1. Sécurisation de l’emploi : un texte en progrès mais des améliorations encore insuffisantes

    Christophe Cavard sécurisation emploi

    La variété des dispositifs concernés et le nombre de modifications de procédures inscrites dans ce texte compliquent la tenue d’un débat citoyen éclairé. Il est pourtant essentiel d’y procéder dans un contexte de crise démocratique. Ce texte renforce le dialogue social et favorise ainsi la représentation syndicale en France. En ce sens, les dispositions qu’il comporte renvoient à des négociations qu’il faudra remporter. …

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  2. Amiante : le pôle santé du tribunal de grande instance doit avoir les moyens de poursuivre les instructions !

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  3. Les écologistes au sénat obtiennent des avancées sur la santé environnementale

    Le groupe écologiste au Sénat

    Alors que le Sénat vient de rejeter la partie recettes du Projet de Loi de Finances de la Sécurité Sociale (PLFSS), le groupe écologiste du Sénat a voté pour ce texte, qui marque une rupture avec les politiques menées ces dernières années, et a obtenu plusieurs avancées en faveur de la « santé environnementale », qui était jusqu’alors la grande absente de ce texte. …

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  4. Projet de Loi de Finances de la Sécurité Sociale au Sénat : Les écologistes obtiennent des avancées sur la santé environnementale

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  5. La création de la Haute Autorité de l’expertise scientifique et de l’alerte en matière de santé et d’environnement: un jeu démocratique majeur!

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  6. Alimentation, emploi, énergie, nature, santé : découvrez les propositions écologistes

    À l’occasion des élections législatives des 10 et 17 juin 2012, Europe Écologie Les Verts met en avant ses propositions et son projet \ »Vivre mieux\ » à travers 5 tracts autour de thèmes phares : l’alimentation, l’emploi, l’énergie, la nature et la santé. N’hésitez pas à télécharger ces tracts ci-dessous, et à les distribuer/diffuser autour de vous, pour soutenir la campagne pendant les quelques jours qui nous séparent du premier tour ! …

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  7. Vivre toutes et tous en bonne santé

    LOGO_EELV_BLANC

    Vivre mieux, 
vers la société écologique Vivre toutes et tous en bonne santé Lors du débat sur les retraites, Nicolas Sarkozy n’a cessé de dire : « Il y a un lycéen sur deux aujourd’hui qui deviendra centenaire. » Or la crise sanitaire actuelle dément totalement cette affirmation. Chaque année, toujours plus d’enfants et de jeunes sont touchés par les cancers et les nouveaux cas ont doublé depuis 30 ans. Par ailleurs, les couples rencontrent de plus en plus de difficultés à concevoir des enfants. Les allergies, l’asthme, l’obésité et le diabète explosent. Et ces maladies sont les principales causes de mortalité et de souffrance modernes. Ces « maladies de civilisation », corrélées aux modes de vie et à l’environnement, progressent plus vite que les progrès de la médecine, alors que nous connaissons aujourd’hui les facteurs de risque et que la plupart de ces maladies seraient donc évitables. …

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  8. La santé est un bien commun, non une marchandise

    «La santé n’est pas une marchandise», ont déclaré hier la Coordination nationale des Comités de défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité et le Collectif « Pour un Pôle public financier au service des Droits». En tant que candidate écologiste à l’élection présidentielle, je veux faire de la santé un bien commun et m’engage à libérer notre système public de santé de l’emprise de la finance. …

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  9. Inégalités sociales de santé liées à l’alimentation

    Associations, chercheurs, médecins, écologistes identifient, en France, une alimentation de mauvaise qualité (trop gras, trop sucré, trop salé, pas assez de fruits et légumes frais, trop d’additifs et de résidus de pesticides) comme source de maladies. Les causes d’une mauvaise alimentation sont multiples : offre de l’industrie agro-alimentaire et des grandes surfaces, poids des lobbys sur la réglementation, « qualité » de la restauration collective, influence de la publicité, insuffisance de la production de produits bios, disparition des pratiques de cuisine « traditionnelle » et des marchés de proximité, manque d’argent, méconnaissance de l’usage des protéines végétales etc… …

