• Initiative citoyenne européenne contre le traité de libre échange trans-atlantique

    stop tafta
  • image-bilan
  • Zoom-Nuc
  • L’équipe (1)…

    L’équipe (1)…
  •    
  • L’année sera chaude : faites un don !

    Dons-Widget
  • Zoom-PAC
  • Le projet que les écologistes défendent à l’Assemblée Nationale

    Le projet d'EELV pour les législatives
  • L’équipe (2)…

    L'équipe (2)...
  • Open Agrifood : quand l’agrobusiness fait semblant de s’intéresser aux paysans et à la terre

    13 novembre 2014

    Les 20 et 21 novembre prochains aura lieu à Orléans, l’Open Agrifood, un forum, à vocation internationale, qui prétend « définir le modèle alimentaire mondial de demain et initier la troisième révolution agricole et alimentaire ».

    Pour nous écologistes, l’agriculture de demain, respectueuse de l’environnement, doit permettre des emplois décents, des échanges commerciaux équitables, la protection des ressources naturelles et une alimentation saine et de qualité. Elle doit s’orienter vers une agro-écologie qui s’appuie sur des savoirs faire et des techniques paysannes et familiales.

    Ne nous y trompons pas, l’Open agrifood, fait la promotion d’une agriculture mondialisée, industrialisée qui privilégie les très grosses exploitations et détruit les emplois paysans plutôt que celle d’une agriculture responsable. Sous couvert d’« agriculture durable », l’Open agrifood prône une agriculture aux mains des industries agro-alimentaires, des banques et de la grande distribution.

    C’est pourquoi les écologistes soutiennent et participeront au rassemblement pour une autre agriculture organisé par une quinzaine d’associations agricoles, de consommateurs, naturalistes et citoyennes, le 20 novembre à 12h devant le théâtre d’Orléans,


    Partager

    Un nouvel élu EELV à Argenton sur Creuse

    1 avril 2014

    Les élections municipales ont vu l’élection d’un nouveau représentant d’EELV à la mairie d’Argenton sur Creuse : Jeremy Godet.

    Il sera en charge des affaires scolaires et de la jeunesse.

    Jeremy a été président du MRJC jusqu’en 2013.

    Partager

    Centre d’enfouissement des déchets de Gournay : Le Préfet et le Président du Conseil Général autorisent de fait l’importation de 60 000 tonnes par an de déchets à enfouir

    10 avril 2013

    Le site de Gournay qui devait, selon le dossier remis par l’exploitant (la SEG), être plein en juin 2012 continue à accueillir des déchets 9 mois après. Mais cela ne doit poser aucun problème au représentant de l’état qui ne semble pas s’être offusqué de cette fausse déclaration contenue dans le dossier d’enquête publique.

    Le plan départemental d’élimination des déchets ménagers et assimilés (PDEDMA) se fixe pour objectif pour 2015 une réduction des déchets ultimes avec un maximum annuel de 100 600 tonnes de déchets à enfouir. Qu’à cela ne tienne, abondance de biens ne nuit pas, avec cette autorisation préfectorale nous aurons la capacité d’enfouir 170 000 tonnes par an.

    Que ce plan (le PDEDMA) suppute dans une phrase de 40 mots sur un total de 150 pages qu’il pourrait arriver que les objectifs de valorisation des déchets organiques ne soient pas atteints ! Alors là, pas question pour notre Préfet de se laisser déborder par les déchets. La solution n’est pas d’agir pour que ces objectifs soient atteints en mettant en place des plans d’actions avec les collectivités gestionnaires. Diable non, il faut absolument des capacités d’enfouissement supplémentaires au cas où cela surviendrait.

    Nous arrivons ainsi à ce paradoxe d’un département qui se dote d’un PDEDMA ambitieux, aux dires de ses promoteurs, pour la réduction des déchets « ultimes » (selon la loi : les déchets à enfouir, dits déchets ultimes, ne peuvent être ni réutilisés, ni recyclés ni transformés ni valorisés) et qui va voir ses capacités d’enfouissement de déchets augmenter de 60 000 tonnes par an ! Alors même que l’excédent de capacité sera de 60 000 tonnes (hors importations) en 2015 selon le PDEDMA.

