Un patrimoine à protéger

Dans le Puy de Dôme, de multiples sites naturels et bâtis sont à préserver :

– Sauvegarde du patrimoine

photo: geolocation.ws

Notre patrimoine fait notre richesse. Il faut le préserver coûte que coûte en repensant leur usage. Il est par exemple temps de donner un vrai projet à l’ancienne Halle aux Grains à Ballainvilliers, propriété du Conseil Général qui mérite mieux que la simple installation de caméras de surveillance. Nous proposons que celle-ci devienne un tiers-lieux avec des espaces de travail (co-working, création artistique) et d’autres de rencontre (expositions, cafétéria, étudiants-entrepreneurs) dans un cadre propice à la création de projets et d’entreprises.

cf:  http://clermont5.fabriquecitoyenne.fr/352/un-patrimoine-a-proteger/

– Maintenir les bassins de population

Des milliers d’hectares de terres agricoles s’urbanisent chaque année. Il est aujourd’hui plus simple pour les acteurs du territoire (politiques, constructeurs …) de transformer des terres arables en proposant des programmes neufs au lieu de lancer des projets de rénovation. Il est urgent d’encourager et de simplifier la rénovation des centres bourgs, la rénovation du bâti ancien en centre ville en adaptant les règles d’urbanisme aux usages de maintenant. Il faut stopper la perméabilisation des sols et préserver notre terre nourricière.

– Protection des Espaces Naturels Sensibles

Les côtes de Clermont-Chanturgues, entre autres, doivent être classées ENS (Espaces Naturels Sensibles) afin de ne pas être davantage urbanisées. C’est le plus proche espace naturel pour les Clermontois, protégeons-le définitivement !

– Préserver les rivières et protéger les riverains des crues

Préserver les rivières, c’est entre autres prévenir l’utilisation intensive de nitrates sur les terres agricoles proches des cours d’eau. Mais s’il faut préserver les rivières, les hommes et les biens sont aussi à protéger. A Clermont-Ferrand, pour lutter contre les crues de la Tiretaine dans le quartier de Saint-Alyre il est nécessaire de stopper l’artificialisation des sols sur les côtes.