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  10. Pour notre environnement, nos nappes phréatiques, notre sante : Exigeons le déstockage de Stocamine

    Communiqué du 19 mai 2011 Depuis 1999, 44 000 tonnes de déchets ultimes ont été enfouis à 600 mètres sous terre par la société Stocamine, sous le puits Joseph-Else, dans des galeries laissées libres par l’arrêt de l’exploitation des mines de potasse. Depuis 1999, de ce fait, les nappes phréatiques d’une zone allant de Bâle à Mayence et desservant 7 millions de personnes courent un danger de pollution susceptible de nuire à leur alimentation en eau potable. Depuis 1999, par conséquent, les habitants du bassin potassique et de la région mulhousienne sont exposés à des risques environnementaux majeurs.En effet, la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement a déterminé, en avril 2010, trois risques avérés de pollution de la nappe alluviale : ennoyage des galeries entraînant une remontée de l’eau polluée ; détérioration des fûts de conditionnement des déchets rendant inévitable un mélange de leur contenu à l’eau ; effondrement de galeries.Souvenons-nous qu’en 2002, déjà, l’auto-combustion de déchets instables sur le site d’enfouissement avait provoqué un incendie, entraînant une émission de 12 000 m3 de fumées toxiques pendant 6 semaines et causant aux personnels exposés des troubles respiratoires et cutanés.Alors que la commission associant Etat, Stocamine, élus locaux, associations et syndicats doit rendre son avis sur l’évolution du dossier le mois prochain, EELV se prononce en faveur du déstockage de ces déchets. C’est la seule solution susceptible de préserver la nappe phréatique et l’alimentation en eau potable et d’éviter une catastrophe environnementale d’ampleur.En toute logique, nous soutenons l’action du collectif Destocamine et appelons à signer sa pétition sur www.destocamine.fr ainsi qu’à participer nombreux à la Manifestation samedi 21 mai à 14hA Wittelsheim (rendez-vous devant la salle Grassegert, route de Reiningue) …

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  11. La catastrophe de Fukushima au Japon pose quatre graves problèmes de santé