    Mais d’où viendront ces 60 000 tonnes supplémentaires à enfouir ? Nous importons déjà des déchets de Haute Vienne et de Creuse pour un total de 15 000 tonnes annuelles. Les exploitants des centres d’enfouissement (en jargon ISDND) vont-ils démarcher d’autres collectivités hors département pour rentabiliser leur investissement sur les nouveaux sites de Châtillon sur Indre et Gournay (mise en place d’installations de biogaz post enfouissement) ? Monsieur le Préfet a-t-il la réponse ? Dans son arrêté il indique que des déchets pourront être importés sous réserve que cela soit transitoire, et aucune limite de tonnage n’est fixé, tout est donc possible.

    Pour Europe Ecologie Indre :

    - Il faut surseoir à la mise en exploitation du site de Châtillon en raison des graves risques de pollution des sols et repenser globalement les sites de stockage du département.
    - Il y a urgence à séparer les déchets organiques des autres déchets dans tout le département afin de valoriser les matières fermentescibles.
    - Il y a urgence à encourager, soutenir et fédérer les initiatives engagées par les collectivités, visant à la maîtrise et à la baisse du volume des déchets et à l’installation de recyclerie près des déchetteries.
    - Il est urgent que les services de l’état s’engagent dans le sens de l’histoire et cessent de promouvoir des solutions passéistes qui ne créent pas d’emplois, qui découragent celles et ceux qui veulent aller de l’avant et qui sont un risque pour l’environnement actuel et futur.
    - Il faut enfin interdire les importations supplémentaires de déchets en provenance d’autres départements.

    Dominique Viard et Caroline Gauthier
    Porte-paroles d’Europe Ecologie Indre

    Partager

    Site des Tourneix à Chateauroux : protégeons un site naturel pour l’usage de tous !

    25 mars 2013

    Par Philippe Elion, Europe Ecologie Les Verts 36

    Qui n’est jamais allé sur le site des Tourneix ? Pour une randonnée à pied ou à VTT ou à cheval …certes, il s’y déploie aussi d’autres activités un peu plus bruyantes et polluantes mais rien de comparable avec les nuisances sonores d’un circuit automobile. Evidemment, si j’ai bien compris ce que les riverains et utilisateurs du site ont eux aussi compris, c’est qu’on ne s’adresserait plus vraiment au même type de public ! Autrement dit, on tournerait ostensiblement le dos au citoyen lambda, pour laisser place à des bobos stressés et friqués qui viendraient « recharger leurs batteries » à forte dose d’adrénaline, au volant de somptueuses Porsche ou autres Ferrari pour en imposer au Berrichon peut-être pas très futé…mais qui sait très bien compter ses sous et qui voit avec effarement que la Ville de Châteauroux s’apprête à vendre sans scrupules à vil prix (ou presque) un site où les deniers publics ont déjà été investis en abondance depuis quelques années.

    Le non-sens environnemental d’un tel projet est ce qui sidère le plus les riverains et utilisateurs du site mais aussi les écologistes. C’est quelque chose qui n’est pas acceptable du point de vue de l’inévitable dégradation du site. La forêt domaniale de Laleuf jouxte le site concerné. Elle fait partie d’une ZNIEFF (Zone Naturelle d’Intérêt Ecologique, Faunistique et Floristique). Les documents officiels de la DIREN-Centre en attestent. De grandes surfaces bitumées vont imperméabiliser les sols et ajouter des milliers de mètres cubes d’eaux polluées à celles qui proviennent déjà de l’autoroute proche et qui se déversent dans la petite Claise qui s’en va couler ensuite dans la Brenne. En raison de la proximité du Parc Naturel Régional et de la directive Natura 2000, on doit s’interroger sur l’éventuelle illégalité de ce projet sans aucun intérêt social ni économique et encore moins sportif ! J’en appelle au sens de la responsabilité de notre Député et Président de la Commission du Développement Durable à l’Assemblée Nationale et au Ministre du Travail pour qu’ils interviennent efficacement dans ce dossier.

