Visite du Moulin Tol à Cherves : se servir du passé pour construire son avenir

Moulin Tol de Cherves et son mécanisme

L’après-midi du dimanche 20 mai a été chargé. Après le marché des Couronneries, petit tour par la maison pour passer un moment avec mon épouse et ma fille. Puis départ en hâte pour la visite du moulin à vent Tol à Cherves (canton de Mirebeau) sauvé et restauré en 1973-1974. C’était un peu un retour sur les terres de mon enfance me rappelant les sorties au Musée Paysan ouvert depuis plus de 40 ans. Ce village, situé aux confins de la plaine et de la Gâtine – et aussi de la 1re circonscription – a su garder une identité forte et son authenticité. Les habitants et les bénévoles se sont servit du passé pour se construire un avenir. Des liens forts se sont tissés autour de projets communs, et les projets ne manquent pas comme celui consistant à reconstruire l’ancien moulin Charlot, aujourd’hui détruit.

Je vous encourage à visiter le moulin Tol. L’ensemble de la charpente est posée sur un rail en bois permettant une rotation de la toiture au gré du vent. Des engrenages de bois associant différentes espèces, chêne ou cormier pour les dents, etc… sont conformes à ceux illustrés au XVIIIe siècle dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert. Faute de vent suffisant (il faut 15 km/h), l’un des bénévoles a actionné le mécanisme en faisant tourné manuellement les ailes entraînant une meule de 2 tonnes. La farine produite était complète et des opérations de blutage étaient ensuite réalisées par les particuliers afin d’obtenir une farine plus fine et blanche. Durant le XXe siècle, ces moulins ont été progressivement abandonnés et concurrencés par les grandes minoteries et en raison d’une législation de plus en plus contraignante. Aujourd’hui rares sont les moulins à meule de pierre utilisant la force éolienne. Je suis intimement convaincu que la restauration de tels moulins permettraient la production de farines recherchées et rares permettant à quelques meuniers de vivre et de travailler à proximité des lieux de production. Si je suis élu, je m’engagerai à proposer des lois permettant le développement de tels projets.

Pour en savoir plus : http://gensdecherves.free.fr

Arnaud CLAIRAND

Permettre aux habitants de Neuville-de-Poitou de prendre le train chaque jour pour aller à Poitiers

Tractage sous la pluie au marché de Neuville

C’est sous des trombes d’eau (il en faut !) que je me suis rendu au marché de Neuville-de-Poitou pour rencontrer les habitants du nord-ouest de la 1re circonscription. J’étais accompagné de Christiane Fraysse ma suppléante, adjointe au maire de Poitiers en charge de l’environnement et des espaces verts et vice-présidente de Grand Poitiers en charge de l’environnement, Didier et Claude Thibault, conseillère municipale Europe Écologie Les Verts de la ville de Poitiers en charge du patrimoine et du tourisme.

Les échanges furent fructueux et m’ont permis d’écouter les attentes des habitants de Neuville-de- Poitou sur la mauvaise desserte des transports en commun obligeant les Neuvillois à se rendre à Poitiers en voiture. C’est un comble d’autant plus que la ligne ferroviaire Neuville/Poitiers existe toujours, mais n’est plus utilisée pour le transport des personnes. Cette ligne rejoignait Nantes, via Parthenay, Bressuire… mais a été en partie démantelée dans les Deux-Sèvres. Réseau Ferré de France a bien tenté de vendre les terres issus du démantèlement d’une partie de cette voie ferrée. Par le biais de la justice, plusieurs particuliers courageux et la Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports (FNAUT) ont empêché cette cession, notamment sur la commune de Châtillon-sur-Thouet (Deux-Sèvres), commune où j’ai passé mon enfance.

