Le Monopoly à la Talençaise
Depuis 21 ans, Talence est le terrain de jeu d'une longue partie de Monopoly avec peu de joueurs et encore moins de gagnants. Voici le plateau du Monopoly à la Talençaise : pour jouer, tentez de deviner ce qu'il s'est passé. Retrouvez toutes les réponses ci-dessous.
Cliquez sur l'image pour agrandir le plateau (attention, la taille de cette image étant importante, elle peut mettre du temps à charger).
Les citoyens et les écologistes ont menés diverses actions pour préservé le terrain municipal 9200 m² de la prairie Bel Air. Le Maire a soutenu très tardivement la création d'un jardin partagé proposé par l'association "Casse muraille". | La vente du bâtiment appartenant à la municipalité et accueillant la structure d’accueil d’enfants « Les bons petits diables » a provoqué la dispersion des enfants. | Le bois Laffite, en partie protégé et non constructible, était un espace de respiration pour ce quartier relativement dense. Il fut amputé de près de la moitié de sa superficie (7900 m²) pour accueillir trois immeubles de 63 logements, très éloignés des « 15 ou 16 maisons » promises par le Maire. | A proximité de plusieurs structures scolaires, la place Wilson est un véritable point noir pour la circulation des cyclistes. |
La prolongation de l’avenue de la Marne à travers le bois de Thouars a non seulement grevé le budget voirie de la municipalité mais surtout balafré cet espace boisé, sans pour autant répondre de façon satisfaisante aux attentes des riverains. |
Cette rénovation, sans exigence environnementale, est un échec financier. La piscine reste un gouffre énergétique qui plombe les finances municipales. |
Le projet actuel, et sa concertation de façade, est très éloigné des trois priorités qui doivent l’animer : apaiser la circulation, embellir le quartier, soutenir le dynamisme économique. Pour plus d’infos, cliquez ici |
L’ETSM est l’association sportive la plus subventionnée et elle profite régulièrement de la bienveillance de la municipalité. Le coût reste très élevé (30 euros de l'heure de moto pour un talençais). |
L’axe de la Libération, pourtant assez large, n’a pas été aménagé correctement pour la circulation des cyclistes. Le conseil communal s'est exprimé contre cet aménagement inadapté. |
Construction d’une énième résidence hôtelière sur un ancien terrain public (68 logements pour 37 places de parking). |
La construction de l’INRIA, qui devait couper la rue Pierre Noailles, l'a finalement enjambé (pour 1 200 000 d'euros supplémentaires payés par la CUB), en empiétant sur l’Espace Boisé à Conserver du domaine du Haut Carré. |
Après l’échec d'un premier projet « leurre » d’un Mac Drive près de l'église de Talence, la firme américaine s’est finalement installée au rond-point de l’Université. La circulation générée par le drive est incompatible avec des conditions acceptables de sécurité. |
Après avoir prévu une pépinière d'entreprises, choisi l’architecte et déposé le permis de construire, la municipalité a renoncé à ce projet (des indemnités ont donc été versées). Par la suite, la municipalité a revendu ce terrain à la société MBC pour 1 122 000 euros. Le jour mêmede la signature de vente, la société MBC a revendu le même terrain pour 1 570 000 euros à Aquitaine promotion, empochant une plus-value de 430 000 euros. |
Surproduction de résidences étudiantes dans cette rue entraînant de graves problèmes de déplacement et de stationnement, les résidences étudiantes n'ayant l'obligation de construire qu’une place de stationnement pour quatre studios). |
Au Château des Arts, une partie de l'Espace Boisé à Conserver a été déclassée. La municipalité se réjouit aujourd’hui d’avoir classé par la suite quelques arbres. |
L'ambition du Maire pour la réouverture de la gare Médoquine n'est que de façade. Plus d'infos en cliquant ici. |
Cet bâtiment remarquable du patrimoine talençais a été rasé sans aucun motif. Si ce n’est peut être pour préparer la cession des terrains Peybouquey…
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La municipalité a vendu en mai 2013 un terrain municipal à la SCI Arnaud (six logements et un cabinet médical). |
Depuis son ouverture en 1990 (avec des permis non-conforme), la salle de la Médoquine, gérée par une société mixte, est en déficit constant. Ce sont nos impôts locaux qui le comblent, par le soutien financier de la ville (420 000 euros par an) et la location de la salle aux associations talençaises, à l’OCET et à la mairie (soit encore une aide indirecte de la municipalité de 320 000 euros en 2011). |
Lors de la construction du gymnase Boris Diaw, la création d’un square était prévue. La mascarade de démocratie participative sur le choix d’un des trois projets de jardin a coupé court quand une route d'accès pour les pompiers s'est subitement imposée.
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Le projet d’EPAD, porté successivement par plusieurs sociétés, prévoie des constructions en cœur d’ilot. Actuellement, les déchets d’amiante issus de la démolition sont toujours entreposés sur place. |
La destruction de ce bâtiment du patrimoine talençais a été compensée par la reconstitution d’un pastiche de la façade. |
Suite à la mobilisation des riverains et des écologistes, la bibliothèque de Gambetta a été en partie préservée, offrant un service minimal (mais indispensable). Plus d’infos, cliquez ici. |
La déclassification du terrain communautaire accueillant le château d'eau en espace agricole a divisé par 10 sa valeur. Plusieurs terrains privés voisins, accueillant des maisons et un cabinet médical, ont également été déclassés. |
Cette bâtisse, élément de notre patrimoine architectural, a été rasée pour laisser la place à un parking de 5 places et à un jardin privatif. Nous proposions pourtant d’utiliser ce lieu pour accueillir la bibliothèque Gambetta ou une annexe de la Poste... | Le commissariat, ancien presbytère appartenant à la municipalité, a été vendu à l'architecte Dupuy. | Ce bâtiment du patrimoine talençais a été rasé pour laisser la place à une énième résidence hôtelière. | Les aménagements autour de l’axe du tramway ne sont pas adaptés pour les cyclistes. Depuis le retrait des ralentisseurs, aucune solution n’a été proposée pour sécuriser ce parcours. |
La vente de 1050m² du Parc Sourreilh à un promoteur privé s’est faite sans mise en concurrence. |
Le détournement de la canalisation afin de faciliter la constructibilité d’un lotissement privé va être à la charge du contribuable. |
Lors du premier PLU en 2006, une partie de ce terrain a été déclassée pour encourager la construction de 78 logements. |
Le Maire a délivré les permis de construire aux promoteurs immobiliers sur le terrain voisin de l'îlot Peybouquet. Or, ces constructions pourraient menacer la création d'un pôle multimodal dont les besoins seront évalués par l'étude en cours. Plus d'infos en cliquant ici. |
Le projet immobilier du parking Gaumont prévoit la construction de deux nouveaux immeubles de résidences. Mais le nombre d'étage est supérieur à la limite autorisée sur une voie privée. Pour régulariser à postériori les permis de construire, le Maire a tenté de racheter une partie du terrain pour créer une voie public. Une dépense de l'argent public dans le seul intérêt des promoteurs immobiliers que l'opposition a attaqué. |
Icones : thenounproject.com
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