Le Trèfle, MHAN, AEI… : attention à ces « écolos » qui poussent comme des champignons à chaque législative !

A chaque élection législative c’est la même chose : il y a sur chaque circonscription de nombreux candidats se revendiquant de l’écologie ! Vous connaissez bien « Europe Ecologie les Verts » (EELV) avec Cécile Duflot, Eva Joly, Dany Cohn-Bendit, José Bové, Philippe Meirieu, Michèle Rivasi, … Mais qui sont les autres ?

Il y a une explication simple à cette abondance : le financement public des partis politiques est calculé en France à partir du nombre de voix réalisé aux élections législatives. La loi prévoit qu’un parti reçoit environ 1,68 € par an et par voix sur cinq ans (s’il a passé le seuil de 1% des voix dans 50 circonscriptions). Cela fait vite beaucoup d’argent. Par exemple, Le Trèfle a reçu près de 800 000 € depuis 2007 ! Vous connaissiez Le Trèfle ? Dur de dire ce qu’ils ont fait sur le terrain depuis 5 ans et comment ils dépensent cet argent public.

Pour ma part, dans les mobilisations contre l’incinérateur absurde du VALTOM, les OGM de plein champ de Limagrain, les carrières qui menacent la nappe de l’Allier, la folie du nucléaire… je n’ai jamais vu ces deux organisations « écolos », ni les deux candidates qui se présentent à vos suffrages.

Contrairement à EELV, ces mouvements ne se présentent pratiquement pas aux autres élections nationales et locales car elles ne « rapportent » pas d’argent !
Contrairement à EELV, ils ne sont donc pas présents dans les conseils municipaux, généraux, régionaux et au parlement européen pour inventer le monde nouveau du XXIème siècle et des suivants
Contrairement à EELV, ils n’ont pas d’adhérents ou très peu, et ne font donc aucun travail de terrain.

Néanmoins, ils ont un point commun : ils s’affichent tous comme étant « 
ni de gauche ni de droite« . Alors qu’en réalité leurs dirigeants et leurs alliances penchent toujours à droite, et parfois vraiment très à droite. Petite revue d’effectifs :

- Le MHAN et Le Trèfle : ils sont tous les deux alliés pour ces législatives avec le Parti Radical (Jean-Louis Borloo), partenaire de toujours de l’UMP. Les raisons peu glorieuses de cette alliance sont à lire dans la presse : http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/02/10/borloo-reconstitue-son-tresor-de-guerre-avec-des-ecolos-inconnus

-l’Alliance Ecologique Indépendante (AEI) co-fondée par le chanteur Francis Lalanne et Mr Governatori, ancien adhérent de l’UDF (le parti de Giscard d’Estaing !). En 2012 ce mouvement a sollicité Brigitte Bardot pour être candidate à la présidentielle, mais cette dernière a préféré soutenir Marine Le Pen… Le candidat de la 3ème circonscription de l’Isère était sous la bannière UMP aux dernières élections cantonales.

Pour ce qui est d’Europe Ecologie les Verts, vous connaissez notre action et notre positionnement. Si nous rejetons l’idéologie productiviste, qu’elle soit de droite ou de gauche, nous faisons la différence entre ces deux camps. En effet, nous assumons clairement l’héritage de justice sociale et de solidarité conquis par les mouvements de la gauche traditionnelle contre la droite et les conservateurs. Pendant ces 5 années nous avons combattu sans relâche le projet de casse sociale et de régression démocratique mené par Nicolas Sarkozy. Ainsi, c’est avec les forces de la gauche traditionnelle que nous pouvons travailler, et ponctuellement, conclure des accords politiques et programmatique lorsqu’ils permettent de faire avancer le projet écologiste.

En votant pour les candidats Europe Ecologie les Verts, vous élirez des députés qui seront une force utile et constructive au sein de la nouvelle majorité parlementaire. Vous élirez des députés écologistes tenaces pour donner un cap clair au changement qu’a permis l’élection de François Hollande, un cap qui tienne compte des défis de la planète.

Les 10 et 17 juin prochains, ne vous trompez pas de bulletin !