Europe Ecologie Les Verts demande la réouverture de cette ligne. En effet, elle permettrait d’offrir une autre solution de transport aux habitants de Neuville-de-Poitou, d’Avanton et des communes alentour pour aller travailler quotidiennement à Poitiers, à un coût moindre, plutôt qu’en prenant systématiquement la voiture, avec une essence de plus en plus chère. Le train est aussi un moyen convivial pour les jeunes et les personnes âgées, pour se rendre de façon indépendante à Poitiers en vue de se rendre à un rendez-vous chez son médecin, faire quelques achats, aller au cinéma ou voir une exposition. Le train permettra de faire le choix de vivre à la campagne sans pour autant s’isoler et devoir systématiquement prendre la voiture.

Le train, créateur de solidarité entre ville et campagne pour toutes les générations !

Faire revivre nos campagnes, soutenir et développer le tissu économique local en adéquation avec nos terroirs et les besoins des habitants, rouvrir la ligne ferroviaire entre Neuville-de-Poitou et Poitiers dans cet esprit, c’est ce à quoi je m’engage, avec vous, si je suis élu député en juin prochain.

Le changement, c’est VIVRE MIEUX, c’est MAINTENANT et c’est POUR TOUS !

Arnaud Clairand

À la rencontre des électeurs ce samedi 19 mai sur les thèmes de l’agriculture, de la gestion des déchets et du soutien au patrimoine local

 

Ce samedi 19 mai a été riche de rencontres avec les habitants de la 1re circonscription. À Poitiers tout d’abord dès 9 h sur la place du marché Notre-Dame, puis à partir de 10 h 30 sur le marché de Mirebeau avec Christiane et Didier. L’accueil fut chaleureux et force était de constater que j’étais le seul candidat aux légistatives à être présent à Mirebeau, où nous avons beaucoup échangé autour du thème de l’agriculture et du ramassage des déchets posant problème dans cette ville. Cela a été également pour nous l’occasion d’annoncer la réunion publique qui se tiendra salle annexe de la Mairie de Mirebeau, le jeudi 24 mai à 20 h30. Nous sommes ensuite repartis à Poitiers pour assurer la relève au marché Notre-Dame où Marie Legrand, Marie Pachulski et Daniel Lhomond assuraient le tractage en notre absence.

De 17 à 19 heures, la visite guidée sur les sites de Saint-Hilaire-le-Grand, des arènes antiques, du square Magenta et de l’arrière de la Mairie (Puygareau), a suscité un vif intérêt. Une dizaine de personnes étaient au rendez-vous en sachant que l’information n’avait pu être relayée que par les réseaux sociaux (merci notamment à Philippe de ToutPoitiers.com). Suite à plusieurs demandes, cette visite sera reconduite samedi prochain, 26 mai. J’espère que cette annonce sera relayée par la presse écrite locale, au-delà des réseaux sociaux, à l’appui du communiqué de presse que je leur transmettrai la semaine prochaine.

L’égalité entre nos territoires par exemple en matière économique, environnemental ou patrimonial, en milieu rural comme au cœur des villes, constitue une de mes priorités d’actions que je développerai avec vous, les élus locaux et avec notre nouvelle ministre de l’Égalité des territoires, Cécile DUFLOT, si je suis élu député.

Arnaud Clairand.

Cécile Duflot ou Cécile Duplot ?

 

11 février 2011, Cécile Duflot derrière la Médiathèque de Poitiers

 

Le 11 février 2011, Cécile Duflot était venue à Poitiers pour soutenir les candidats aux élections cantonales. Tenant l’appareil photo, je n’ai même pas pensé à poser en sa compagnie comme le ferait tout bon militant. En revanche j’ai gardé précieusement dans mes archives les photos prises ce jour-là. Je vous en fais découvrir une. Connaissant la bonne humeur de Cécile et son humour, je sais qu’elle ne m’en tiendra pas rigueur. Ce 11 février, Cécile posait aux cotés de Thomas Camus, avoisinant les 2 mètres. Il a fallut recourir à un stratagème pour que les deux visages soient à la même hauteur. Je n’ai pas pu m’empêcher de cadrer large. Le résultat est publié ci-dessus. Mieux que notre ex-président et ses talonnettes, Cécile Duplot…

