Si une union avec le Parti socialiste au second tour est clairement dessinée par les cadres du parti, les écologistes opposent donc une fin de non-recevoir aux propositions de M. Queyranne - qui brigue un troisième mandat - en faveur d'un rassemblement "des forces de gauche et écologistes afin de faire liste commune" dès le premier tour.

Dans une lettre rendue publique mardi, le socialiste insiste sur le "poison mortel" de la désunion et invite le Parti communiste, EELV, le Parti radical de Gauche et le Parti de Gauche à engager des discussions sur la base de "sept grands enjeux".