Il y aura trois bulletins de couleur verte mais un seul vraiment VERT, celui de

 

Yves REVERSEAU et Dominique ROGUE-SALLARD,

Europe Ecologie Les Verts

Yves et Dominique à la manifestation du premier mai

et les ballons contre l’incinérateur

 

 

 

 

Pour la journée mondiale de l’environnement, EELV rappelle l’importance de Rio +20

Ce mardi 5 juin 2012, la planète célèbre la journée mondiale de l’environnement, initiée par l’ONU en 1972, à l’occasion de l’ouverture de la Conférence de Stockholm sur l’Environnement humain. Chaque année, la JME met en avant un enjeu spécifique. Cette année, il s’agit de l’économie verte.

A cette occasion, Europe Écologie Les Verts tient à réaffirmer que les enjeux environnementaux sont fondamentaux et qu’ils ne peuvent être mis de côté car ils conditionnent la réponse aux crises sociale, économique et financière. Un nouveau modèle de développement pour la planète est nécessaire et ne peut donc être considéré comme une  question de second ordre.

EELV rappelle que dans quelques jours, du 20 au 22 juin 2012, se tiendra à Rio de Janeiro (Brésil) le sommet Rio +20 qui réunira 120 chefs d’Etat et de gouvernement, dont le nouveau président français François Hollande. L’objectif est d’y constituer une nouvelle feuille de route à l’horizon 2030 pour l’ensemble des pays de la planète face à la crise écologique majeure que nous subissons.

Des représentants d’EELV seront présents tout au long des négociations pour y porter un message ambitieux. En France, tous nos élus et nos candidats aux élections législatives des 10 et 17 juins prochains se mobilisent d’ores et déjà pour rappeler que les luttes contre le dérèglement climatique, la déforestation, la disparition programmée des ressources halieutiques, la pollution des océans et la surexploitation des ressources naturelles, ainsi que la préservation de la biodiversité et du vivant, sont des priorités fondamentales qui passent par une volonté politique forte.

Les députés Verts européens, auxquels s’associent EELV, organisent une conférence de presse spéciale Rio +20, ce jeudi 7 juin 2012, à partir de 9h30, dans les locaux du Parlement européen à Paris (288 bvd St Germain, 75007 Paris), en présence des eurodéputées Eva Joly et Sandrine Bélier et du porte-parole d’EELV Pascal Durand.

Europe Écologie Les Verts

Écologie Hebdo n°2 : ne manquez pas les dernières nouvelles de l‘écologie !

eh2

Deux semaines avant le Sommet de la Terre à Rio, et à quelques jours des élections législatives, vous êtes nombreux à vous demander quelles sont les dernières nouvelles de l’écologie. Ce deuxième numéro du journal Écologie Hebdo est un moyen simple et rapide pour répondre à vos questions !

Huit pages d’actualité et de dossiers : élections législatives, pouvoir d’achat, logement, Rio+20, nucléaire, culture, interviews exclusives, bons plans…

Profitez-en : Écologie Hebdo est disponible en ligne gratuitement !

Bonne lecture !

 

Télécharger Écologie Hebdo n°2

 

Écologie Hebdo n°2

Un député qui vote des lois pour interdire les nouveaux incinérateurs

 

Vous connaissez mon engagement depuis des années contre l’incinérateur surdimensionné, anti-écologique, dispendieux, polluant qu’ont voulu le VALTOM, le préfet, et le président du conseil général. Les arguments de bon sens exposés à ces trois là, les manifestations citoyennes, les oppositions, un peu tardives… de la Ville de Clermont et de Clermont-Co , n’ont pas eu raison du monstre qui se construit à Beaulieu au pied de Puy-Long et qui va brûler ce qui est recyclable. Restent les recours juridiques. Europe Ecologie Les Verts Auvergne, associés à Puy de Dôme Nature Environnement et l’ACIIPAC ont attaqué l’autorisation d’exploiter. On attend le jugement.

Plus jamais ça ! Le collectif local contre l’incinération a réussi ces derniers mois à regrouper plus de 400 associations en France dans une Coordination Nationale Contre l’Incinération des Déchets Ménagers qui a pour but de SORTIR DE L’INCINERATION DES DECHETS MENAGERS. Elle a été présentée, ainsi que son Manifeste, à la presse le 6 avril dernier dans la mairie de notre collègue écologiste de Paris 2°.