De manière plus sérieuse, je suis ravis que Cécile soit entrée au gouvernement en tant que ministre ministre de l’Égalité des Territoires et du Logement. Une bonne partie du programme EELV est construite autour d’un meilleur maillage des territoires et des réductions d’énergie ne pouvant passer que part une attention toute particulière portée au logement (isolation, bâtiments BBC…). Il s’agit d’un levier formidable pour réduire la consommation d’énergie d’origine nucléaire et réduire le nombre des réacteurs en activité.

Pascal Canfin a quand à lui été nommé ministre délégué au développement auprès du Ministre des Affaires étrangères. Au Parlement Européen, il était membre de la commission des affaires économiques et monétaires. Il est particulièrement apprécié pour son combat contre les paradis fiscaux et la moralisation de la finance mondiale. Par réalisateur interposé, nous nous sommes retrouvé en 2011 dans un reportage consacré à la dette (Staraya films). J’étais alors intervenu comme spécialiste des échanges monétaires sous l’Ancien Régime. J’ignore si ce reportage a été diffusé. Je vais me renseigner…

Le 6 juin, Pascal Canfin devrait venir à Châtellerault soutenir la campagne de Véronique Massonneau. Ce sera certainement l’occasion de le rencontrer et d’échanger avec lui sur des sujets économiques.

Nous avons le 13e panneau et nous ne sommes pas superstitieux !

 

19 h. devant l'affichage de la Préfecture de la Vienne (Poitiers)

La clôture des candidatures pour les législatives était fixée aujourd’hui, 18 mai à 18 h. 13 candidats ont été enregistrés sur la 1re circonscription de la Vienne, 14 sur la 2e, 11 sur la 3e et 13 sur la 4e. Beaucoup de partis sont venu frappés au portillon de la Préfecture, ce qui est gage d’un certain pluralisme. La Mairie de Poitiers avait vu grand sur la 2e circonscription en installant 16 panneaux devant l’hôtel de ville. Il faudra en retirer deux !

L’autre « événement » de la soirée au sein de la Préfecture, s’est déroulé à 18 h. 30 en présence de 7 candidats, dont Mad Joubert (86-2) et moi-même (86-1). Il s’agissait de tirer au sort l’emplacement des panneaux d’affichage attribués aux différents candidats. Cette opération a été effectuée par – et sous – le contrôle du personnel de la Préfecture, toujours très attentif et à l’écoute. Pour chaque circonscription le nom de chaque candidat a été annoncé et un papier portant son nom placé dans un carton faisant office d’urne. S’en est ensuivit le tirage au sort. Comme les deux extrémités sont réputées être les plus visibles, certains candidats espéraient obtenir la première ou la dernière position. Mon nom a été le premier a être mis dans l’urne et le dernier à être tiré au sort. J’occuperai la dernière place, ce qui est bien, mais à droite et en 13e position. Comme ni moi, ni ma suppléante ne sommes superstitieux, nous ne pouvons que nous féliciter du résultat d’un tel tirage au sort.

Mobilisation d’un candidat aux législatives en faveur du patrimoine de Poitiers

Site UNESCO de Saint-Hilaire-le-Grand : l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire !

