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  • Le projet que les écologistes défendent à l’Assemblée Nationale

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  • Elections européennes : les écolos ont leurs têtes de liste !

    28 janvier 2014

    Pour la première fois, partout à travers le continent européens, les militants et sympathisants écolo ont voté pour choisir les têtes de liste écologistes aux élections européennes. L’idée de cette primaire organisée par le Pari Vert Européen était de donner une dimension réellement européenne à ces élections, au delà de la somme des intérêts nationaux. C’est la première primaire trans-européenne jamais organisée par un parti politique.

    Ce sont l’allemande Ska Keller et le français José Bové qui représenteront les Verts Européens lors de la campagne des élections européennes de 2014.

    Par leur militantisme, leur courage politique et leur détermination à faire avancer la cause écologique dans toutes ses dimensions, ce tandem incarnera le nouveau souffle militant pour l’Europe démocratique, écologiste et solidaire dont nous avons tant besoin.

    Ces deux chefs de file deviennent officiellement le duo écologiste candidat à la présidence de la Commission Européenne. Ils parcourront le continent pour porter les idées des écologistes au niveau fédéral, au delà des simples intérêts nationaux.

    Alors que les institutions européennes sont parfois critiquées pour leur manque de démocratie, les écologistes ont choisi de remettre de la démocratie là où elle est perçue comme faisant défaut, de reparler encore et toujours d’Europe. De marteler que nous devons choisir et débattre de l’Europe que nous voulons. L’Europe mérite bien ça.

    Au niveau de notre Euro-Région Centre (Centre, Auvergne, Limousin), la candidate au poste de député européen est Clarisse Heusquin. Agée de 25 ans, auvergnate d’origine, avec des attaches familiales en Limousin, Clarisse Heusquin est l’une des dirigeantes de la Fédération des Jeunes Verts Européens à Bruxelles. Cliquez sur la photo pour avoir plus d’info sur elle.

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    Ministère du Développement : 4 mois utiles pour l’écologie, le point des actions par Pascal Canfin

    25 septembre 2012

    En 4 mois qu’est ce qui a changé au Ministère du développement ? Le nom d’abord. Pour la première fois la France a un ministre chargé à temps plein de la politique du développement. Le ministère de la coopération, avec tout ce qu’il pouvait véhiculer, n’existe plus. Cela correspond à l’évolution de notre relation avec l’Afrique. Bien sûr, l’Afrique est la priorité en matière de politique d’aide au développement, tout simplement parce que c’est là que se trouvent les situations de plus grande pauvreté. Mais, avec la mondialisation, nous n’y sommes plus qu’un acteur parmi d’autres, avec ou en concurrence avec les Chinois, les Turcs, les Indiens, les Brésiliens, les Allemands,… Il n’y a plus de relations obligées et c’est une bonne nouvelle.

    Au-delà du nom, j’ai commencé à réorienter le contenu des politiques de développement pour mettre au cœur les enjeux de soutenabilité. Premier exemple : les 6 milliards d’euros que l’Agence française de développement consacrera au secteur de l’énergie dans les trois prochaines années auront deux priorités hiérarchisées comme telles : les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. L’AFD n’était pas inactive en la matière. Mais les priorités sont maintenant clairement définies. Avec le soutien des autres ministres concernés, j’ai donc placé la transition énergétique au cœur de notre politique de développement. Dans les prochains mois l’Agence française de développement adoptera son nouveau cadre d’intervention en matière agricole pour les trois prochaines années. Là encore mon objectif est de faire en sorte de promouvoir les formes d’agricultures durables, familiales, écologiquement intensives…les seules à même, je le crois, d’assurer la sécurité alimentaire de ces pays. Nous travaillons également depuis la rentrée sur le cadre de transparence financière de l’Agence. Ce sera l’occasion de renforcer la politique en matière de lutte contre la corruption et contre les paradis fiscaux.

    Mais les politiques de développement ne s’arrêtent pas à l’aide publique au développement. Les flux financiers qui sortent des pays du Sud en passant notamment par les paradis fiscaux, et qui empêchent les Etats de collecter des impôts, représentent des montants 10 fois supérieurs à celui de l’Aide publique au développement. Je suis donc de très près la négociation européenne actuellement en cours pour rendre obligatoire le reporting pays par pays. Lorsque Aung San Suu Kyi est venue à Paris fin juin, elle a insisté sur la nécessité de la transparence des investissements. Ces propos ont été repris fortement par le Président de la République. Il est donc clair que la position de la France est très ambitieuse sur ce dossier. Par ailleurs, je prendrai des initiatives dans les prochains mois pour que la France soit en pointe dans le fait d’aider les pays du Sud à collecter les impôts qui leur permettent de financer leurs dépenses de santé, d’éducation… sans avoir besoin de l’aide publique au développement.

    Dans un tout autre domaine, nous avons mis fin à la liaison entre la politique de développement et la politique migratoire. Le précédent gouvernement avait déplacé une partie du budget alloué au développement du Quai d’Orsay vers le ministère de l’intérieur pour pouvoir négocier le financement de projets comme contrepartie à une politique de contrôle des flux migratoires « à la source ». Ce lien a été supprimé puisque la totalité du budget concerné revient sous ma responsabilité dès 2013.

    Une politique c’est aussi une méthode. Dès les premiers jours de mon mandat j’ai reçu les ONG pour rétablir un dialogue qui était abîmé. Et des organisations qui ne figuraient pas dans la liste des partenaires consultés sont désormais reçues comme la Confédération paysanne pour parler des projets agricoles que nous devrions soutenir au Sud. Par ailleurs, dès 2013 nous avons décidé d’engager le doublement de l’aide publique qui passe par les ONG. La France est en retard sur d’autres pays européens. Nous allons le rattraper.

