Je ne suis pas née écologiste, je le suis devenue, comme vous peut-être. Aujourd’hui, c’est avec détermination que je me sens le droit, le devoir même, d’appeler chacune et chacun d’entre vous à rejoindre, ne serait-ce que le temps d’un vote, le combat pour la préservation de la planète et des femmes et des hommes qui l’habitent.
Pensons à nos enfants et aux générations futures. Dans quel monde vivront-ils ? La réponse à cette question dépend des choix que nous ferons. Soit nous continuons à accepter le tout nucléaire et les dangers qu’il fait courir à notre pays et au monde, la pollution de l’eau, de l’air et des aliments, le stress de la course à la production de l’inutile ; soit nous nous mobilisons pour dire de manière diverse, que cela suffit, qu’il faut choisir un autre mode de vie, respecter la nature et les hommes ; pour dire aussi que ce respect des hommes exige plus de justice sociale, de solidarité, de fraternité.
Ces élections législatives vous offrent une vraie possibilité. Vous pouvez fermement, dans le secret de l’isoloir, dire que vous exigez que les valeurs de l’écologie sociale soient prises en compte.
Mon ambition, vous offrir la possibilité de vous exprimer dans ce sens et de faire ensemble « le choix de la vie ».