Poitiers est une ville riche de son patrimoine avec plus de 2 000 ans d’occupation. Depuis le XIXe siècle, le patrimoine est au cœur des préoccupations de la vie de notre cité. Nous assistons actuellement à la restauration de sites tels que le clocher-porche de Saint-Porchaire ou les fouilles de Puygareau.
Mais, à côtés de ces projets, on constate de nombreuses destructions archéologiques et que penser du Hall de la Grande Poste de Poitiers qui a été réorganisé soit disant au profit de son intérêt commercial et en tous les cas au détriment de son intérêt patrimonial ? Que penser également du projet de Saint-Hilaire le Grand (site UNESCO) ?
En tant qu’ancien élève de l’École du Louvre – et candidat Europe Écologie Les Verts aux prochaines législatives, défenseur de tous nos patrimoines – je répondrai à ces interrogations lors d’une visite guidée et gratuite de 2 heures. Vous y apprendrez notamment l’action que j’ai menée pour sauver l’église des Jésuites, rue Édouard Grimaux et pourquoi Poitiers a malheureusement perdu toute chance d’obtenir une nouvelle inscription au patrimoine mondial de l’humanité (UNESCO).

Rendez-vous le samedi 19 mai à 17h devant l’église de Saint-Hilaire-le-Grand à Poitiers. Venez nombreux !

Soutien à Patrick Picaud et la question des bassines (ou retenues de substitution)

 

Affiche injurieuse collée dans une commune de Charente-Maritime

Patrick Picaud, employé à Niort et président de Nature Environnement 17, a fait l’objet d’une campagne d’affichage indigne. Dans la nuit du 20 au 21 avril dernier, plusieurs centaines d’affiches arborant sa photo accompagnée des mentions « Wanted », « Irresponsable et nuisible », ont été collées dans trois communes de Charente-Maritime proches des Deux-Sèvres. L’absence de signature et de revendication en dit long sur la lâcheté de leur(s) auteur(s).
Patrick œuvre bénévolement au sein de Nature Environnement 17. Au sein de cette association, il combat activement et efficacement les projets d’implantation des bassines – ou retenues de substitution – afin de défendre nos ressources en eau. Rappelons que ces bassines sont remplies à plus de 70 % par prélèvements dans les nappes phréatiques. Ces bassines contribuent à la dégradation des eaux souterraines en les exposant à l’air libre et en ne permettant pas aux nappes de se recharger correctement. Avec de telles bassines, le pompage dans ces nappes fragiles est possible toute l’année et non plus seulement durant la période de développement des cultures. Il s’agit d’une fausse bonne solution, d’une fuite en avant…
Par son combat juste et désintéressé, Patrick a fait annuler plusieurs autorisations préfectorales qui avaient permis d’exploiter ces bassines, s’attirant ainsi l’ire des plusieurs grands irrigants. En dépit de l’absence d’autorisation, ces mêmes irrigants continuent d’alimenter ces bassines à la barbe de certains services de l’État et au détriment des populations. L’eau est un bien commun et la loi doit être la même pour tous, cependant tout laisse à penser qu’une poignée d’irrigants semble considérer qu’ils ont plus de droits que d’autres.
Suite à cette campagne d’affichage, Patrick vient de déposer plainte contre X. Par ces quelques lignes nous lui apportons notre franc et entier soutien et ne pouvons que l’encourager à poursuivre son combat, combat qui est aussi le nôtre.

Proposition de loi.

Ces dernières années, la Droite a largement œuvré pour l’implantation de telles bassines, autorisant même des financements à hauteur de 70 % par les Agences de l’eau (elles mêmes grandement financées par les consommateurs à partir de leur facture) et plus de 20 % par l’État.
Le problème des bassines est en train de se poser dans le département de la Vienne où plus de vingt sont déjà prévues pour être construites.
En tant que candidat aux législatives, je m’engage, en cas d’élection, à proposer une réforme de la loi dans ce domaine. Je proposerai notamment que la construction des bassines réponde à un cahier des charges très strict et prévoyant notamment l’interdiction de remplissage à partir des eaux souterraines.