    L’autre aspect scandaleux de cette ineptie, c’est d’imaginer les milliers de litres de carburant qui vont être gaspillés pour le plaisir de quelques-uns à l’heure où le baril de pétrole ne descend plus jamais sous la barre des 100 dollars, où le réchauffement climatique n’est plus nié que par quelques disciples de M.Allègre et où il va falloir réduire de manière drastique nos émissions de gaz à effet de serre. A ce qu’il me semble, la CAC et la Ville de Châteauroux ont approuvé l’une et l’autre et à juste titre des Agendas 21… Quelle contradiction affligeante ! Ne laissons pas se mettre en place un projet imbécile et dangereux qui n’aura aucune retombée sur l’économie locale. Que la Ville de Châteauroux ait repris en mains les destinées de ce site…pourquoi pas ? Mais la Ville ne peut pas vendre, la Ville ne doit pas vendre à quelque promoteur que ce soit, des terres en partie cultivées, des bois, des chemins de randonnée, un chemin communal, un ruisseau…pour y implanter un circuit automobile ! Châteauroux n’a pas à se substituer aux défaillances et à la fermeture éventuelle du circuit de Magny-Cours. Bref, Châteauroux doit conserver sur son flanc Ouest un patrimoine naturel de qualité. Il faudra étudier avec les utilisateurs et aussi les riverains du site, comment le préserver, le protéger ! Comment y développer peut-être d’autres activités qui s’adresseraient à un public aussi large que possible et non à une élite aisée qui pourrait « se payer » le bien commun. Ce point sera bien évidemment au coeur de la campagne des élections municipales à Châteauroux. Ce projet ne doit pas voir le jour ! Maintenant décidé à partir, il est clair que Jean-François Mayet se laisse aller publiquement dans bien des dossiers à des prises de position et à des opinions peu compatibles avec l’idée que l’on se fait d’une République laïque et démocratique…raison de plus pour ne pas lui laisser les mains libres dans ce dossier sensible!

    Partager

    BIP TV : la gauche et EELV proposent un voeux à la CAC… en vain

    9 février 2013

    Extraits de la Nouvelle République du 09/02/13 : compte rendu de la séance du Conseil Communautaire

    « La gauche et les verts avaient un vœu : verser la subvention à Bip TV, votée en décembre. Le président de la Communauté d’agglomération castelroussine Jean-François Mayet a refusé cette ultime main tendue.

    (…) Cette tentative a été vouée à l’échec malgré les arguments développés. (…)

    Patricia Danguy, l’élue verte du Poinçonnet, a été la plus mordante :
    « Vous dites que vous défendez l’emploi et vous supprimez quatre postes. Il y a comme un souci. C’est la fin de votre mandat et j’ai l’impression que vous ne vous retenez plus : Bip TV, l’école intégriste, la signature d’une pétition contre le droit de vote des étrangers émanant des Identitaires, votre participation à la manifestation contre le mariage pour tous… Je pense que vous devriez réfléchir à un problème d’incontinence politique ! (…)»

    Partager

    Pour un réseau de trains qui maillent le territoire : manif à Limoges !

    9 février 2013

    Pour défendre un réseau de trains qui maillent correctement le territoire !

    Contre de nouvelles Lignes à Grande Vitesse qui coûtent cher et provoquent un aménagement du territoire morcelé !

    Pour défendre la ligne Paris-Orléans-Chateauroux-Limoges (POCL) !

