C’est en grand nombre que les médecins de ville formés dans les années 70 partent aujourd’hui à la retraite. Dans le même temps, peu de jeunes médecins choisissent de s’engager vers la médecine générale et, quand ils le font, ils s’installent en priorité au centre des grandes villes, où ils trouvent le confort, et peu de déplacements à effectuer. Les communes du Nord-Est du Val d’Oise sont particulièrement laissées pour compte. C’est pourquoi les écologistes réclament :
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d’assouplir le numerus clausus pour former davantage de médecins,
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de créer au plus prêt des habitants de véritables centres de santé publics disposant sous le même toit d’un secrétariat médical commun, de médecins généralistes et spécialistes, d’infirmières, de kinés, d’ostéopathes, etc… et charger non seulement de soigner mais aussi de faire de la prévention. Mieux vaut prévenir que guérir. C’est en lutant contre la malbouffe et les pollutions qui menacent notre santé que nous arriverons à « Bien Vivre »