    Les fortes doses Les effets de la radioactivité sur les êtres vivants dépendent des doses reçues, mesuré en Sv (Sievert) – à partir de 1 Sievert, SV, ( ou 1OOO milliSv), les personnes sont malades dans les heures et les jours qui suivent. Elles souffrent de vomissements, maux de tête, diarrhées, puis diarrhées sanglantes, puis elles perdent leur capacité de défense, en particulier contre les microbes. – à partir de 5 Sv, une personne sur deux va mourir rapidement – à partir de 10 Sv, 100 % des personnes vont mourir Les informations concernant les travailleurs de la centrale de Fukushima sont extrêmement inquiétantes : pour certains, ils reçoivent ces fortes doses en une ou deux heures. C’est pourquoi l’attitude de ces travailleurs a été qualifiée et d’héroïque par le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire française (ASN). Beaucoup ont déjà reçu des doses mortelles. Il faudra envoyer de très nombreuses personnes successivement sur le site car elles ne peuvent rester que très peu de temps sur les parties les plus exposés. Les faibles doses Le problème des faibles doses est très différent. Les faibles doses augmentent le nombre de cancers dans la population dans les dizaines d’années qui suivent une irradiation et peuvent se manifester pendant au moins 40 ans. Par ailleurs elles déclenchent des anomalies génétiques, qui pourront n’apparaître qu’après plusieurs générations. La dose admise dans des conditions normales de fonctionnement de l’industrie nucléaire est de 1 miliSv par an pour l’ensemble de la population, et on accepte 20 fois plus pour les travailleurs du nucléaire. Une part significative de la population japonaise est aujourd’hui concernée par le dépassement de ces doses. Mais il faut savoir que les connaissances scientifiques internationales admettent aujourd’hui qu’il n’y a pas de seuil de toxicité au-dessous duquel le risque serait nul. Toute dose de radioactivité augmente le taux de cancers dans la population. Il existe une radioactivité naturelle comme il existe des cancers « naturels ». Toute dose de radioactivité augmente le nombre de cancers.La contamination On peut se protéger d’une irradiation en s’éloignant de la source. Mais la situation est différente en cas de contamination par des particules radioactives qui sont alors présentes sur la peau, absorbées dans l’air que l’on respire ou dans l’eau et les aliments que l’on mange. Dans ce cas les particules radioactives peuvent s’intégrer dans le fonctionnement du corps humain. L’iode 131 se fixe dans la thyroïde, le césium137 dans les muscles, le strontium 90 dans les os. Ils peuvent y entraîner des dégâts sur les cellules voisines même si la dose délivrée à l’ensemble du corps est infime. De plus, dans le cas où des personnes sont contaminées, lorsqu’elles s’éloignent de la source de pollution, elles restent porteuses de la petite source fixée dans leur corps, dans certains cas pour des dizaines d’années. On comprend alors que la toxicité puisse être importante pour des doses très faibles en termes d’irradiation. De ce point de vue, la population concernée est énorme. L’Iode 131 perd la moitié de son activité en 8 jours et 99% en un peu moins de 3 mois. C’est pourquoi on peut se protéger avant une contamination annoncée en saturant la glande thyroïde par de l’iode non radioactif. Le Césium 137 perd la moitié de son activité en 30 ans et 99% en 300 ans. La durée de vie du strontium 90 est à peu près identique à celle du césium 137. Le MOX S’ajoute aux difficultés énoncées ci-dessus le fait que le réacteur numéro trois fonctionne au MOX, combustible préparé à l’usine de La Hague, qui consiste à mélanger à l’uranium une part de plutonium 239. Ce plutonium n’existait pas dans la nature il y a un siècle et a été produit par l’activité des humains. Il présente un danger particulier par sa toxicité très forte en cas de contamination aérienne. La dose toxique est de l’ordre du millionième de gramme et peut provoquer un cancer du poumon s’il est inhalé. De plus, il perdra la moitié de son activité en 24 000 ans et 99 % de son activité en 240 000 ans ! Autrement dit, cette pollution est définitive. De ce point de vue, la France a une responsabilité particulière en tant que producteur du MOX, dont une livraison devait être effectuée en mars au Japon… En conclusion, Les japonais sont très loin de maîtriser la catastrophe de Fukushima, ses conséquences portent sur de nombreuses générations et concernent au moins la population de tout l’hémisphère nord. Rendons hommage à tous les morts passés, présents et futurs du nucléaire. Mais rendons aussi hommage aux électeurs allemands du Bade-Würtemberg qui ont placé les Verts en position de prendre la présidence de la région dans le but de sortir du nucléaire. Jean-Luc VERET Président de la Commission Nationale Santé d’Europe Ecologie – Les Verts Médecin de Santé Publique, Conseiller Municipal de Caen Ancien président de l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l’Ouest Jean-Luc.veret@wanadoo.fr Portable : 06 07 68 04 89 …

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  12. Inégalités sociales de santé liées à l’alimentation

    Associations, chercheurs, médecins, écologistes identifient, en France, une alimentation de mauvaise qualité (trop gras, trop sucré, trop salé, pas assez de fruits et légumes frais, trop d’additifs et de résidus de pesticides) comme source de maladies. Les causes d’une mauvaise alimentation sont multiples : offre de l’industrie agro-alimentaire et des grandes surfaces, poids des lobbys sur la réglementation, « qualité » de la restauration collective, influence de la publicité, insuffisance de la production de produits bios, disparition des pratiques de cuisine « traditionnelle » et des marchés de proximité, manque d’argent, méconnaissance de l’usage des protéines végétales etc… …

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  13. La catastrophe de Fukushima au Japon pose quatre graves problèmes de santé