14 mai : le dépôt de candidature d’EELV (86-1)

 

Entrée de l'aile de la Préfecture où se trouve le bureau des élections

Nombre de candidats se sont déjà déclarés dans la presse depuis plusieurs mois, anticipant sur la déclaration administrative. Les dépôts des candidatures sont en effet acceptés par la Préfecture de la Vienne seulement entre le 14 et le 18 mai inclus. Lors de cette première journée, le personnel du bureau des élections de la Préfecture a été particulièrement sollicité. Les fonctionnaires ont toujours été disponibles et très attentifs aux demandes des candidats de tous bords. De manière à ne pas tarder, j’ai déposé mon dossier de candidature et celui de Christiane pour la première circonscription de la Vienne. Pendant ce temps, Mad Joubert déposait le sien pour la deuxième circonscription. Alea jacta est… enfin presque !

Prochain rendez-vous avec la Préfecture : vendredi prochain, 18 mai, à 18 h. 30 pour le tirage au sort déterminant l’ordre d’attribution des panneaux électoraux pour chacun des candidats.

Pour l’UMP, le changement c’est maintenant ?

En rentrant de la première réunion publique EELV tenue à Neuville de Poitou, je suis passé devant le local de Jacqueline Daigre (UMP, 1re circonscription de la Vienne). Il y a deux jours, j’avais annoncé un changement probable de la façade de son local de campagne avant le 15 mai, jour de l’investiture de François Hollande. Son local présentait en effet le slogan « Majorité présidentielle » (cf. photo). Le slogan a été caché ce jour même, à l’aide de moyens de fortune, des feuilles A4 blanches (cf. photo). En ce 14 mai, j’ai maintenant la preuve que le « Changement c’est maintenant » !
Au passage j’ai remarqué que les grandes bandes autocollantes de son local de campagne étaient collées sur les vitres extérieures. Un tel agencement est formellement interdit dans un rayon de 500 mètres autour d’édifices inscrits ou classés au titre des Monuments Historiques. Il se trouve que la façade de ce local est située à moins de 50 mètres de la tour dite de « la Porte de Paris » protégée au titre des Monuments historiques depuis les années 1920. À n’en pas douter, toutes les autorisations permettant un tel affichage ont été obtenues auprès de l’Architecte des Bâtiments de France. Si d’aventure ce n’était pas le cas, le changement risque d’être également pour demain. Le plus drôle est qu’il appartient au maire de Poitiers de faire respecter la police dans sa ville ? Osera, osera pas ? Suite au prochain épisode…

Visite du chantier de la future ligne TGV à Migné-Auxances avec l’ADÉMA

 

Groupe de l'ADÉMA. Ligne ancienne boisée et déboisée. Rencontre avec un représentant de COSÉA

 

Ce dimanche, l’association de Défense de l’Environnement de Migné-Auxances (ADÉMA) a organisé une randonnée découverte sur six kilomètres sur le site de Malaguet et du futur chantier de la ligne TGV. Plus de 200 personnes étaient présentes à l’appel de l’ADÉMA notamment lancé par Jean-Louis Jollivet. Cette visite fut l’occasion de découvrir le site de Malaguet avec une partie de ses terres consacrées au maraîchage bio. La secteur nord de ce site a été profondément modifiée par l’implantation de la future ligne TGV et une partie du paysage boisé grandement sacrifié. Une impression de désolation règne désormais en ces lieux qui avaient jusque-là été particulièrement préservés.

La visite du site de Chardonchamp a été plus troublante. Plusieurs maisons doivent y être rasées prochainement y compris une ancienne ferme. Monsieur Boutin, nous a reçu à côté de sa maison dont le magnifique et paisible jardin jouxtera bientôt la future ligne. Plusieurs particuliers dont les maisons ont été rasées étaient venus comme en pèlerinage. Face à ce type de projet, le particulier pèse peu et n’a pas souvent pas son mot à dire. J’ai terminé cette randonnée avec un goût amer. Depuis 1989, le travail de l’ADÉMA a été méritoire et a notamment permis de faire évoluer ce vaste projet en obtenant des mesures permettant des protections pour les riverains, notamment avec des barrières acoustiques. Le pire a été évité puisque la ligne devait initialement passer dans la vallée de l’Auxance, au village de Limbre (commune de Migné-Auxances).