Candidat pour être votre député, une de mes priorités sera naturellement de voter une loi-cadre de sortie de l’incinération en mettant en œuvre les alternatives fiables, plus écologiques, et économes que beaucoup de collectivités plus intelligentes ont su mettre en place. Une de mes priorités sera d‘interdire l’installation de nouveaux incinérateurs, de contraindre à réduire les déchets, les trier vraiment, les recycler, les valoriser, y compris la partie organique, pour n’avoir à stocker que des déchets réellement ultimes, peu nombreux, à enfouir au plus près des lieux de production.

Le Manifeste :

CNCIDM, Coordination Nationale Contre l’Incinération des Déchets Ménagers,

2 rue Federico Garcia Lorca, 63510 Aulnat

 

Manifeste pour une sortie de l’incinération

des déchets ménagers

Notre pays, avec près de 130 incinérateurs, est malheureusement le champion de l’incinération absurde des déchets ménagers. Quel manque de sagesse !

Les associations soussignées sont déterminées à ce qu’on sorte de l’incinération des déchets en mettant en œuvre des solutions plus responsables, plus écologiques, moins chères et moins dangereuses. Elles demandent aux élu-e-s nationaux de légiférer dans cet esprit.

 L’incinération : un traitement aberrant

  • L’incinérateur brûle ce qui pourrait être recyclé, alors que les coûts des matières premières sur la planète ne cessent de s’envoler. En ne triant pas, il essaie de brûler et ne fait que calciner les déchets organiques qui pourraient être valorisés.
  • Par la combustion, il produit des rejets hautement toxiques, un cocktail de métaux lourds et de plus de 700 molécules organochlorées mal connues qui n’existent pas dans nos poubelles, dont les dioxines et les furanes indestructibles pendant une génération et qui se transmettent par la chaîne alimentaire. Certes la réglementation prescrit aujourd’hui des normes, mais qui ne sont pas respectées quand il y a arrêts, dérangements ou dysfonctionnements, ou quand un industriel n’est pas rigoureusement contrôlé… En 2006, l’Institut National de Veille Sanitaire a démontré l’effet cancérigène de ces molécules parmi la population sous le vent de ces machines à polluer. C’est contre ce danger pour la santé publique que des médecins se sont mobilisés à Marseille, à Lunel et à Clermont-Ferrand avec un collectif de 534 médecins.
  • Il en est de même pour l’environnement : loin d’être le feu purificateur que certains s’imaginent, outre les molécules toxiques qui vont se déposer sur les espaces et les cultures environnantes, l’incinérateur produit une quantité énorme du gaz à effet de serre qu’est le CO2, et des mâchefers (300 kg pour une tonne entrante) qui polluent le sol et l’eau, une fois mis en sous-couche routière.
  • Le traitement des fumées par des filtres complexes induit des investissements très onéreux qui alourdissent les taxes que paient les citoyens.
  • En donnant des Délégations de Service Public à des grands groupes, les élus locaux démissionnent de leur mission de réflexion et d’organisation sérieuse du traitement de nos déchets. Pour leur plus grand bénéfice, ces groupes souhaitent des volumes de plus en plus importants, non triés. Ce qui va à l’encontre de nos politiques de prévention.

Les alternatives sont possibles

 Tout d’abord en diminuant le volume global de nos déchets. En gaspillant moins, en travaillant l’écoconception des produits pour pouvoir mieux les recycler, avec des produits qui durent plus longtemps et en réduisant les emballages…

