En ce moment même et encore pour quelques jours, se tient à Copenhague l’un des rendez-vous les plus importants de l’histoire de la planète. La situation est grave. N’en déplaise à certains obscurantistes, c’est bien de notre avenir sur cette planète qu’il est question.
La gouvernance planétaire parviendra-t-elle à donner un autre avenir que celui qui nous est annoncé si l’on ne fait rien ou trop peu ?
Si la mobilisation pour lutter contre l’urgence climatique n’est pas à la hauteur, que lèguerons-nous à nos enfants ? Une Terre qui aura perdu une grande partie de sa biodiversité, une planète qui sera soumise aux guerres pour l’accès à l’eau ou à l’énergie. Une planète où la famine touchera la plupart des pays du Sud et où les réfugiés climatiques se compteront par millions.
Il est impossible d’assumer un tel futur, impossible de rester inactifs. Impossible de simplement klaxonner face au mur, impossible de seulement alerter.
Il est vain de ne vouloir qu’adapter le système, il faut le changer. On ne résout pas un problème en restant dans la logique qui l’a engendré. On n’apporte pas de réponse aux urgences si on ne fait que ravaler le système, en le peignant en Vert par exemple. Une rupture est désormais nécessaire. Partout dans le monde et ICI EN AQUITAINE !