    Communiqué du 01/04/2011 Les fortes dosesLes effets de la radioactivité sur les êtres vivants dépendent des doses reçues, mesuré en Sv (Sievert)- à partir de 1 Sievert, SV, ( ou 1OOO milliSv), les personnes sont malades dans les heures et les jours qui suivent. Elles souffrent de vomissements, maux de tête, diarrhées, puis diarrhées sanglantes, puis elles perdent leur capacité de défense, en particulier contre les microbes.- à partir de 5 Sv, une personne sur deux va mourir rapidement- à partir de 10 Sv, 100 % des personnes vont mourirLes informations concernant les travailleurs de la centrale de Fukushima sont extrêmement inquiétantes : pour certains, ils reçoivent ces fortes doses en une ou deux heures. C’est pourquoi l’attitude de ces travailleurs a été qualifiée et d’héroïque par le président de l’Autorité de Sûreté Nucléaire française (ASN). Beaucoup ont déjà reçu des doses mortelles. Il faudra envoyer de très nombreuses personnes successivement sur le site car elles ne peuvent rester que très peu de temps sur les parties les plus exposés.Les faibles dosesLe problème des faibles doses est très différent. Les faibles doses augmentent le nombre de cancers dans la population dans les dizaines d’années qui suivent une irradiation et peuvent se manifester pendant au moins 40 ans. Par ailleurs elles déclenchent des anomalies génétiques, qui pourront n’apparaître qu’après plusieurs générations.La dose admise dans des conditions normales de fonctionnement de l’industrie nucléaire est de 1 miliSv par an pour l’ensemble de la population, et on accepte 20 fois plus pour les travailleurs du nucléaire.Une part significative de la population japonaise est aujourd’hui concernée par le dépassement de ces doses.Mais il faut savoir que les connaissances scientifiques internationales admettent aujourd’hui qu’il n’y a pas de seuil de toxicité au-dessous duquel le risque serait nul. Toute dose de radioactivité augmente le taux de cancers dans la population. Il existe une radioactivité naturelle comme il existe des cancers « naturels ». Toute dose de radioactivité augmente le nombre de cancers.La contamination On peut se protéger d’une irradiation en s’éloignant de la source. Mais la situation est différente en cas de contamination par des particules radioactives qui sont alors présentes sur la peau, absorbées dans l’air que l’on respire ou dans l’eau et les aliments que l’on mange. Dans ce cas les particules radioactives peuvent s’intégrer dans le fonctionnement du corps humain. L’iode 131 se fixe dans la thyroïde, le césium137 dans les muscles, le strontium 90 dans les os. Ils peuvent y entraîner des dégâts sur les cellules voisines même si la dose délivrée à l’ensemble du corps est infime. De plus, dans le cas où des personnes sont contaminées, lorsqu’elles s’éloignent de la source de pollution, elles restent porteuses de la petite source fixée dans leur corps, dans certains cas pour des dizaines d’années. On comprend alors que la toxicité puisse être importante pour des doses très faibles en termes d’irradiation. De ce point de vue, la population concernée est énorme.L’Iode 131 perd la moitié de son activité en 8 jours et 99,9% en un peu moins de 3 mois. C’est pourquoi on peut se protéger avant une contamination annoncée en saturant la glande thyroïde par de l’iode non radioactif. Le Césium 137 perd la moitié de son activité en 30 ans et 99,9% en 300 ans. La durée de vie du strontium 90 est à peu près identique à celle du césium 137. Le MOXS’ajoute aux difficultés énoncées ci-dessus le fait que le réacteur numéro trois fonctionne au MOX, combustible préparé à l’usine de La Hague, qui consiste à mélanger à l’uranium une part de plutonium 239. Ce plutonium n’existait pas dans la nature il y a un siècle et a été produit par l’activité des humains. Il présente un danger particulier par sa toxicité très forte en cas de contamination aérienne. La dose toxique est de l’ordre du millionième de gramme et peut provoquer un cancer du poumon s’il est inhalé. De plus, il perdra la moitié de son activité en 24 000 ans et 99,9 % de son activité en 240 000 ans ! Autrement dit, cette pollution est définitive. De ce point de vue, la France a une responsabilité particulière en tant que producteur du MOX, dont une livraison devait être effectuée en mars au Japon…En conclusion, Les japonais sont très loin de maîtriser la catastrophe de Fukushima, ses conséquences portent sur de nombreuses générations et concernent au moins la population de tout l’hémisphère nord.Rendons hommage à tous les morts passés, présents et futurs du nucléaire.Mais rendons aussi hommage aux électeurs allemands du Bade-Würtemberg qui ont placé les Verts en position de prendre la présidence de la région dans le but de sortir du nucléaire.Jean-Luc VERET Président de la Commission Nationale Santé d’Europe Ecologie – Les VertsMédecin de Santé Publique, Conseiller Municipal de CaenAncien président de l’Association pour le Contrôle de la Radioactivité dans l’OuestJean-Luc.veret@wanadoo.fr Portable : 06 07 68 04 89 …