  • En triant vraiment : actuellement, on ne valorise qu’un tiers de nos déchets. Or «notre poubelle est un trésor». Le traitement actuel des déchets, que ce soit par incinération ou par enfouissement, est en mélange : c’est écologiquement aberrant et une rente économique pour des groupes multinationaux qui n’attendent que l’accroissement des tonnages…. Les prix récents à la tonne, l’acier à 140 €, l’alu à 450 €, les plastiques à 200 € montrent que nos « déchets » sont transformables en richesse. L’organisation systématique de collectes sélectives, bien expliquées aux citoyens, en particulier des déchets organiques, permet d’arriver à un détournement de 70 à 80 % du contenu de nos poubelles.
  • Car il est un autre trésor dans nos poubelles, nos déchets organiques : un tiers de nos déchets, la moitié une fois le reste trié. Cette partie fermentescible, si elle est bien collectée à part, peut être compostée et ainsi revenir logiquement à la terre, pour la production agricole ou le maraîchage. Mieux, la méthanisation permet une valorisation énergétique avant la valorisation agronomique qu’est le compostage. Au cours d’un processus industriel fiable, non polluant, bien au point, surtout dans les pays étrangers !, la production de biogaz produit 70 à 80 m3 de méthane par tonne entrante (environ 700 kw/h). Le méthane est semblable au gaz naturel et peut donc être utilisé comme carburant, ou pour du chauffage ou pour de la production d’électricité. Au prix où sont les énergies fossiles, pourquoi ne pas développer cette filière ?
  • On peut inviter les citoyens à mieux trier en adoptant la redevance incitative, au poids ou à la levée, avec correctif social, à la place de la taxe injuste d’enlèvement des ordures ménagères.
  • Nombre de produits sont jetés alors qu’ils pourraient avoir une seconde vie si les collectivités encouragent le secteur de la réparation, des recycleries, des ressourceries, utiles socialement et créatrices d’emploi.
  • En triant beaucoup plus que le tiers actuel de nos poubelles, il ne restera à enfouir en Centre d’Enfouissement Technique, maintenant appelés Installations de Stockage de Déchets Non Dangereux, que des déchets réellement ultimes ; certaines collectivités sont arrivées ne considérer comme ultimes que 20 % de leurs poubelles. Il est des déchets actuellement inutilisables que nous saurons recycler dans quelques années (par exemple certains plastiques, à base de pétrole), c’est pourquoi nous souhaitons des stockages débarrassés de la part organique, donc sans odeur, ni jus, et réversibles pour qu’on puisse les exploiter quand le jour viendra.
  • Il va sans dire que ce stockage doit se réaliser dans une logique de traitement de proximité, à l’échelle de bassins de vie, de territoires à convenir dans les logiques actuelles d’aménagement du territoire, pour éviter les coûts faramineux de transports. Et pour que élus et citoyens soient conscients de leur production de déchets et cessent de jouer les Ponce Pilate en renvoyant ailleurs ce qu’ils ne veulent pas voir et pourraient exploiter.
  • En cessant les délégations de service public, et les marchés globaux, les collectivités, avec des marchés publics, des régies ou des prestations de service, par lots, peuvent garder la main sur leurs produits, leur devenir, et leur valorisation.

 Réduire le volume des déchets,

Trier en porte à porte, ne pas mélanger, séparer l’organique,

Recycler, valoriser, composter l’organique, le méthaniser ;

Réutiliser plutôt que jeter,

Ne pas polluer, Faire des économies, Créer des emplois locaux,

Sortir de l’incinération, c’est possible !

 Clermont-Ferrand, février 2012

Dernière manifestation devant le chantier de l’incinérateur du Valtom :

d’un côté, la vie, de l’autre…

J’ai signé le pacte de l’égalité : je m’engage à faire avancer l’égalité entre femmes et hommes

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Le Laboratoire de l’égalité a pour objectif de sensibiliser les décideurs publics et privés à l’égalité professionnelle et de favoriser la mise en oeuvre d’améliorations concrètes dans ce domaine. Dans cette perspective, à partir de la consultation des 600 membres du réseau, il a élaboré un Pacte pour l’égalité, destiné à interpeller les candidats aux législatives de 2012. S’ils sont éluEs, les candidatEs signataires s’engagent à améliorer la situation autour de quatre enjeux :

  • Parité et accès des femmes aux responsablilités
  • Égalité salariale et lutte contre la précarité
  • Conciliation des temps de vie et implication des hommes
  • Partage d’une culture de l’égalité

En signant le Pacte pour l’égalité, je souhaite affirmer publiquement mon attachement aux nécessaires notions de parité et d’égalité femmes-hommes !

Un million d’emplois utiles et non délocalisables. L’écologie, la solution !

Pour de l’emploi durable et partagé !

Les écologistes réfléchissent depuis longtemps à la raréfaction des matières premières, en particulier des énergies fossiles, ce qui fait et fera augmenter leur coût, aux pollutions que nous émettons, aux gaz à effet de serre qui dérèglent notre climat, et à l’urgence sociale.

Aussi vous proposent-ils une nécessaire conversion écologique de l’économie et de la société. Economiser l’énergie, moins polluer, ne pas prendre de risque avec le nucléaire, émettre moins de gaz à effet de serre, ce n’est pas reculer en arrière, c’est créateur d’emplois, de richesse, c’est prévoir le monde de demain.

