1. De l’alliance et de la différence…

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    De l’alliance et de la différence … Venant après la nôtre, et plutôt réussie quant à la participation et à la maîtrise générale des débats, la primaire des socialistes a témoigné une fois encore de l’aspiration de nos concitoyens à participer davantage à la décision politique et à l’arbitrage des compétitions ou rivalités au sein de la « classe politique ». …

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  2. Contre l’instrumentalisation des chercheurs, pour une recherche plurielle à l’INRA

    Europe Ecologie Les Verts dénonce l’instrumentalisation de son personnel à laquelle se livre la direction de l’INRA à la veille du verdict du procès du fauchage de l’essai de vigne OGM de Colmar qui doit être rendu le 14 octobre 2011. Non seulement elle incite les chercheurs à aller assister au verdict, mais elle exige que chacune et chacun signale son intention de se rendre sur place. Ces pratiques frôlant le fichage d’opinion sont inadmissibles, particulièrement dans un organisme de recherche public. La pluralité des points de vue et la libre confrontation des idées sont pourtant des préalables à la qualité de la recherche. …

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  3. Motion de synthèse adoptée au Congrès d’EELV à la Rochelle

    Du Brésil à l’Allemagne, l’écologie politique s’impose comme une nouvelle voie La crise globale du système économique et financier a montré l’épuisement des recettes traditionnelles, qu’elles soient libérales ou social-démocrates. Ces modèles économiques productivistes ont démontré leur inefficacité : à l’accroissement mondial de la pauvreté répond également celui des émissions des gaz à effet de serre et l’effondrement de la biodiversité. Les sommets mondiaux qu’ils soient économiques ou climatiques ont confirmé l’incapacité d’un système économique reposant sur une croissance infinie à réagir face à ces urgences. Devant un monde que l’on épuise il est aujourd’hui de la responsabilité des écologistes de dessiner les contours de celui qui doit naître. Alors que des millions de citoyens désertent les urnes et renoncent à participer à la vie politique, notre projet doit permettre de rétablir la confiance et de réconcilier les citoyens et les citoyennes entre eux. …

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  4. Perte d’autonomie

    EXPOSE DES MOTIFS Les besoins concernant les personnes âgées en perte d’autonomie sont en augmentation. C’est un fait. Mais réduire le problème à une « catastrophe financière », comme tente de le faire la droite est une tentative de fuir le débat démocratique pour aboutir, une fois encore, à servir des intérêts privés en offrant ce « marché » aux sociétés d’assurances. De même le projet gouvernemental serait de supprimer la prise en charge quand la perte d’autonomie est partielle. Ce n’est pas ce que veulent nos concitoyen/nnes. …

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  5. Pour notre environnement, nos nappes phréatiques, notre sante : Exigeons le déstockage de Stocamine

    Communiqué du 19 mai 2011 Depuis 1999, 44 000 tonnes de déchets ultimes ont été enfouis à 600 mètres sous terre par la société Stocamine, sous le puits Joseph-Else, dans des galeries laissées libres par l’arrêt de l’exploitation des mines de potasse. Depuis 1999, de ce fait, les nappes phréatiques d’une zone allant de Bâle à Mayence et desservant 7 millions de personnes courent un danger de pollution susceptible de nuire à leur alimentation en eau potable. Depuis 1999, par conséquent, les habitants du bassin potassique et de la région mulhousienne sont exposés à des risques environnementaux majeurs.En effet, la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement a déterminé, en avril 2010, trois risques avérés de pollution de la nappe alluviale : ennoyage des galeries entraînant une remontée de l’eau polluée ; détérioration des fûts de conditionnement des déchets rendant inévitable un mélange de leur contenu à l’eau ; effondrement de galeries.Souvenons-nous qu’en 2002, déjà, l’auto-combustion de déchets instables sur le site d’enfouissement avait provoqué un incendie, entraînant une émission de 12 000 m3 de fumées toxiques pendant 6 semaines et causant aux personnels exposés des troubles respiratoires et cutanés.Alors que la commission associant Etat, Stocamine, élus locaux, associations et syndicats doit rendre son avis sur l’évolution du dossier le mois prochain, EELV se prononce en faveur du déstockage de ces déchets. C’est la seule solution susceptible de préserver la nappe phréatique et l’alimentation en eau potable et d’éviter une catastrophe environnementale d’ampleur.En toute logique, nous soutenons l’action du collectif Destocamine et appelons à signer sa pétition sur www.destocamine.fr ainsi qu’à participer nombreux à la Manifestation samedi 21 mai à 14hA Wittelsheim (rendez-vous devant la salle Grassegert, route de Reiningue) …

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  6. Jeudis de l’écologie du 14 avril 2011

    Ce ne sont pas un, ni deux, mais trois Jeudis de l’écologie 2012 qui ont eu lieu le 14 avril. Ces auditions publiques d’experts organisées dans le cadre du travail pour notre projet 2012 ont été consacrées à trois thématiques différentes.Au programme : revenu universel, alimentation et santé, nucléaire…Tout d’abord, la question du revenu universel. Plus d’une centaine de personnes, souvent jeunes, se sont pressées hier soir au Comptoir général à Paris. Autour de l’eurodéputée Karima Delli, plusieurs spécialistes de la question nous ont fait part de leur point de vue. …

