L’assemblée nationale examine en ce moment la nouvelle mouture du code minier, qui vise essentiellement à adapter ce vieux texte au droit de l’environnement du 21° siècle. …
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Gaz de Schiste : les citoyens doivent faire entendre leur refus
Le 28 janvier dernier, le tribunal administratif de Cergy a annulé l’abrogation du permis de recherche d’hydrocarbures dit \ »de Montélimar\ », dont le périmètre s’étend jusqu’aux Cévennes et aux gorges du Gardon. …
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Permis de Montélimar : l’État doit faire appel de la décision
Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise vient d’annuler, ce jeudi 28 janvier, l’abrogation du permis de recherches d’hydrocarbures dit \ »de Montélimar\ ». …
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Total ne doit pas récupérer son permis d’exploration du Gaz de schiste de Montélimar !
Le 8 janvier dernier, le Tribunal Administratif de Cergy-Pontoise examinait la légalité de l’abrogation du permis d’exploration du Gaz de schiste dit « de Montélimar ». …
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Cavard, porte-parole des anti-gaz de schiste
Le midi libre en date du 9 avril revient sur la question au gouvernement posé par Christophe Cavard au sujet du du gaz de schiste et de la pression des lobbies sur le pouvoir politique. …
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Questions à Mme Royal: gaz de schiste et pression des lobbies
Question au gouvernement du mercredi 8 avril 2015 Ma question s’adresse à Madame la Ministre de l’écologie, …
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Question à Ségolène Royal, Ministre de l’Ecologie, sur les gaz de schistes en plaine d’Alès
M. Christophe Cavard attire l’attention de Mme la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie sur la demande de prolongation du permis exclusif de recherches d’hydrocarbures «Plaine d’Alès» (PERH), déposée par la société Diamoco Energy SAS. Ce permis, arrivé à expiration le 2 avril 2014, a été délivré pour une période de validité de quatre ans à la société Bridgeoil par arrêté du 1er mars 2010 et publié au Journal Officiel le 2 avril 2010. Cette demande est parue au bulletin d’information n° 83 du BEPH (Bureau Exploration-Production des Hydrocarbures) d’avril 2014. Actuellement, la prolongation de ce permis est demandée par la société Diamoco alors qu’elle n’est pas titulaire de ce permis. Pour rappel, en octobre 2010, soit quelques mois après la délivrance du permis, la société Bridgeoil demandait à votre Ministère le transfert des droits, intérêts et obligations relatifs au permis à la société Diamoco avec qui elle avait signé une convention prévoyant une mutation au profit de cette dernière. Votre ministère n’a jamais statué et autorisé cette mutation qui, à ce jour, n’est pas effective : celle-ci n’a en effet jamais été publiée au Journal Officiel, et le silence gardé pendant plus de quinze mois par le ministère sur une demande d’autorisation de mutation vaut décision de rejet. En conséquence, cette demande de prolongation de ce permis introduite au nom de Diamoco Energy alors qu’elle n’est pas détentrice officielle de celui-ci ne peut être valide au regard du droit minier et ne pourrait faire l’objet de votre part d’une suite favorable. L’Etat peut faire valoir qu’aucuns travaux n’ont été engagés par la société Bridgeoil pendant la durée initiale du permis et que celle-ci n’a pas rempli ses engagements financiers. En effet, l’investissement initial, à la demande du permis, correspondait à 1,5 millions d’euros, or aucun investissement à la hauteur de cette somme n’aurait été réalisé. Par ailleurs, ce permis a été initialement accordé sans aucune consultation de la population, ni des élus locaux. Depuis trois ans et à de nombreuses reprises, populations et élus locaux ont exprimé leur refus de ce permis. Alors que notre région a investi dans des politiques de préservation de la ressource en eau, de développement économique fondé sur le tourisme et une agriculture respectueuse de l’environnement, ce permis porterait préjudice à l’environnement et à la santé des populations et serait destructeur pour l’aménagement du territoire. Développer une exploration et une exploitation d’hydrocarbures sur le permis « Plaine d’Alès » serait donc en contradiction totale avec les efforts engagés par les collectivités et les stratégies mises en place depuis plusieurs années. Au vu de ces éléments, les collectifs et la population attendent un geste fort de votre Ministère, qui rendrait la politique du Gouvernement lisible pour nos concitoyens. Il lui demande donc solennellement les suites qu’elle souhaite donner à cette demande de prolongation du permis exclusif de recherches d’hydrocarbures «Plaine d’Alès», et que soit engagée au plus vite la révision du code minier. …
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Débat Gaz de schiste : quelles réponses politiques?
Samedi 12 octobre 2013, Christophe Cavard participait, à l’invitation du collectif Bastagaz d’Ales, à un débat sur les réponses politiques permettant de garantir l’interdiction de l’exploration et l’exploitation des gaz de schiste. Deux autres parlementaires écolos l’accompagnaient: François-Michel Lambert, député des Bouches du Rhône et Michèle Rivasi, députée européenne. …
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« Une politique énergétique alternative est incontournable »
Sur Objecitf Gard : GAZ DE SCHISTE : LA VIGILANCE RESTE DE MISE SUR LES SECTEURS DE NÎMES, UZES ET ALES …
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