Les grands secteurs concernés par ces créations d’emplois non délocalisables, utiles, dans des secteurs d’avenir, sont les énergies renouvelables, la filière bois, très importante en Auvergne, le bâtiment, le ferroviaire, le recyclage.

Par reconversion, nous entendons aussi ne pas leurrer les salariés dans des secteurs qui vont dans le mur comme cela a été fait pour le textile ou la sidérurgie, c’est à dire dresser avant des drames sociaux dans des secteurs fragiles, l’inventaire des savoir-faire et des compétences collectives pour envisager des objectifs utiles, compatibles avec un XXI° siècle, enfin écologique. Par exemple, quand l’AIA était menacée, une reconversion utile aurait pu être la durabilité et la maintenance de grande qualité de transports collectifs (train, tram, métro, bus..) à la place des aéronefs.

En terme d’emplois, la conversion que nous vous proposons permet très sérieusement un million d’emplois d’ici 2020, 600 000 d’ici la fin de la mandature, en 2017 :

-440 000 emplois dans la réhabilitation énergétique de 900 000 logements anciens ou actuels (malheureusement ! ), par an ; cela correspond à 260 000 emplois dans l’isolation, 130 000 dans les ouvertures, et 45 000 dans les systèmes de chauffage. L’efficacité énergétique va réduire les charges des locataires et réduire aussi nos importations de gaz et de pétrole (48 milliards d’euros en 2010).

-200 000 emplois pour la construction de 100 000 logements neufs supplémentaires par an, à basse consommation, cela va sans dire. C’est urgent : il manque 900 000 logements en France ; 3,6 millions de personnes sont mal logées.

-140 000 emplois dans le secteur des énergies renouvelables pour un objectif de 30 % de l’électricité et 35 % de la chaleur en 2020. La filière solaire permettra 80 000 emplois pour 20 gigawatt (1 actuellement) ; l’éolienne 40 000 pour 30 mégawatt (5 actuellement) ; la filière bois 15 000 et celle du biogaz 6 000 emplois.

-30 000 emplois dans les transports collectifs,

-75 000 emplois dans l’agriculture bio avec un objectif de 20 % de l’agriculture en bio

-290 000 emplois dans les services urgents à la personne : 90 000 pour la petite enfance, et 200 000 pour la dépendance et l’autonomie

Même si pour nous le P.I.B. n’est pas un indice pertinent de richesse, un tel plan augmente le P.I.B. de 0,9 %. Mais mais il ne fait descendre le chômage que de 1,5 point, il le porterait de 10 % à 8,5 %..

Aussi est-il urgent de partager le travail : nous voulons supprimer les exonérations sur les heures supplémentaires qu’a instauré Sarkozy, revenir à la retraite à 60 ans sans décote ni surcote, reconnaître les métiers pénibles qui bénéficient d’une durée moindre de cotisations, et encourager les entreprises et les salarié-e-s à aller vers les 32 heures.

Certes François Hollande, à la suite des accords avec Europe Ecologie les Verts a placé la conversion écologique et énergétique de l’industrie dans le premier de ses 60 engagements, mais si vous voulez une conversion de l’économie qui tienne compte à court et à long terme des défis de la planète, avec des objectifs ambitieux, réalisables, comme ci-dessus, votez pour un député Ecologiste !

Dans notre première circonsription, votez YVES REVERSEAU et DOMINIQUE SALLARD !

Le 5 juin dernier, les cinq candidat-e-s écologistes du Puy-de-Dôme ont invité Alain Lipietz : les solutions écologistes pour de l’emploi durable et partagé.

 

Alimentation, emploi, énergie, nature, santé : découvrez les propositions écologistes

À l’occasion des élections législatives des 10 et 17 juin 2012, Europe Écologie Les Verts met en avant ses propositions et son projet « Vivre mieux » à travers 5 tracts autour de thèmes phares : l’alimentation, l’emploi, l’énergie, la nature et la santé. N’hésitez pas à télécharger ces tracts ci-dessous, et à les distribuer/diffuser autour de vous, pour soutenir la campagne pendant les quelques jours qui nous séparent du premier tour !


Les tracts thématiques

Alimentation
Emploi
Énergie
Nature
Santé