Vieillir en bonne santé

 

Les cas de cancer et les maladies cardio-vasculaires se multiplient, les couples ont de plus en plus de mal à avoir des enfants, mais nous continuons à fermer les yeux.

Je ne peux me résoudre au fait que la jeune génération soit la première à vivre moins longtemps que ses parents.

On nous dit que l’espérance de vie a doublé grâce aux progrès de la médecine, mais ce n’est pas vrai. L’espérance de vie a doublé car la mortalité infantile a régressé (grâce au congé de maternité qui permet aux femmes enceintes de se reposer) et que le taux de maladies infectieuses a baissé grâce à une meilleure hygiène de l’eau, une alimentation suffisante et des logements sains. Ainsi, si l’on vit plus longtemps, ce n’est pas grâce au progrès médical, mais grâce au progrès social qui a entraîné des conditions de vie meilleures.

Les personnes âgées d’aujourd’hui sont nées avant la guerre. Les suivants, ceux qui sont nés après guerre, ont vécu la suralimentation, la pollution, le stress de la vie moderne, le chômage etc. Ces conditions difficiles entraînent une baisse de l’espérance de vie et surtout une baisse de l’espérance de vie en bonne santé.

 

Nous ne devons pas oublier que la santé, selon la définition de l’OMS, ce n’est pas seulement l’absence de maladie, mais le bien-être physique, psychique et social.

 

 

Avoir une députée écologiste, c’est avoir une députée qui place l’humain au centre des préoccupations, qui ne se résigne pas, qui n’a pas peur d’affronter les lobbies et qui sait que prévenir est plus efficace et moins coûteux que guérir.