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  14. Les réformes annoncées par le roi du Maroc ne sont pas suffisantes

    Communiqué de presse du 10 mars 2011 Suite aux révolutions qui ont secoué l’Afrique du Nord et certains pays du monde Arabe et aux manifestations au Maroc, le Roi Mohamed VI, lors de son discours d’hier, a essayé de reprendre la main en annonçant des réformes constitutionnelles. Dans un discours à la nation, Mohamed VI précise que ces réformes devront renforcer l’indépendance de la justice, le rôle du parlement et des partis politiques et la \ »régionalisation\ », afin d’accorder plus de pouvoirs aux instances locales. …

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  15. Retraites vieillissement et santé : pour une approche globale

    ——————————————-Ce document est un compte-rendu de forum organisé lors des Journées d’été du Rassemblement des écologistes en août 2010 à Nantes. C’est d’un document de travail qui participe à l’élaboration du projet 2012. Il ne s’agit en aucun cas d’un document programmatique définitif et officiel.——————————————-Retraites vieillissement et santé : pour une approche globaleLa réflexion sur les retraites est à replacer dans son contexte car les enjeux humains et financiers sont globaux. Bien sûr, il est indispensable que Les Verts aient des propositions sur le problème d’actualité de financement des retraites. Mais il faut également penser une politique qui prenne en compte : • le contexte démographique et ses aléas depuis la guerre de 39-45 ( Baby-Boom devenant aujourd’hui un Papy-Mamy-Boom suivi d’une baisse de la fécondité, progrès de l’Espérance de Vie à relativiser ) • l’importance majeure des inégalités sociales de santé qui annulent les effets des politiques de solidarité, et qui renvoient en premier lieu à des inégalités d’ordre culturel • l’explosion de la consommation de soins médicaux avec le vieillissement dont une part est due à l’inadaptation du système et des pratiques médicales et sociale • les inégalités Hommes – Femmes et leur lien avec les conditions de travail et les modes de vie • les problèmes spécifiques du 4ème âge et de la dépendance, l’inadaptation du système médical et social aux besoins des personnes très âgées et le potentiel d’amélioration de la situation par la prévention sur les plans physique, psychique et relationnel, actuellement négligé. • Les enjeux de qualité de vie et d’insertion sociale liés à l’urbanisme comme à l’intervention communautaire pour animer la vie collectiveL’étude de ces questions montre que les budgets sont interdépendants entre retraites, Assurance Maladie, Dépendance et Prévention.Les mesures phares à prendre sont : • Développer une politique de prévention au service des Personnes Agées sur le plan physique ( ex prévention des chutes ), sur le plan psychique ( ex ateliers mémoire ) sur le plan de la vie collective et intergénérationnelle ( Education pour la santé et intervention communautaire ) • Développer une politique de prévention des facteurs de risque de la maladie d’Alzheimer ( pollution par l’aluminium, les pesticides en particulier…). • Réorienter les pratiques des professionnels des soins et du social vers le soutien à domicile favorisant l’autonomie des Personnes Agées • Impulser une politique d’urbanisme qui favorise l’insertion des Personnes Agées dans la société …

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  16. Loi biodiversité : des avancées mais qui ne répondent pas à l’urgence des enjeux

    Débattue dans la foulée de la COP21 et de l’accord de Paris, la loi biodiversité était attendue comme une grande évolution de la mandature, de celles capables de prouver que l’OCDE avait tort d’accuser la France de ne pas assumer son rôle dans la lutte pour la protection de la planète. Si des avancées sont notables, force est de constater que le texte est loin d’être à la hauteur des enjeux. …

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