Les produits de l’agriculture intensive sont de moindre qualité
alimentaire et leur production dégrade souvent l’environnement quand
ce n’est pas la santé des producteurs ou des riverains de champs et
vergers. A cela, la solution n’est pas toujours d’acheter du bio, trop
souvent produit au loin.
Manger local c’est mieux pour tout le monde : légumes, fruits, jus de
fruits, cidre, moutarde, huile, produits laitiers, céréales, sont
meilleurs frais et de qualité. Les consommer c’est bon pour
l’environnement parce qu’ils ne voyagent pas, parce que le lien
resserré producteur consommateur favorise la qualité et non la
production intensive à coups d’engrais et de pesticides. C’est bon
pour l’économie locale car sans multiples intermédiaires le porte
monnaie du consommateur et celui du producteur s’y retrouvent bien.
Les circuits courts de commercialisation peuvent être variés. Ils
doivent se multiplier pour satisfaire la demande potentielle de
nombreux consommateurs souhaitant acheter en circuits courts. Mais la
difficulté de ces réseaux reste le manque cruel de producteurs
(maraichers, arboriculteurs etc.) sur l’Ile de France. Il faut aider
et ce particulièrement sur le Vexin à la conversion d’exploitation
vers le biologique, et à l »installation de nouveaux producteurs.
Le mardi 22 mai à 20h30
Salle de Fêtes
95450 US
Avec
Claire Alvarez, amapienne de l’AMAP les rives de l’Oise
Françoise Bossoutrot, animatrice de «ruche qui dit oui»
Michel Vampouille de «Terre de lien»
Amandine Dewaele pour Alterconso.
La réunion se passera sous forme d’échanges avec le public et un pot
de l’amitié aux saveurs locales clôturera la réunion.
Venez nombreux !!