Focus sur ce que vous ne trouverez pas dans les autres programmes !

# Sauvegarde du patrimoine

Notre patrimoine fait notre richesse. Il faut le préserver coûte que coûte en repensant leur usage. Il est par exemple temps de donner un vrai projet à l’ancienne Halle aux Grains à Ballainvilliers, propriété du Conseil Général. Nous proposons que celle-ci devienne un tiers-lieux avec des espaces de travail (co-working et création artistique) et d’autres de rencontre (expositions, cafétéria, étudiants-entrepreneurs) dans un cadre propice à la création de projets et d’entreprises.

# Protection des Espaces Naturels Sensibles

Les côtes de Clermont-Ferrand, entre autres, doivent être classées ENS afin de ne pas être davantage urbanisées. C’est le plus proche espace naturel pour les clermontois, à la végétation atypique, protègeons-le définitivement!

# Préserver les rivières et protéger les riverains des crues

Préserver les rivières, c’est entre autres prévenir l’utilisation intensive de nitrates sur les terres agricoles proches des cours d’eau pour que notre eau demeure de qualité. Mais s’il faut préserver les rivières, les hommes et les biens sont aussi à protéger. A Clermont-Ferrand, pour lutter contre les crues de la Tiretaine dans le quartier de Saint-Alyre il est nécessaire de stopper l’artificialisation des sols sur les côtes et de procéder à une gestion des arbres sur ses berges.

# Cyclo-routes

De même qu’il s’occupe des routes, le département doit mettre en place des alternatives pour les déplacements à vélo efficaces et sûrs. C’est pourquoi nous proposons la mise en place d’une cycloroute Riom / Clermont / Cournon desservant les Zones d’Activités pour détourner de la voiture une partie des usagers qui se rendent quotidiennement à leur travail. Moins de CO2 et de pollution, nous en avons besoin!

# Alternative au tout voiture sur l’entrée Ouest de la ville

Il est temps que le CG prenne à bras le corps les problématiques de transport urbain et retrouve sa place au sein du SMTC. Réduire la circulation au carrefour de Galaxie et sur les avenues du Puy-de-Dôme et du Limousin en particulier en organisant mieux l’accès de la ville par l’Ouest doit être un priorité. C’est possible en transformant en véritable RER de l’agglomération le réseau ferré et notamment la ligne de chemin de fer qui va jusqu’à Volvic et passe par Durtol. Des parcs relais doivent également être aménagés comme c’est déjà le cas au nord et au sud.

# Abondement des aides sociales en monnaie locale

Les aides sociales de type RSA doivent, sur la base du volontariat, être perçues en monnaie locale du Puy-de-Dôme. Le cas échéant le montant sera abondé à 50% de manière à inciter les gens à utiliser cette monnaie afin de consommer localement et sainement. Cet argent qui reste sur notre territoire permet le développement des filières locales et crée de l’emploi. La monnaie locale abondée doit devenir un outil puissant de dynamisation de l’économie en zone rurale et d’augmentation du pouvoir d’achat relocalisé. Autoriser le paiement du bus Transdôme ou les cantines, c’est étendre l’utilisation de cette monnaie tout en étant fidèle à ses valeurs.

# Ouvrir les collèges sur le monde

L’éducation doit être une priorité pour que notre jeunesse devienne des citoyen-ne-s investi-e-s, comprenant le monde qui les entoure et ses enjeux. Les activités et interventions à favoriser sont nombreuses: compréhension des médias et de l’information sur Internet à l’heure où les théories du complot sont légion, éducation aux problématiques de Développement Durable notamment aux déchets, communication non-violente à l’heure où de nombreux jeunes tentent de mettre fin à leurs jours, invitation au sport et à la culture pour tous, etc…

# Alimentation bio et locale dans les cantines

L’alimentation biologique et locale ne doit pas être réservée à une élite mais démocratisée dans un soucis de santé publique: diminution des allergies, de l’eczéma, de l’obésité, de la pollution aux pesticides des sols et des rivières. De plus, le fait de se fournir localement permet à nos paysans de trouver des débouchés et arrivent plus frais dans nos assiettes. Les cuisiniers doivent être formés pour que le passage progressif au bio engendre ni surcoût ni gaspillage alimentaire.