Et c’est reparti ! La pollution de l’air clermontois attendait le grand froid pour refaire parler d’elle. Mais elle s’accommode plutôt bien de la douceur ambiante qui, du fait de conditions météo faiblement dispersives, favorise l’accumulation de polluants. Si une étude révèle que la pollution de l’air parisienne est aussi nocive que le tabagisme passif, l’atmosphère clermontoise n’est pas loin de l’enfumoir. …
Allo Clermont, pourquoi tu tousses ?!
