La campagne
Salon de l'agriculteur
Le vendredi 26 février Europe Ecologie au Salon de l’Agriculteur
A l’occasion de l’ouverture du Salon de l’agriculture, Europe Ecologie organise le vendredi 26 février 2010 l’opération «Prenez place dans le salon d’un agriculteur».
Partout en France, des candidat-e-s et des élu-e-s Europe Ecologie iront à la rencontre d’agriculteurs qui ouvriront les portes de leurs exploitations à celles et ceux qui s’intéressent au devenir de l’agriculture de leur région, ou simplement pour découvrir les « coulisses de leurs assiettes ».
Extrait de la conférence de presse de Pascal Canfin : 10 000 emplois pour le Limousin
Pascal Canfin était à Brive la Gaillarde le 18 février, il a donné une conférence de presse avec Ghislaine Jeannot Pagès, Jean Paul Besset et Marc Horvat. Il a expliqué comment en diminuant l'empreinte énergétique du Limousin, on peut créer 10 000 emplois
Conférence "Crise : comment éviter la rechute ?" avec P. Larrouturou, M. Joseph STIGLITZ, M. Edgar MORIN
Joseph Stiglitz et les écologistes face à la pensée unique
Samedi 13 février à la Grande Arche de la Défense, Edgar Morin, Joseph Stiglitz, Joyashri Roy (professeur à l'université de Calcutta) et Pierre Larrouturou ont répondu à l'invitation de Eva Joly, eurodéputée Europe Ecologie et présidente de la commission du Développement au Parlement européen.
Avec plus de 20 000 internautes connectés, et devant plus de 200 personnes, dont Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts et Pervenche Bérès, députée européenne, les participants ont fait état d'un diagnostic partagé : la crise mondiale que nous traversons est loin d'être finie, et les réponses apportées par les acteurs économiques, publics et privés, ne sont pas du tout à la hauteur des enjeux.
Loin des discours rassurants sur la reprise prochaine, Pierre Larrouturou a rappelé le danger d'un prochain « effondrement total » de l'économie financière, citant une mise en garde récente de la Société Générale à ses clients fortunés. « Nous sommes dans une nouvelle phase de la crise », a confirmé Joseph Stiglitz, rappelant que l'apparition d'une nouvelle bulle spéculative est le symptôme d'un système malade incapable de se réformer. « Je ne pense pas qu'ici je doive vous expliquer que notre mode de vie n'est pas durable », a-t-il ajouté, expliquant que l'objectif d'un retour à l'économie pré-crise n'était qu'illusion.
Les réponses aux crises ne peuvent être que politiques. Dans une société où les richesses sont si mal réparties, « la justice sociale devrait être la priorité » a expliqué Joseph Stiglitz. Il faut « rompre avec un certain nombre de dogmes et de pratiques et inventer un nouveau mode de gouvernance », a expliqué Eva Joly. « Les marchés ne sont pas une fin en soi mais un moyen. La qualité de vie doit être au centre de nos préoccupations », selon Joseph Stiglitz pour qui « un des aspects les plus importants du bien-être réside dans le lien social ». Ce qui implique de repenser et réorienter le rôle de l'action publique vers la production de ce lien.
Soutien d'Hubert Constancias, Président du Conseil National du MEI
J’appelle tous les écologistes à se rassembler autour d’Europe Ecologie Auvergne afin de constituer une seule et même liste pour les élections régionales de mars prochain.
J’appelle les membres des Verts, de CAP 21, et du Mouvement Ecologiste Indépendant (MEI) à s’entendre, pour intégrer ensemble cette liste, je leur demande de dépasser leurs querelles d’un autre âge, voir leur sectarisme. Ce rassemblement doit se faire dans le respect de la culture de chacune des formations se réclamant de l’écologie politique.
J’appelle les électeurs à faire savoir auprès des Verts, du MEI et de CAP 21 leur désire qui est le leur de n’avoir qu’une seule liste écologiste aux élections régional de mars prochain.
La crise globale, environnementale, sociale et économique, à l’laquelle nous somme confronté, lié à l’urgence écologique, imposée par ; le réchauffement climatique, la disparition rapide de la bio diversité, la raréfaction des ressources énergétiques fossiles et des matières premières, une démographie toujours en progression ; l’irresponsabilité des promoteurs des OGM ; une mondialisation non régulée par une gouvernance mondiale, le rejet sans état d’âme des individus les plus fragilisés.
La crise globale et l’urgence des enjeux écologique nous imposent de faire preuve de responsabilité, notre planète mérite bien un petit effort partagé.
J’en appelle à la responsabilité de chacune et chacun, une responsabilité devant l’histoire, une entente historique pour la planète.
Hubert CONSTANCIAS Président pour la Région Auvergne du MEI, Président du Conseil National du MEI
Création du Comité Local d'Uzerche
Mardi 16 février, l’équipe du comité local Europe Ecologie du pays d’Uzerche a tenu sa première réunion d’information et de débat sur la campagne des régionales. Une quinzaine de personnes étaient venues échanger leurs idées avec Marc Horvat, tête de liste corrèzienne. Le débat a été placé sous le signe du réalisme : la transition écologique du Limousin à travers 12 chantiers prioritaires.
étaient également présents :
Murriel Padovani-Lorioux (Conseillère régionale sortante / secrétaire départementale des Verts Corrèze )
Didier Tescher (Secrétaire régional des Verts du Limousin)
Patrick Braeckman (Coordonnateur du comité local de Saint-Germain-Les-Belles et membre du groupe de liaison)
Présentation du programme
Ce matin, dans un restaurant place de la République à Limoges, Jean-Bernard Damiens, Marc Horvat, Dominique Normand et Ghislaine Jeannot-Pagès ont présenté l'ensemble du programme à la presse et ont insisté sur le volet économique de celui-ci
Gilles Clément, candidat, explique pourquoi il s'engage avec Europe Ecologie Région Limousin
Gilles CLÉMENT est bien connu des Limousins et son travail de jardinier planétaire est aujourd'hui mondialement apprécié ; il s'engage à son tour en soutenant la liste Europe Écologie Limousin lors des élections régionales.
Conférence Débat : la décroissance en question !
Le 28 janvier dernier, salle Jean-Pierre Timbaud, à l’occasion de la conférence-débat organisée par le Comité local de Limoges, militants, sympathisants et curieux ont eu le plaisir d’assister à une présentation à la fois synthétique et percutante de ce que pourrait être une politique de décroissance choisie et non pas subie. Pour le conférencier invité, Jean-Jacques Gouguet, Professeur d’économie à l’Université de Limoges, promouvoir la décroissance – ou, si l’on préfère, la « prospérité sans croissance » - est aujourd’hui une nécessité compte tenu des ravages du productivisme et de la finitude de la planète-terre. Dans un mode fini, la croissance infinie du produit intérieur brut (PIB) n’est rien moins qu’une folie suicidaire : réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles non-renouvelables (au premier rang desquelles figure, bien évidemment, le pétrole), réduction de la biodiversité, déforestation, épuisement des sols, pollution et pénurie de l’eau, la liste est longue des effets dévastateurs avérés du modèle productiviste.