de six ans. Simone Lafleur est morte quelques heures à peine après avoir été interpellée à Grasse. …

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  5. ALIMA BOUMEDIENE-THIERY visite le centrale de Poissy.

    Alima Boumediene-Thiery visite la Centrale de Poissy (Yvelines)Après ses visites dans les maisons d’arrêt d’Osny (95), de Fleury Mérogis (91), de Villepinte (93), de Nanterre (92), des maisons centrales de Clairvaux (10) et d’Yzeure-Moilins (03), Alima Boumediene-Thiery, sénatrice des Verts, membre de la commission des Lois au Sénat, continue son tour de France des prisons afin d’effectuer un état des lieux des établissements pénitentiaires indignes de notre République, d’après de nombreux témoignages, dont le rapport d’Alvaro Gil- Robles, commissaire européen aux droits de l’Homme. …

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