    EELV36 était à la manifestation unitaire à Limoges :

    -Jean Delavergne, Conseiller Régional,
    -Pierre Morizet, Maire de Chazelet,
    -Raphaël Tillie, candidat aux élections législatives en 2012,

    Plus d’infos :

    - http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Services/Toutes-les-DMAs/n/Contenus/DMAs/2013/02/09/Limoges-manifestation-pour-le-Polt-1328347

    - http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2013/02/09/Cinq-cents-manifestants-pour-defendre-le-TER-Poitiers-Limoges-1328321

    Partager

    Soutien à BIP TV

    24 janvier 2013

    Partager

    Conférence pauvreté : priorité au logement !

    12 décembre 2012

    A l’issue de la conférence contre la pauvreté, qui s’est déroulée les 10 et 11 décembre, le Premier ministre a annoncé un certain nombre de mesures pour l’année 2013, comme première étape dans l’élaboration du plan quinquennal que le gouvernement va mettre en ouvre pour lutter contre la pauvreté et venir en aide aux plus démunis. Concernant le volet logement et hébergement, les engagements représentent un effort budgétaire exceptionnel de 142 millions d’euros, qui viendront s’ajouter au budget prévu dans le projet de loi de finances 2013.

    Hébergement d’urgence : structurer et améliorer l’offre

    La politique en la matière doit assurer une continuité de prise en charge, une égalité de traitement et un accueil inconditionnel. En 2013, au total, 9 000 places d’hébergement d’urgence seront créées ou pérennisées, en vue notamment d’une sortie du dispositif hivernal cohérente et organisée. 5 000 pour faire face à l’afflux des demandes adressées au 115, et 4 000 autres pour accueillir les demandeurs d’asile.

    Sortir de l’urgence et accompagner les plus démunis vers le logement

    L’orientation vers le logement est déterminante pour transformer structurellement la politique conduite en direction des personnes sans abri, aujourd’hui trop guidée par l’urgence. La volonté d’ores et déjà actée de sortir de la gestion saisonnière s’accompagnera du développement de l’accompagnement individualisé vers et dans le logement des personnes.

    Un programme de création de logements à bas niveau de loyer va être lancé, en plus du développement de l’offre de logements locatifs sociaux et la construction de logements adaptés pour les personnes ayant un besoin d’accompagnement social. Ainsi, en 2013, 2 000 places en logement adapté (dont des maisons relais) seront créées. Cette offre sera complétée par un fort développement du recours à l’intermédiation locative (pour 7000 places) comme alternative à l’hébergement. Ainsi ce sont 9 000 places nouvelles en logement adapté ou accompagné qui seront disponibles l’année prochaine. Les moyens en faveur de l’accompagnement dans les résidences sociales seront renforcés.

    Un plan pour reloger 15 000 ménages reconnus prioritaires au titre du Dalo

    Le droit au logement opposable dans les zones tendues connaît des difficultés de mise en ouvre que le gouvernement veut résoudre. Un plan d’urgence – notamment pour l’Ile-de-France – sera mis en ouvre afin de reloger 15 000 ménages supplémentaires reconnus prioritaires au titre de la loi Dalo. 10 000 relogements s’effectueront grâce à la mobilisation renforcée de tous les contingents, et 5 000 grâce au développement d’un programme de mobilisation du parc privé et de logements sociaux à bas niveau de loyer dans le diffus.

    Sécuriser les familles les plus vulnérables

    La lutte contre la pauvreté passe aussi par l’anticipation des ruptures. Ainsi, la prévention des expulsions locatives sera renforcée. Par ailleurs le plan de rénovation énergétique de l’habitat sera prioritairement tourné vers la lutte contre la précarité énergétique. Les personnes à faibles revenus sont souvent celles qui vivent dans les logements les moins bien isolés et qui supportent les factures d’énergie les plus élevées.

    Enfin, le gouvernement travaille sur un système de garantie universelle des risques locatifs, qui permettrait de sécuriser les rapports entre locataires et propriétaires.

    Partager

    Notre Dame des Landes et Ozans : la même politique archaïque !

    7 novembre 2012


    Partager

    EELV soutien le passage en régie publique de la gestion de l’eau à Issoudun

    6 juillet 2012

    Partager