L’internationalisation des échanges peut être une richesse mais elle ne saurait être une fin en soi. La Région doit se poser la question de son contenu et de sa plus-value pour les bretons. Car, l’internationalisation telle qu’on la connaît, induite par une économie de marché mondialisée et dérégulée, charrie son lot de dangers. Nous devons nous assurer qu’elle soit respectueuse des hommes et de l’environnement, ici et ailleurs. …
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