    Enfin, à la demande du Premier ministre, je vais piloter les Assises du développement et de la solidarité internationale. Cela fait 15 ans qu’une telle concertation avec la société civile n’a pas eu lieu. D’octobre 2012 au printemps 2013 nous allons débattre avec les ONG, les collectivités locales, les parlementaires, les élu-e-s, nos partenaires du Sud… de notre politique de développement. Il s’agira de déboucher notamment sur plus de transparence de notre aide, et sur un nettoyage de notre indicateur d’APD, le fameux 0,7 %, qui est une convention comptable largement discutable… et qui sera donc discutée.

    Voilà en quelques lignes les premiers résultats de mon action. D’autres changements sont déjà lancés et je vous tiendrai informés régulièrement de leurs avancées pour que vous puissiez mesurer l’intérêt (ou non !) d’avoir un écologiste au Développement.

    Pascal Canfin, Ministre délégué chargé du développement

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    Engagez-vous en signant le pacte « Rio + 20, le futur que nous voulons VRAIMENT ! »

    19 juin 2012

    En juin 1992, la conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement se déroulait à Rio de Janeiro (Brésil). Vingt ans plus tard, un nouveau sommet appelé Rio +20 réunira du 20 au 22 juin prochains 120 chefs d’Etat et de gouvernement, dont le nouveau président français François Hollande.

    L’objectif, à priori simple, est de constituer une nouvelle feuille de route à l’horizon 2030 pour l’ensemble des pays de la planète face à la crise écologique majeure que nous subissons. Car nos modes de développement continuent de détruire l’ensemble du vivant et hypothèquent d’ores et déjà la possibilité même de survie des générations futures.

    A l’approche de ce rendez-vous fondamental pour notre avenir à tous, Europe Ecologie Les Verts tient à rappeler ses positions ambitieuses mais nécessaires pour que Rio+20 ne soit pas un sommet international de plus se contentant de vœux pieux.

    C’est pourquoi nous vous invitons à signer nos huit engagements pour Rio +20:

    1 – Que des objectifs clairs à l’horizon 2022 (et non 2030) soient fixés lors de ce sommet pour le développement d’une économie verte qui sache dépasser la seule idéologie de la croissance et du profit financier et que ces objectifs soient assortis d’engagements contraignants
    2 – Que les investissements effectués par la Banque mondiale et les autres fonds internationaux intègrent des objectifs d’éco-conditionnalité, de relocalisation d’activités, de circuits de proximité de distribution et diffusion, de souveraineté alimentaire, de pratiques agro écologiques, ou encore de développement de la sobriété énergétique et des énergies renouvelables
    3 – Qu’un statut juridique pour les biens publics mondiaux et biens communs soit créé
    4 – Qu’une fiscalité environnementale soit développée et portée par l’ensemble des pays sur la planète
    5 – Qu’une partie des recettes liées à la taxation sur les flux financiers soit dédiée à un fonds environnemental, notamment de protection de la biodiversité dans les pays du sud
    6 – Que soit mise en place une gouvernance démocratique à travers la création d’une Organisation Mondiale de l’Environnement sous l’égide des Nations Unies dont les décisions soient opposables à l’OMC, au FMI et à la Banque mondiale afin d’influer sur le commerce mondial
    7 – Que l’effectivité de ce droit soit assurée par un Tribunal international de justice climatique fonctionnant sur le modèle de la Cour de La Haye, avec un corpus juridique intègrant une clause de la nation la plus favorisée en termes environnementaux
    8 – Que la Convention de Genève relative au statut de réfugié de 1951 soit élargie à un statut des migrants climatiques via la définition d’un droit d’asile environnemental.

    Nous avons rendez-vous à Rio avec les générations futures et la communauté internationale ne peut pas se permettre de manquer ce sommet. Des représentants d’EELV seront donc présents tout au long des négociations pour porter ce message ambitieux.

    En France, tous nos élus se mobilisent d’ores et déjà pour rappeler que les luttes contre le dérèglement climatique, la déforestation, la disparition programmée des ressources halieutiques, pour la survie de la biodiversité et de l’ensemble du vivant est la priorité fondamentale, et cela passe par une volonté politique forte à Rio +20.

    Vous aussi, engagez-vous en soutenant les huit revendications d’EELV, pour que Rio+20 soit un succès, pour le futur que nous voulons vraiment.

    Pour plus d’infos :

    http://eelv.fr/2012/05/11/rio-20-enjeux-et-position-deurope-ecologie-les-verts/

    http://eelv.fr/2012/02/02/motion-rio20/

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    En avant à la Journée régionale de solidarité avec le peuple Palestinien !

    14 avril 2011

    EELV 36 est membre du collectif « Un bateau pour Gaza » dans l’Indre (voir notre article ICI).

    Journée du Samedi 7 Mai à Blois

    Journée régionale de solidarité avec le peuple palestinien

    - 10h00 – 18h00 dans la ville, photographies, documentations, produits palestiniens, le problème de l’eau…

    - 18h00 – 20h00 Conférence avec Stéphane Hessel « les atteintes aux droits de l’homme en Palestine »

    - 20h00 Buffet de spécialités orientales

    - 21h00 Concert « Haneen »  trio palestinien

    Départ en début d’après-midi

    Ceux qui désirent se rendre à Blois peuvent s’inscrire pour un covoiturage.

    Envoyer un mail à :   afps.indre@hotmail.fr

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    Lybie et Cie

    11 mars 2011

    http://www.youtube.com/watch?v=Sk9N6K6Nqmo

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