Respirer un air sain est un droit fondamental inscrit dans la loi. Pourtant à Paris comme dans d'autres métropoles, ce bien commun à toutes et tous est constamment en danger. Si la qualité de l'air s'est globalement améliorée depuis 2002, notamment grâce à la réduction de la circulation automobile et au progrès des moteurs, le développement du diesel a nettement freiné cette amélioration. Et les pics de pollution nous exposent à des risques graves pour la santé et l'environnement.

Protéger la santé des Parisiennes et des Parisiens, particulièrement celle des plus fragiles, des enfants et des personnes âgées, est une priorité pour les candidats EELV et leur chef de file, Christophe Najdovski.

D'ailleurs, pour évaluer la densité de pollution dans l'air de Paris, une association, France nature environnement a placé sur un toit de la capitale, un cube de toile blanche sur lequel a été appliqué de la colle, à l'aide d'un pochoir. Après seulement quatre jours d'exposition à l'air de Paris, les particules de pollution piégées par la colle laissent apparaître, en lettres grises,  le message suivant : "Irrespirable". Démonstration, à travers une vidéo accélérée :