L’élection d’Emmanuel Macron et la formation de son gouvernement ouvrent une période incertaine : entre un premier ministre très pro-nucléaire et un ministre de la «transition écologique et solidaire» comment se feront les arbitrages ? Jusqu’où Nicolas Hulot pourra-t-il aller ?
Dans ce contexte d’options contradictoires les électrices et les électeurs peuvent, à l’occasion des élections législatives des 11 et 18 juin, faire pencher la balance et tenter d’éviter le libéralisme débridé, en mettant en avant le choix de l’écologie.