L’urgence d’agir
On en trouve dans les aliments, les emballages, les cosmétiques, les jouets… Ils sont soupçonnés de provoquer de graves problèmes de santé. Leur particularité : la nocivité n’est pas fonction d’une dose d’exposition, mais du type de public. Les femmes enceintes et les jeunes enfants sont les plus vulnérables, même à très faible dose.
La pression des lobbies industriels a retardé l’action de la Commission européenne.
JL Roumégas a donc mené un rapport mettant en lumière la pseudo-controverse scientifique de l’été 2013 à l’origine du retard, due à des conflits d’intérêts.
Ce rapport revient sur les dernières études fiables et ses recommandations ont constitué un appui pour définir une stratégie nationale.