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  7. ÉCOLOGISTES ! CONVIVIALITÉ-RASSEMBLEMENT-ÉCOLOGIE-AUTONOMIE (CREA)

    Projet de motion d’orientation EELV-2011 « Qu’est-ce qui peut servir de boussole ? L’anticipation de la menace elle-même ! C’est seulement dans les premières lueurs de son orage qui nous vient du futur, dans l’aurore de son ampleur planétaire et dans la profondeur de ses enjeux humains, que peuvent être découverts les principes éthiques, desquels se laissent déduire les nouvelles obligations correspondant au pouvoir nouveau ». …

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  8. Après Cancun

    EXPOSE DES MOTIFS Il y a un an, la conférence de Copenhague sur le réchauffement climatique promettait d’être historique. La mobilisation sans précédent de la société civile à travers le monde et la participation de très nombreux chefs d’Etats au Sommet devait déboucher sur l’adoption d’un accord contraignant, permettant de limiter le réchauffement climatique à 2°C d’augmentation et d’apporter une aide massive aux pays vulnérables pour les aider à anticiper les impacts du dérèglement climatique. Historique il l’a malheureusement été, mais pour l’ampleur de son échec. A nouveau réunis pour écrire la feuille de route de l’après Kyoto, les Etats ont abouti a un accord partiel qui marque la confiance retrouvée dans le multilatéralisme. Pour autant, le climat n’a pas été sauvé à Cancun. Les promesses de réduction des émissions sont loin d’être suffisantes pour limiter le réchauffement global en dessous de 2 degrés par rapport à 1750. En un an, l’urgence climatique n’a malheureusement pas disparu. 2010 est en passe de devenir l’une des années les plus chaudes, sinon la plus chaude depuis le début de l’ère industrielle et le début des enregistrements des températures remontant à 1850. Et en attendant que les Etats s’entendent, la crise climatique se renforce, et touche de plein fouet les plus fragiles : populations pauvres des pays du sud, peuples indigènes, paysans…L’échec de Copenhague a également laissé des traces sur la société civile. La mobilisation est beaucoup plus faible que l’an dernier. De nombreuses initiatives sont néanmoins porteuses d’espoir.En avril 2010, 30 000 personnes venant de 142 pays ont participé au Sommet des Peuples à Cochabamba en Bolivie. L’ « appel des peuples » qui en est sorti souligne « que seul un changement profond de modèle, basé sur les principes de complémentarité, de solidarité, d’équité, de bien-être collectif et de satisfaction des nécessités de tous en harmonie avec la nature « peut limiter la crise climatique et environnementale actuelle. Cet appel a fait émerger l’idée de la création d’un Tribunal des Crimes Climatiques et Ecologiques, de la réparation des dettes climatiques ou encore de la publication d’une Déclaration Universelle des Droits de la Terre Mère.Par ailleurs de nombreuses collectivités locales à travers le mondes’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à développer les énergies renouvelables, et contribuent ainsi sans attendre à lutter contre le changement climatique. Ces efforts doivent être soutenus. …

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  9. Après Cancun

    EXPOSE DES MOTIFS Il y a un an, la conférence de Copenhague sur le réchauffement climatique promettait d’être historique. La mobilisation sans précédent de la société civile à travers le monde et la participation de très nombreux chefs d’Etats au Sommet devait déboucher sur l’adoption d’un accord contraignant, permettant de limiter le réchauffement climatique à 2°C d’augmentation et d’apporter une aide massive aux pays vulnérables pour les aider à anticiper les impacts du dérèglement climatique. Historique il l’a malheureusement été, mais pour l’ampleur de son échec. A nouveau réunis pour écrire la feuille de route de l’après Kyoto, les Etats ont abouti a un accord partiel qui marque la confiance retrouvée dans le multilatéralisme. Pour autant, le climat n’a pas été sauvé à Cancun. Les promesses de réduction des émissions sont loin d’être suffisantes pour limiter le réchauffement global en dessous de 2 degrés par rapport à 1750. En un an, l’urgence climatique n’a malheureusement pas disparu. 2010 est en passe de devenir l’une des années les plus chaudes, sinon la plus chaude depuis le début de l’ère industrielle et le début des enregistrements des températures remontant à 1850. Et en attendant que les Etats s’entendent, la crise climatique se renforce, et touche de plein fouet les plus fragiles : populations pauvres des pays du sud, peuples indigènes, paysans…L’échec de Copenhague a également laissé des traces sur la société civile. La mobilisation est beaucoup plus faible que l’an dernier. De nombreuses initiatives sont néanmoins porteuses d’espoir.En avril 2010, 30 000 personnes venant de 142 pays ont participé au Sommet des Peuples à Cochabamba en Bolivie. L’ « appel des peuples » qui en est sorti souligne « que seul un changement profond de modèle, basé sur les principes de complémentarité, de solidarité, d’équité, de bien-être collectif et de satisfaction des nécessités de tous en harmonie avec la nature « peut limiter la crise climatique et environnementale actuelle. Cet appel a fait émerger l’idée de la création d’un Tribunal des Crimes Climatiques et Ecologiques, de la réparation des dettes climatiques ou encore de la publication d’une Déclaration Universelle des Droits de la Terre Mère.Par ailleurs de nombreuses collectivités locales à travers le mondes’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et à développer les énergies renouvelables, et contribuent ainsi sans attendre à lutter contre le changement climatique. Ces efforts doivent être soutenus. …

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