Communiqué de presse Municipales Paris 2014
4 juillet 2013

Suite à la parution d'une étude d'Airparif, Christophe Najdovski, candidat EELV à Paris, se félicite de voir que l'action des écologistes depuis 2001 porte ses fruits. Grâce à la diminution du trafic automobile, notamment du fait du développement des transports en commun, 1 700 000 Parisiennes et Parisiens ne sont plus exposés à des niveaux de pollution aux particules dépassant la réglementation française.

Cependant, l'air de Paris reste globalement nocif pour les Parisiennes et les Parisiens, notamment les plus fragiles. En effet, 97% des Parisiennes et des Parisiens restent exposés à des niveaux de dioxydes d'azote dépassant les normes annuelles. La politique de NKM de promotion du tout-diesel a considérablement affaiblit l’efficacité de ces mesures municipales. Les masques tombent quand on voit les résultats des politiques mises en oeuvre : il y a ceux qui font de l'écologie, et ceux qui en parlent !

Autre constat, le manque d'ambition de la municipalité depuis 2008 en matière de mobilités. Couloirs de bus, développement des pistes cyclables, facilitation des cheminements piétons, développement des transports en commun. Christophe Najdovksi veut mettre un coup d'accélérateur pour que la qualité de l'air que nous respirons à Paris et en métropole respecte enfin les valeurs limites fixées par l'Union Européenne et l'OMS.

Pour cela, il est indispensable de raisonner à l'échelle métropolitaine et régionale : si Paris à connu une baisse de 20% du trafic routier en 10 ans, cette baisse n'est que de 2% en petite couronne, tandis qu'il continue d’augmenter dans le reste de la Région.

Création de couloirs de bus et de voies dédiés aux véhicules en autopartage et au covoiturage sur le périphérique, création de nouvelles pistes cyclables sécurisées à Paris et en métropole, lancement d'un service de vélib métropolitain dès 2017, Paris à 30 km/h, reconquête d'espaces publics pour les piétons : les solutions que propose Christophe Najdovski permettent de réduire encore le trafic routier, d'améliorer la qualité de l'air à Paris et en métropole, d'offrir aux Parisiennes et aux Parisiens une meilleure qualité de vie.