Article du Midi Libre – 1er février 2013 Deux camps s’opposent. Tous se définissent, pourtant, comme \ »progressistes\ », se veulent \ »visionnaires\ », préparant \ »l’avenir de nos enfants\ ». Mais chacun à sa manière. Les porteurs du projet, ses défenseurs, invoquent \ »la globalisation\ », \ »l’ouverture\ », \ »le sens de l’histoire\ », et même \ »la faim dans le monde\ ». Leurs contempteurs rappellent, eux, \ »les risques liés au trafic de produits dangereux\ », \ »l’importance des circuits courts\ », ou \ »la raréfaction programmée du pétrole…\ ». Bref, on ne se comprend pas. Ou mal. …